Je ne suis pas engagé en politique. Mon avis sur le traitement de l’info est seulement porté par un citoyen ayant un avis « réfléchi » sur la gestion de crise. Je suis très triste de la façon dont la maison Radio France traite l’actualité, la ligne très négative très polémique très critique … quasi systématique j’ai l’impression. Les enquêtes qui systématiquement ont comme objectif de créer la polémique ou entretenir l’esprit négatif de nos concitoyens sont assez insupportables. J’avoue avoir plaisir à basculer systématiquement sur les web radios de fip en ce moment… Les échanges que je peux avoir avec les personnes qui gardent une capacité de recul ou d’analyse confirment systématiquement cette analyse. En ces périodes de crise la recherche de buzz, la recherche d’audience envers la frange effrayée de notre pays ne me semble pas pertinente. La situation est particulièrement critique, la France n’a pas connu cela depuis des temps de guerre très éloigné. Notre pays a besoin d’unité et de solidarité pour construire notre avenir. Il me semblerait particulièrement approprié que Radio France qui est financé essentiellement par l’argent des Français, joue un rôle positif et dynamique dans l’accompagnement de ce nouveau monde qui s’ouvre à nous. Les égos, frustrations ou mauvaises intuitions de certains de journalistes ne doivent prendre le dessus sur la raison d’être de cette noble institution. Ce moment est unique, l’espoir de pouvoir vivre un meilleur monde demain est unique. Faisons-le ensemble.
Les journalistes radio (et TV ) sont, depuis le début de la pandémie en janvier dernier, responsables d’une panique qu’ils ont attisée depuis à grand renfort de reportages anxiogènes, montrant les pires horreurs et faisant croire à la population que ceux qui attrapent le Covid 19 risquent tous de mourir. Et ce, en dépit de toutes les évidences : mortalité de 1 à 2% des malades connus (donc beaucoup moins en réalité), mortalité presqu’exclusive de personnes à risque, nombre de décès équivalent à celui d’une grippe saisonnière, et pas plus élevé que celui d’un mois de mars ordinaire… De tels pronostics ne laissaient guère le choix à nos dirigeants, il fallait prendre des mesures exceptionnelles sinon on risquait une révolution. Et le choix du confinement a été fait. Puis, le déconfinement annoncé, les mêmes journalistes jouent de nouveau les Cassandre, criant qu’une 2ème vague de malades surviendra forcément, entraînant de nouveaux morts. Le résultat ? Encore un peu plus de peur dans une population déjà traumatisée. Et aujourd’hui, devinez quoi : après le tableau effrayant brossé et entretenu heure par heure par ces journalistes en mal de copie, les voilà qui osent entonner une nouvelle antienne : les Français ont peur ! Quelle surprise, vraiment, alors qu’ils ont fait tout ce qu’il fallait, et même beaucoup plus, pour ça ! Et quelle honte pour toute une profession ! Bravo, Mesdames et Messieurs les journalistes : lorsque vous perdez 1h ou plus dans une file d’attente, lorsqu’on vous y regarde de travers parce que vous êtes à 1m50 au lieu de 2m, lorsque nous n’avons pas vu nos enfants et nos petits-enfants depuis 3 mois, lorsque chacun cède à la paranoïa et regarde son voisin de travers, lorsqu’on se bat dans les magasins pour obtenir un masque ou un paquet de farine, et lorsque l’économie de notre pays ( et des autres) est dans un état qui demandera des années à nos enfants pour le surmonter, tout ça, vous pouvez en être fiers, c’est grâce à vous. Précision finale : j’ai 70 ans, j’ai attrapé le Coronavirus, et vous savez quoi ? je suis GUÉRIE et VIVANTE
Le coronavirus est partout dans l’actualité de ce matin. Je suis frappé du pessimisme des présentateurs et des invités alors que les chiffres s’améliorent: polémique sur les masques, polémique sur le déconfinement, recherche des effets secondaires négatifs de la maladie sur la base d’études fragmentaires. Seule une citation de Trump délivre un message d’optimisme, c’est un comble!
Nous n’écoutons qu’Inter mais trop c’est trop !!!
Dans cette crise, les journalistes auront une responsabilité énorme, jamais un regard positif sur ce qui est fait, la critique est facile !!
La différence entre l’Allemagne et nous est non seulement la chance que l’Allemagne n’a pas eu de cluster comme nous celui de Mulhouse, regardez comment le virus s’est propagé dans la région !
Les masques, les Allemands ont été dans la même situation, Mme Merkel a dit qu’ils ne servaient à rien puis qu’ils étaient utiles mais personne n’en parle plus, la presse a été derrière la chancelière, sans remettre en cause toutes les décisions. Ils avaient certes plus de lits de réanimation ils ne les ont pas utilisés tous, les tests plus de 30% d’échecs mais quand il y a pas beaucoup de malades tout est plus facile.
Voyez vos confrères allemands, ils ne sont pas dans le dénigrement
Vous souhaitez une crise sociale, une crise politique ? C’est effectivement plus facile pour vous d’avoir des sujets à discuter, sans être obligés d’approfondir quand la crise sanitaire sera derrière nous ou du moins moins prégnante et que vous aurez une bonne crise sociale et politique à commenter la France sera exsangue, l’Allemagne pourra nous imposer ses lois, que les sociétés françaises soient aux mains de fonds de pension américains.
Nous pourrons remercier la presse pour son rôle positif dans cette catastrophe, il est tellement plus facile de voir le verre vide et de laisser les gens dire “il y avait qu’à” !
Un jour, appellerez-vous aussi à la responsabilité de chacun
Une suggestion à Radio France pour que les Français reprennent le sport, soutiennent les associations sportives sans compter uniquement sur « l’Etat » ou les « collectivités locales », c’est-à-dire toujours le contribuable qui paie les impôts : c’est tout simplement que Radio France se décide à faire de la place à l’OPTIMISME…98% des malades guérissent. 80% des morts du virus sont (très) âgés, avec des facteurs de risques , et seraient probablement morts dans les deux à trois ans… L’inquiétude des familles est parfaitement exagérée et alimentée en continu par les médias (dont Radio France).
France info est trop négatif. Fidèle auditeur depuis des dizaines années, je ne vous écoute plus et quand je vous écoute, je vous coupe. Dans ces temps compliqués, vous ne faites que distiller inquiétude et opinions négatives au lieu de donner des informations équilibrées. Après plusieurs semaines où je vous ai boudé pour ce motif, j’écoute les informations jeudi 30 à 07h30: après 15 secondes et le premier titre, interview d’un syndicaliste inquiet de je ne sais quoi. Je coupe. Je reprends à 07h40 pour tenter une plage d’info : rebelote ; je recoupe. Interviewez qui vous voulez mais laissez les plages d’info tranquille. Pratiquez donc aussi davantage une méthode qui équilibre les points de vue au lieu de pencher toujours du même côté. Ma perception (subjective…) : vous interviewez 4 négatifs pour 1 positif. Toutes les chaines d’informations continues se repaissent de l’inquiétude et de radios trottoirs orientés parce que ça fait vendre de la pub. Vous au moins, que je paye par la redevance, vous pourriez vous dispenser au lieu de leur courir après.
Veuillez noter que ce message n’a pas pour but de défendre telle ou telle tendance politique. Il s’agit d’une critique d’une posture médiatique qui dure depuis longtemps quel que soit le Gouvernement. Vous contribuez à infantiliser et à renforcer le pessimisme des Français déjà plus élevé que dans les autres pays, en mettant systématiquement l’accent sur les dangers, les inconvénients, les risques des mesures prises, la peur des Français etc… (et quel que soit le Gouvernement en place, je ne cible pas plus spécifiquement cette période de confinement). Vous n’êtes pas les seuls médias à avoir cette attitude, mais j’attends autre chose d’un service public payé par mes impôts. Par ailleurs je déplore que vos informations, vos exemples, soient très parisiano-centrés et je trouve que vous êtes plus Paris Info que France Inter. Dans la même veine, je m’agace de vous voir si souvent consacrer plusieurs minutes à des événements américains très secondaires : posez-vous donc la question de savoir si une radio nationale américaine ferait de même pour la France. Plus de positif et d’optimisme, plus de responsabilisation, moins de fascination pour le dernier potin US , ce qui n’exclut nullement l’esprit critique mais pas « de critique », voilà ce que j’attends de France Inter.
Je souhaitais savoir pourquoi la parole n’est donnée depuis le début de la crise du covid qu’à des « pseudos spécialistes » allant tous dans le sens d’une exagération de la dramaturgie. Pourquoi la parole n’est-elle jamais donnée aux voix dissonantes qui ont le recul nécessaire à l’analyse et qui pensent par exemple que le confinement massif ne servait à rien ? Pourquoi ne parle-t-on pas non plus par exemple des études étrangères sérieuses qui annoncent des taux de létalité de l’ordre de 0,4%…? Ainsi, même s’il a malheureusement fait de nombreuses victimes, ceci rend ce virus beaucoup moins dangereux que prévu….
Mon épouse et moi avons 70 ans et écoutons France Inter fidèlement depuis plus de 40 ans. Pourtant la matinale (7/9) de plus en plus, mais surtout depuis le confinement nous « fatigue », nous déprime. Il n’y a plus d’espoir dans le futur, il n’y a que des infos désespérantes, des commentateurs tristes qui proposent des invités annonciateurs d’un futur catastrophique. Nous sommes persuadés que cela ne représente pas véritablement nôtre pays. La France ce n’est pas seulement un pays en faillite, c’est un pays encore créatif qui est plein de forces qui méritent un temps d’antenne équivalent . L’espoir fait vivre dit on. Même les humoristes ne nous font plus sourire. Heureusement il y a encore François Morel.
C’est décidé: aujourd’hui Premier Mai, je boycotte France Inter, pourtant la seule radio que j’écoute d’ordinaire. Déjà à l’accoutumée, France Inter fait une place exorbitante à la plainte et aux plaintifs mais, ce jour, ça commence avec la longue interview d’un certain M. Garcia qui travaille dans une EHPAD de Bagnolet (je crois) dont on peut penser qu’à tout moment, il va fondre en larmes à l’antenne. Ces geignements, c’est trop, trop souvent, trop longtemps. Sans vénérer les premiers de cordée, on peut ne pas vouer un culte à la victime. Quant à moi, j’ai besoin d’être stimulé, de musiques, de rires et de messages un peu enthousiasmants. S’il y en a un qui est déprimante parce que toujours dans la demande infantile permanente envers une figure paternelle, c’est bien le syndicaliste à qui le slogan tient lieu de mode de pensée. Aujourd’hui, nous ne cesserons d’entendre leurs « justes revendications » et c’est décidé, je bascule sur France Musique. Continuez d’être intelligents mais de grâce, véhiculez un peu plus d’optimisme, SVP!
La situation me semble suffisamment préoccupante pour vous adresser ces quelques lignes… Pour la première fois, depuis plus de trente ans, je quitte régulièrement l’antenne de Franceinfo après quelques minutes d’écoute. C’est devenu insupportable : Covid, masques, gel, Covid, masques, gel, Covid … etc. Le monde s’est-il arrêté ? Au-delà de l’entreprise de sape morale que représente cette logorrhée Covidesque, que se passe-t-il dans le monde aujourd’hui, ou plus exactement, que ne se passe-t-il pas ? Il y a encore quelques temps , je veux dire avant les DSK-Grivaux, les Gilets Jaunes, la réforme des retraites, etc, je me précipitais avidement sur vos antennes pour être à l’écoute de la France, de l’Europe, du monde, de la Société. Depuis quelques temps, (mois, années…), ce phénomène de resserrement de l’information s’est dramatiquement accentué. Vous tournez en rond sur des sujets, certes d’importance, mais qui ne sont pas représentatifs, à eux seuls, de l’actualité de la France, de l’Europe, etc. Je viens de lire le « bloc-notes » de BH Lévy dans le dernier numéro du Point qui, une fois n’est pas coutume, car il n’est pas ma tasse de thé, résume parfaitement et avec des exemples précis, l’étendue des infos qui sont ignorées, passées sous silence, négligées en ces temps de confinement. Après le confinement physique, vous nous « imposez » un confinement mental, comme si le malheur n’était pas assez grand. Nos fenêtres étaient fermées, vous fermez en plus les volets. Nous manquions d’air, vous nous privez de lumière, je devrais dire de « lumières » au pluriel… Et là, je parle des vôtres, de celles que votre information nous apportait, celles que vos journalistes, intervenants, spécialistes nous distillaient au fil de la journée. Vous étiez nos fenêtres sur l’info, vous les avez fermées. De plus, d’où vous est venue cette terrifiante habitude de donner la parole, à l’antenne, à tout un chacun pour y exposer le plus improbable, le plus inintéressant et le plus étroit point de vue qu’il soit ? Alors que nous aurions besoin d’élargissement, d’éclairage, de « nourissement » pour aider et faciliter la compréhension, vous resserrez, recentrez, repliez à l’infini jusqu’à la nausée les ressentis, les impressions, les questions faussement réalistes et/ou naïves d’hypothétiques auditeurs s’inquiétant de la transmission du virus par la fumée de cigarette, les chants grégoriens, ou les fraises Tagada … ou que sais-je d’autre. Quel intérêt, quel apport à l’actualité, quel enrichissement pour dire l’inexplicable emballement de cette pandémie qui se suffit largement à elle-même ? Vous avez sagement donné la parole à tout un aréopage gouvernemental, parfois humainement brillant , parfois grotesquement inconsistant , sans que cela fasse arriver des masques, du gel, des traitements, toujours en attente, toujours à venir pour des soignants épuisés et pourtant toujours aussi admirables. Les responsabilités seront oubliées, les responsables dédouanés à tort ou à raison, dès la sortie de la prochaine « affaire » à laquelle vous tendrez vos micros, trop contents de « challenger » les radios « people » que vous exécrez mais qui vous ravisse tant d’Audimat. Prenez quelques minutes pour parcourir le très intéressant billet de BHL. Il fait œuvre utile pour ce qui est de nous rappeler à l’actualité, non pas celle du supermarché du coin, de l’école du village ou des transports en commun, celles-ci, nous les connaissons très finement (et pas vous, ne vous en déplaise …) mais à l’autre l’Actualité majuscule, celle qui vous a fait nous passionner, pour vous et votre antenne, pour vos journalistes et vos spécialistes, pour tout ce qui faisait l’ADN de FranceInfo.