Guilhem « Pone » Gallard, membre de la mythique « Fonky Family », est atteint de la maladie de Charcot depuis 2015. Il publie « Un peu plus loin » (JC Lattès) dans lequel il raconte sa vie, avec les mots du cœur et ceux des yeux. Sa femme Wahiba était l’invitée de 9H10 sur France Inter ce mardi 18 avril. Touchés par cet entretien, les auditeurs nous écrivent :
Quelle grandeur Mme Pone ! Quelle beauté d’esprit ! Chapeau bas Mme Pone ! Je vous souhaite de continuer ce combat inouï avec toute la force que vous et votre mari méritez.
Merci infiniment à Wahiba et Pone pour cette émouvante, magnifique leçon de vie, ne rien lâcher, JAMAIS !
Il y a des livres, des films qui marquent profondément. Aujourd’hui c’est un moment de radio. Quelle claque !
J’interviens en tant qu’ancienne patiente ayant traversé l’épreuve du cancer et actuellement en rémission. Je suis aussi infirmière enseignante, j’interviens en tant que patiente avant tout sur l’émission “invitée de 9h10” sur Pone. Je suis admirative, et je précise que les directives anticipées du patient figurent sur la Loi du droit du patient 2002 Loi Kouchner. Les médecins doivent respecter les directives anticipées. Le patient est au centre de cette loi. Félicitations à Pone et à son épouse et tout mon soutien aussi à ses enfants. Merci de nous permettre de nous exprimer.
Je ne connaissais pas sa situation. Force et courage à Pone. La Funky Family c’est la base !
Je tenais à vous remercier pour ce très bel entretien. Je dois dire qu’au fur et à mesure que les années passent j’apprécie de plus en plus les entretiens de Sonia Devillers, et pourtant en ce qui me concerne ce n’était pas gagné au départ tant je m’en sentais éloignée à divers égards.
Cela a commencé il y a plusieurs années avec une émission sur l’art du lettrage que j’ai trouvée passionnante, j’ai compris aussi pourquoi plus jeune quand j’allais en Angleterre j’aimais si souvent plus le package que le produit lui-même mais également aux Pays-Bas, enfin bref…
C’est ma perception mais je trouve que ses entretiens ont évolué vers plus d’humanité et d’empathie, et attention je ne dis pas qu’il n’y en avait pas avant.
Mon baromètre c’est quand j’écoute un entretien alors que la personne interviewée ne m’intéresse à l’origine ni de près ni de loin, et qu’à la fin je me dis que c’était passionnant et ce même quand à certains égards je continue à trouver l’invité(e) imbuvable.
Je sais bien qu’il y a derrière également toute une équipe, et le travail de préparation s’entend vraiment. Bon, un tout grand merci.
Quelle belle leçon de courage décrite dans cette émission et quelle détermination à ne pas vouloir mourir. Quand il y a de la vie il y a de l’espoir. Le pauvre Vincent Lambert qu’on a « débranché » n’a pas bénéficié de cet acharnement dont a fait preuve sa famille. Il fallait un exemple pour « vendre » l’euthanasie.