Serais-je le seul a être excédé par la super-, pour ne pas dire
l'hyper-inflation de "Alors" en début de centaines de réponses d'invités
à des questions de vos journalistes ? Ne pourrait-on demander à ces
invités de bannir ces tics de paroles autant que faire se peut ? Même
question pour "Voilà" suivi... de rien : à l'auditeur de
comprendre ce qui aurait pu vouloir être dit... et on a l'impression que
le journaliste n'écoute pas les réponses ou s'en moque... (lorsque la
phrase en devient inintelligible !).