Quand les journalistes et chroniqueurs/euses météo de Radio France cesseront-ils enfin d'euphémiser les températures anormalement chaudes en les qualifiant de "douceur", et de disqualifier les pluies nécessaires et revitalisantes en les nommant "perturbations" (et/ou les nuages, qui les annoncent et les apportent, de "grisaille") ? Que Radio France laisse donc ses auditeurs/trices apprécier le ciel et le climat en fonction de leurs propres critères !