Piano, une présence incroyable : on pourrait oser l'oxymore "quelle douce force". Son regard sur son œuvre, son métier, la ville, la vieillesse nous a proposé un moment de grâce rare et salutaire, susceptible d'apporter de la joie et de l'optimisme dans cet océan de lourdes nouvelles du monde, malgré cette pluie maussade et incessante qui nous accompagne aujourd'hui, propre à anéantir toute ardeur, merci à lui et à Léa Salamé.