Merci Sophia Aram pour votre chronique du 4 novembre. Vous nous rappeler, à travers le courage d'Ahou Daryael, le sort de toutes ces femmes iraniennes, afghanes, et de bien d'autres pays malheureusement, opprimées par la tyrannie et l'obscurantisme des hommes. Vos chroniques font du bien. Longue vie à elles. Merci encore !