Bonjour,

Je viens à l'instant d'écouter votre cours reportage sur la chasse.
Je vis au milieu des bois, et la chasse autorisée dans cette période déjà anxiogène me semble totalement déplacée. Lorsque l'on vit enfermée, menacée par un virus invisible... Les coups de feu, les cris, les aboiements, sont autant de violences et sentiments d'insécurité ajoutés au contexte actuellement.
Je suis, moi aussi, amoureuse des bois mais, obligée de rester sur le bitume, peut-être faudrait-il que je me promène avec un fusil pour être autorisée à écouter le bruit de mes pas dans les feuilles. Il est difficile d'accepter que des personnes qui tuent aient plus de droits que les autres.