Les commentaires des jeux olympiques (et non des olympiades) ont confirmé que nous n'en sommes plus au franglais mais effectivement à un charabias de néologismes anglicisés. Par ailleurs nombre de journalistes, d'intervenants et même de responsables politiques ne savent plus prononcer quatRE, mètRE, bIen, eH bIen, iL, etc. mes oreilles de québécois subissent les quatte, les mette, les bin, les et bin, i, etc. et même par écrit dans ce courrier des auditeurs bien nécessaire. Merci.