Félicitations pour avoir exprimé clairement ce que beaucoup d'entre nous ressentent, déchirés d'avoir eu à quitter leur terre natale, sans espoir de retour. Plus âgé que vous (né en 1949) et parti après vous (1966 suite à mon bac et à l'absence de structure d'enseignement supérieur à Tunis à l'époque), j'y suis retourné à plusieurs reprises et les confidences de mes amis d'enfance arabes (on ne disait pas musulmans) de La Goulette, nous font regretter cette période exceptionnelle où tous, arabes, juifs, italiens, maltais, français "de France" se mélangeaient sans le fanatisme d'aujourd'hui. Bien sûr je vais dévorer votre livre. Amicalement.