Monsieur Henry,

J’ai écouté d’un trait votre série dédiée à Charles Wolff diffusée sur France Culture.

Je voudrais vous remercier chaleureusement pour ce travail de fraternité, c’est le mot qui me vient en tête.

[…]

L’histoire du nom jamais correctement orthographié m’a particulièrement ému.

C’est peut-être cela Charles Wolff : l’homme archive (je reprends vos termes) dont on n’a jamais su retenir le nom, l’homme qui a préservé tant de traces et dont la trace même a failli se perdre, trace effectivement effacée au 3 rue Alexandre Fourtanier à Toulouse.

Et vous le ressuscitez.

Je ne vous souhaite rien d’autre que de poursuivre votre beau travail.