C’est quoi ce nouveau mot, qui n’existe pas, qu’on entend quotidiennement depuis plusieurs jours sur les antennes de France Info et de France Inter : « circo » pour « circonscription » ??? Depuis l’annonce de la tenue d’élections législatives, journalistes et intervenants (parisiens) l’utilisent tout le temps. Mode américaine de raccourcir les mots jugés trop longs ? Ça écorche les oreilles à chaque fois. Quel sera le suivant ? « Quoti » ou « quot » pour « quotidienne » ? « Elec » pour « élection » (ou « électricité », allez savoir) ? « Prog » pour « programme » ? Etc., etc. C’est d’autant plus insupportable que, par ailleurs, personne n’utilise ça hors du cercle des commentateurs (et je vis dans une grande ville, Rennes, au milieu de personnes impliquées dans la vie politique . . .).
Il serait bon de rappeler à vos journalistes politiques et à leurs invités que des mots existent, utilisés par l’ensemble de la population hors petit cercle parisien, et que ce verbiage incongru sent l’entre-soi à plein nez. Et ça ne sent pas très bon . . .

Je vous ai signalé il y a quelques jours l’emploi par un journaliste de la formule « le conseil constit' ». Ce même journaliste vient, à 19h10 ce jour, de dire « les circo » pour les circonscriptions ? Son temps est chronométré par l’Arcom ? Il lui arrive quoi à ce garçon ?

Depuis quelques temps, je vois apparaître un mot : « trend » dans certains articles ! Faut-il utiliser ce mot ou simplement parler français et utiliser le mot « tendance », ce que tout le monde comprend !?

Mais nom d’un chien ! Pourquoi se gargariser des « Top Jobs » au Parlement européen (ou à la Commission, on n’y comprend rien). « Postes-clés », est-ce trop difficile à prononcer ? Ça fait trop plouc de s’exprimer en français ?

Bonjour et merci pour la qualité de vos programmes.
Adepte du service public -malgré ses dérives- je me permets de signaler une erreur de vocabulaire, qui, parce qu’elle serait répétée, serait donc admise et donc utilisée.
“On peut ainsi en décompter 16 000 en France. Il est éventuellement possible d’ajouter à ce chiffre les nombreuses personnes qui…”
Or 16 000 est un nombre et non un chiffre puisqu’il représente une quantité.
Les chiffres étant aux nombres ce que les lettres sont aux mots.

On ne dit pas en “Naute-Savoie” mais en “Haute-Savoie”.
Merci de respecter la langue française.

La répétition à l’infini de la formule « bac philo » rend les flash info difficilement supportables ces jours-ci, et tous les ans à la mi-juin, nous avons donc une petite pensée pour nos enfants devenus trop grands pour être appelés « têtes blondes ». La réduction compulsive des mots donne à certains points de l’actualité une tonalité profondément condescendante et infantilisante qui finit par devenir insupportable. Sur France Culture, ils arrivent à dire philosophie, alors sur France Inter, avec un effort ça devrait aussi être possible.

Concernant la langue : ne pas confondre s’il vous plaît « obsessionnel » qui est une pathologie = une névrose et « obsédant », un adjectif qui n’a rien à voir avec une pathologie. D’accord ? Alors ne pas dire qu’une idée, un refrain (…) est « obsessionnel », ça n’a aucun sens.

Une fois de plus ce matin, votre journaliste nous inflige des « celles-Z-et ceux » en veux-tu en voilà ! Par exemple, « une mutuelle pour celles-Z-et ceux qui n’en ont pas ». Ce tic de langage pseudo-progressiste, grotesque en soi, est insupportable. Autre exemple de genrisme intempestif : « ces jeunes, séduits, séduites par le Rassemblement National ». Pourriez-vous nous parler français, tout simplement, au lieu d’afficher votre progressisme à l’antenne ? Vous êtes au service des auditeurs, pas à celui de l’image que vous voulez donner de votre petite personne !

“Honneur” est un mot masculin et non féminin.

Je vous supplie d’instituer une tirelire pour une pénalité de 10€ à chaque « hein » d’un journaliste à l’antenne.
(Et même 100€ pour un « ouais », ça s’entend parfois !)
Au bénéfice des écoles du métier, mais avec obligation de résultat hein.
Et même chose pour France Info si ce n’est pas trop demander.
(Y’a pas de contrôle qualité dans votre boutique hein ?)

J’en suis à mon énième message pour contester le remplacement du mot « thermomètre » par le mot « mercure » Je sais que mon combat est vain et perdu d’avance mais bon j’insiste. En plus, désormais, le « mercure est contrasté ». Un jour mon petit-fils me demandera pourquoi j’ai un mercure à alcool !!!!