S'il n'était pas aussi fastidieux de se plaindre des maltraitances innombrables que subit la langue française sur votre antenne, ce serait une douzaine de messages journaliers que je vous adresserais. Je ne peux toutefois manquer de vous signaler les " cinquante-z-années" entendues ce matin d'un chroniqueur comme l'un des sommets du mal-parler, décidément irrémédiable malgré les remarques incessantes que vous recevez à ce sujet.