Géraldine,
Puis-je vous remercier ?
Depuis une émission, d'une autre Géraldine (est-ce un signe ?) recevant Robert Linhart, je n'ai pris autant de plaisir à écouter, avant ma sieste due à l'âge, votre entretien avec Pascal Guignard.
Le bonhomme s'y prêtait, certes. La préparation et la connaissance que vous en aviez aussi.
Et surtout, surtout, ce respect respectueux des silences, des retours en arrières, des précisions qui se goûtaient, au diable le mois sans alcool, comme un vin à maturité. Je suis de Gironde et ceci explique, peut-être, cela.
Merci de votre patience savante qui laisse venir les choses avec cette infinie intelligence de ponctuer, pile au moment pour relancer. Ce fut, pour moi, un vrai régal.
Merci d'avoir "amener" Guignard à déboutonner le bouton de son col, pour dire, dans un échange d'idées qui tenait de la conversation légère empreinte d'uniformité secondaire faisant éclore, encore plus présent, l'uniformité première de l'échange profond autant que badin.
Merci et je me redis. Merci.
Rareté des moments que l'on savoure comme bonbon au miel d'acacia.
Bonne année à vous et à votre famille.