Monsieur Finkielkraut,
je me permets la hardiesse de vous envoyer mes félicitations pour les quarante ans de Répliques ; j'ose le faire parce que depuis vingt ans environ votre conversation est devenue un rendez-vous constant de mon amour de la connaissance où de ce qui en reste, mais encore plus une présence qui donne elle aussi une continuité à la vie tout court. Après tant d'années, soyez-en sincèrement remercié.
Veuillez pardonner ce verbiage en un français indigne écrit par un barbare (linguistiquement) qui vous écoute d'Italie.
Je vous prie de bien vouloir accepter mes salutations les plus respectueuses.