Plébiscite des auditeurs pour la chronique « Assez » de François Morel diffusé ce 20 octobre

M. Morel nous a offert une fois de plus une chronique exceptionnelle !
En un court moment il résume tous les malheurs qui nous frappent et nous fait découvrir une merveilleuse chanson de Nougaro.
Merci François Morel.
Chaque vendredi, j’attends avec impatience votre billet ! Humour, délicatesse, sagesse, humanité et j’en oublie, résument votre chronique.
Merci, merci, merci.

Un grand merci pour votre billet de ce matin.
Merci de nous avoir remis en mémoire ce magnifique texte de Nougaro et si tristement d’actualité.
Qu’il soit dans la tête de chacun d’entre nous comme une lumière d’espoir.

Ben voilà que François Morel me fait pleurer sur mes tartines ! Merci à lui.

Bonjour Monsieur Morel,
Ce matin votre billet, qui tous les vendredis me fait sourire parfois et rire souvent, eh bien ce matin mon cœur s’est fracassé et mes larmes ont beaucoup coulé. Je vous remercie, malgré cette tristesse, pour le choix des mots (le choc des photos nous n’en avons nul besoin) et cette chanson de Claude Nougaro, encore et encore actuelle. Claude Nougaro poète, auteur, interprète que j’aime profondément depuis toujours. Dans la même veine, ma chanson préférée « L’espérance en l’Homme ». M. Morel je vous aime pour votre talent et votre humanisme, merci.

Merci pour ce cadeau magnifique de Vendredi pour redécouvrir  » Assez » du poète Nougaro toujours dans nos cœurs. Nous sommes toujours heureux de vous écouter en famille et d’alimenter nos discussions .
Merci de nous offrir vos billets , imprimés avec le cœur ❤️. Valeurs refuges d’émotion à conserver.
Bravo

Merci pour cette chronique pleine de sensibilité.

Pour vous, François Morel, un mot de cinq lettres …MERCI, un grand Merci et BRAVO (cinq lettres)…oui, ASSEZ, ASSEZ, ASSEZ !

Bonjour monsieur,
Un immense merci pour votre chronique hebdomadaire, perle dans la semaine.

Je suis fan depuis toujours, mais depuis hier (20/10/23) je me retiens pour ne pas tomber dans l’idolatrerie. 
Grand merci d’avoir répercuté le cri de Claude : ASSEZ.