Chère France Inter, et Radio France en même temps,
Je t'adresse mes vœux les plus sincères, pour que tu continues longtemps de nous accompagner, surtout en ce moment de gravité.
Je ne te remercierai jamais assez, pour avoir été à mes côtés, depuis plus de cinquante ans déjà, dans les bons et les mauvais moments.
Quels trésors tu m’as apporté, depuis José Artur et son Pop Club quand, lycéen interne, je t’écoutais sous la couverture, dans mon dortoir puant et ronflant… Et je passe sur le Tribunal des flagrants délires, les trains de Claude Villers, les Enfants du rock de Bernard Lenoir, la douceur enfumée de Macha Béranger, Et la superbe Kriss et son Crumble… comme nous la regrettons… Je ne veux pas pleurer, non. Sourire, plutôt. Rire, même.