Des réactions d’auditeurs à la Chronique du 21 septembre sur France Inter de Christine Angot au sujet de « L’Eté dernier » de Catherine Breillat : une esthétisation de l’inceste.

Bravo et merci pour votre chronique d’aujourd’hui 21 septembre qui fait le point sur l’inceste, un temps justement condamné, puis inconsidérément magnifié par Christine Breillat.

Encore une intervention essentielle de Christine Angot : elle parvient si bien à débusquer les tartufferies qui pullulent dans notre société et sont présentées par les médias comme des preuves de liberté et d’audace culturelle (ou politique, ça va ensemble).
Un grand merci.

Merci pour votre chronique si juste et lucide sur le film de Catherine Breillat et les réactions que ce film a suscitées.
C’est le retour du flou, de la zone grise, du cool transgressif des boomers adulés par les millenials. On le voit partout. Votre parole sur cette chaîne à grande écoute est indispensable, salutaire.

Excellente intervention de Christine Angot. Si seulement il y avait plus de personnes qui parlent ainsi.
Bravo ! ! !
Enfin quelqu’un qui sort du bien-pensant, du système édulcoré qui est mis en place d’une façon insidieuse par l’ensemble des médias et des politiques….

Bravo Madame Angot pour votre chronique aujourd’hui sur le dernier film de Breillat ! Oui, vous vous osez et vous nous libérez tous. Merci. C’est peut-être la première fois que je dis à haute-voix à ma radio : « c’est bien Christine, vas-y ». Merci de protéger les enfants, merci de ne pas lâcher, jamais. Malgré les critiques et la bienséance. Nous vous entendons.

Ce matin Christine Angot s’offusque de l’accueil réservé au film de Catherine Breillat alors qu’il traite d’un inceste belle mère/beau fils. Pour illustrer son propos elle souligne qu’il est incohérent d’applaudir le film après s’être émus il y a deux ans du récit de l’affaire Duhamel par Camille Kouchner dans « La Familia grande ».
Il serait bon de rappeler à Christine Angot que le film de Catherine Breillat est une fiction alors que le livre de Camille Kouchner est un récit ayant déclenché une tempête médiatique à propos de protagonistes bel et bien réels. En sous entendant que certains sujets sont interdits car immoraux, criminels, elle moralise l’art et la fiction de manière insupportable. Qui plus est sur un sujet sur lequel elle interdit qu’on la contredise.
La fiction à tous les droits madame Angot. Elle n’a aucun compte à rendre à la société. Ni à moi, ni à vous.

Bravo Mme Angot. Bien d’accord pour le parallèle avec Kouchner/ Duhamel!