J’apprécie France Inter mais quelle surprise ce matin 24/11 quand vous détaillez à 8h au journal les mesures du déconfinement annoncées par le président, … comment expliquez-vous l’absence d’information totale concernant les 2,7 millions d’étudiants de notre pays ?
Ces étudiants privés d’enseignement largement oubliés alors que beaucoup sont en grande difficulté morale et certains, financières.
Personne ne parle d’eux, ils sont pourtant nos viviers et les espoirs de demain. Aujourd’hui, ils sont encore pénalisés et privés d’enseignement jusqu’en février. Je suis sans mot.

Sur franceinfo :

Alexis Morel, Journaliste éducation à franceinfo vous répond :

Franceinfo a consacré une journée spéciale aux jeunes vendredi 20/11, pendant laquelle un reportage était spécifiquement consacré aux étudiants face aux cours à distance : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement/pas-d-entrain-pas-d-envie-le-blues-des-etudiants-de-premiere-annee_4188787.html

Nous avons consacré une partie de la matinale d’aujourd’hui jeudi à la réaction des universités aux annonces d’Emmanuel Macron (pas de réouverture avant février), avec l’invité de 7h40, le président de l’université de Strasbourg et un reportage réalisé par mes soins sur la colère des présidents des plus grosses universités françaises (diffusé à 7h) ainsi que Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, invitée ce soir jeudi 26 novembre à 18h50.

Sur France Culture :

Les matins de France Culture, dans Les matins du samedi. Dans la Méthode scientifique de Nicolas Martin, Tiphaine Rocquigny consacre« Entendez vous l’écho » à 14h, 
D’autres liens à consulter ici

Sur France Inter :

Reportage de Sonia Princet dans le 7h30 de France Inter le 27/11 sur les « Jobs étudiants »

Reportage dans le 13h le 27/11 par Laurent Kramer

Reportage de France Bleu sur le confinement des étudiants le 25 novembre : https://www.franceinter.fr/emissions/le-journal-de-19h

Des colis alimentaires préparés par des étudiants pour des étudiants : Esprit d’initiative par Emmanuel Moreau

Sur France Bleu :

Les différents sujets sur les étudiants

Je me réveille avec FranceInfo le matin et je suis très déçue de constater que suite à l’annonce du Président de la République sur les nouvelles mesures du confinement qu’aucun média ne s’intéresse au sort réservé aux étudiants. Ils passent jusqu’à 9h par jour en cours sur des écrans, sans aucun contact pour certains… imaginez la souffrance psychologique et cette impression d’être en train de préparer un diplôme au rabais ! Nous sommes en train de sacrifier cette jeunesse et toute le monde s’en fout…et je ne parle même pas de l’absence du Ministre de l’Education. On parle des restaurateurs, de la culture…etc mais rien sur nos étudiant, ceux sont pourtant eux la France de demain ! Je suis sidéré de constater que dans ce pays, nous ne suscitons pas tous le même intérêt.

Je suis mère de lycéens et étudiants et suite aux annonces nous parents sommes désespérés. Cela fait maintenant de longs mois que l’on ressent nos jeunes démobilisés, démoralisés, seuls en manque de lien social et il y a autour de nous un vague de fond de crises anxieuses, dépression, abandon des études…avec le sentiment bien cette fois ci qu’ils sont les plus impactés. On sacrifie une génération ? Quid des aides aux établissements pour gérer les moments compliqués comme la restauration pour donner du personnel de nettoyage et surveillance, pour trouver des locaux style salle des fête et repas froids afin que ces jeunes souvent des cours normalement masqués avec peu de risque de contamination. La vague de désespoir, et je pèse mes mots, passe inaperçue! Merci de relayer cette catastrophe silencieuse…pour faire rouvrir plus vite et que ces jeunes pleins d’avenir ne soient pas les seuls restants confinés ou semi confinés alors que les personnes âgées vont reprendre leur cinéma, courses, balades! C’est un cri du cœur! merci pour toutes vos interventions si justes et si humaines!

Fidèle auditrice de France inter depuis 25 ans, je suis consternée par le journal de ce matin. L’Université n’existe pas pour vous ? Pourquoi ne mentionner du discours du Président de la République hier uniquement les magasins, le couvre-feu…bref toutes les annonces sauf la mention de réouverture des universités, c’est-à-dire la possibilité de faire cours en présentiel ? (À une date aussi lointaine que celle des restaurants…) il y a plus de 2,7 millions d’étudiants en France et ils ne méritent pas votre attention… c’est déplorable.

Les Universités sont les dernières à rouvrir !! On s’inquiète pour les restaurateurs, les stations de ski. Mais les étudiants pas un mot. Suivre des cours en visio ce n’est pas faire des études !! On ignore ainsi une souffrance pourtant bien présente et un risque majeur de décrochage !! Beaucoup d’université avait pourtant mis en place des mesures de distanciation efficace.

Dans vos journaux ce matin, pas un mot sur le sort des étudiants.
Les universités ne rouvriront sans doute pas en présentiel avant début février.
En attendant, combien de familles ne paient pour rien un logement pour leur étudiant souvent rapatrié pour le confinement dans la maison parentale ? Combien d’étudiants privés de leurs « petits » boulot dans la restauration ne peuvent plus payer leur loyer ?
Pouvons-nous prendre conscience de toute cette belle énergie que l’on met sous cloche physiquement, intellectuellement, socialement, moralement.
Je trouve que c’est une génération sacrifiée, les priorités sont clairement ailleurs et pourtant la facture de ces beaux plans de relance dont ils sont exclus, un jour, leur reviendra à eux.
Nous brisons les ailes de notre jeunesse… et ça se passe en silence.

Fidèle auditrice de F Inter, et médecin hospitalier au front COVID, je suis choquée par la quasi-absence d’informations concernant les étudiants
On parle de reprise des commerces, spectacles, mais rien sur les étudiants.
Ils sont en distanciel quasi à 100% sauf TP qui représentent un faible pourcentage de leur emploi du temps, les profs constatent déjà en prépa des niveaux insuffisants chez les 2èmes années qui ont vécu le 1er confinement sans reprise de cours.
Ces mêmes classes prépa dépendant de lycées sont en 100% présentiel et savourent leur chance.
Les conséquences sont majeures : isolement scolaire et social, angoisse pour leur avenir, décrochage des primo entrants, perte inéluctable du niveau attendu de connaissances, pauvreté pour certains. Je suis mère de 2 étudiants de 18 et 20 ans et c’est ce que j’observe.
Cette génération, celle de l’avenir, doit-elle être sacrifiée ? Doit-elle payer pour les rassemblements festifs qui ne sont dorénavant plus possibles ? pour le retard des mesures non prises alors que le virus circulait et que les médecins donnaient l’alerte déjà depuis 1 mois ? Dans le bulletin hebdomadaire épidémiologique de santé publique France du 29 octobre, le comptage des clusters scolaires et universitaires n’est pas différencié, et le nombre des clusters est inférieur à celui des entreprises. On sait très bien que les étudiants se sont contaminés dans les soirées d’intégration et les bars ; à la fac, ils ne se contaminent pas plus que des travailleurs en entreprise et les protocoles sont respectés. A l’heure ou des décisions vont être prises et annoncées mardi, vous avez sûrement le pouvoir de ne pas occulter la jeunesse qui subit sans se défendre. Des pétitions circulent notamment de prof de facultés et d’étudiants. En tant que soignant responsable et au front, je souhaite le maintien du confinement partiel mais je pense qu’il faut arrêter le massacre des étudiants. Ils ne doivent pas faire circuler le virus et il faut clairement une responsabilisation de leur part (le maintien du confinement partiel devrait y remédier) ; et il faut clairement aussi une protection renforcée des plus de 65 ans de surcroît inactif, ce sont eux qui remplissent les services de réanimation.
Je vous remercie et bravo pour votre travail exigeant et de qualité
Salutations respectueuses

Ce matin, dans le journal de 8 h, pas un mot sur les universités qui seront les dernières à rouvrir en présentiel pour les étudiants ! Et non les restaurants. Il sera possible d’aller dépenser ses sous à acheter des objets le plus souvent inutiles, à partir du 15 décembre, alors qu’il faudra qu’2,7 millions de jeunes puissent retrouver leurs cours normaux !!! Et vous ne dites même pas un mot dessus. Je suis outrée et déçue.

Que dit-on aux presque 3 millions d’étudiants qui ont appris entre deux lignes du discours d’Emmanuel Macron hier qu’ils ne reprendraient l’université qu’au mois de février si tout va bien ?
Et qui n’ont déjà plus de scolarité suivie depuis mars l’année dernière ? Qui n’ont pas passé le bac ? Qui sont parfois isolés sans jamais n’avoir vu leur amphi à la rentrée ?
Comment explique-t-on qu’on sacrifie leur ouverture d’esprit et leur éducation et leur formation ?

Quelle étonnante réflexion de comparer la valeur de l’instruction des étudiants à l’ouverture des magasins ! Les diplômes sont-ils à ce point moins importants que la vente d’une paire de chaussette ?

On commence seulement à en parler, mais je trouverais important qu’une des radios les plus écoutées de France fasse régulièrement un point sur la souffrance des étudiants confinés. Mes deux enfants sont l’un en première année de staps, l’autre en master 2 d’architecture. Après avoir été confinés pendant trois mois en mars, ils ont commencé l’année avec de nombreux cours en vision, un fort ralentissement des relations sociales, des difficultés à se faire des amis pour celui en première année, l’interdiction absolue de se rendre en bibliothèque et en atelier pour le second en master, ce qui ne lui a laissé d’autre choix que de travailler dans les bars ou dans des chambres de 10 mètres carré en octobre, en attendant le deuxième confinement. Je vois l’effet terrible sur eux de cette coupure sociale. Aucun cours en demi-groupe n’est organisé, les professeurs répondent peu aux mails, les écrasent de travail et leur font passer des tests en ligne accélérés (QCM avec temps divisé par deux et questions complexifiées), ce qui accentue le stress et la peur de l’échec. Quand se décidera-t-on à traiter tous les jeunes de la même manière, et de se préoccuper des étudiants au même titre qu’on a pris en compte l’isolement des écoliers, collégiens, lycéens ? Ne pourrait-on pas en parler plus à des heures de grande écoute, afin de faire pression sur les pouvoirs publics.
Merci pour votre écoute et de relayer cette demande aux émissions susceptibles d’y faire droit.

Pas un mot du président (si 3 mots…) ni des intervenants, ni des journalistes concernant les Universités. Pourtant un risque très réel concerne les conditions d’apprentissages et la santé mentale des jeunes adultes.
Apprentissages de qualité inférieure, isolement.

Je ne sais pas si le sujet vous intéresse.
On peut aller à l’église mais pas à l’université…
Il y a des choses qui m’échappent, dont le silence sur l’état des étudiants…
On a eu le droit a de long discours sur l’article 24, mais rien sur la pénalisation de réunion et blocage à l’université.
Je ne sais quoi écrire pour alerter sur l’état actuel de l’enseignement supérieur.

Ma fille a commencé sa première année d’université à Bordeaux et elle n’a eu que 2 semaines de cours (1 semaine sur 2 covid oblige) puis confinement, donc cours en distanciel. Mais : jusqu’à quand cela va-t-il durer ? Pourquoi personne n’en parle ?
J’écoute France Inter tous les jours… rien. Et surtout aucune information officielle. Ah si ! Il y a quelques jours, ma fille a reçu un mail du Président de l’Université disant que les partiels de janvier se feraient à distance.
Je pense que beaucoup d’étudiants sont confinés chez leurs parents sans savoir pour combien de temps et leurs parents paient un loyer, l’électricité, la carte de tram… pour rien.
Merci d’en faire un sujet.

Voici un texte qui j’espère trouvera un écho. Je l’ai également soumis à libé. J’aborde le confinement et la formation de nos étudiants depuis l’annonce du 2ème confinement. Depuis l’annonce du deuxième confinement, il existe un grand absent des débats politiques et médiatiques : l’enseignement supérieur, ses étudiants, sa jeunesse. Pourtant il y a de quoi alimenter le débat. Le débat aurait dû commencer dès le début de l’annonce des modalités du confinement, les étudiants n’ayant pas été traités de manières équitables. Les étudiants des classes préparatoires et de BTS continuent à avoir cours en face à face, dans leur établissement. Les autres, tous contraints à suivre des cours à distance. Pourquoi cette différence ? Jusqu’à quand sera-t-elle maintenue ? Dans un premier temps on peut émettre l’hypothèse d’une prise de conscience que l’enseignement tout à distance est loin d’être enviable, plaisant, efficace, qu’il est source de nombreux problèmes (décrochages, fatigue nerveuse, appauvrissement notoire de l’assimilation des contenus du programme, étiolement de la réflexion, isolement, troubles psychiques, etc). Tous les problèmes pédagogiques soulevés lors du premier confinement dans les Lycées existent également dans le supérieur. On peut croire que si les Lycées peuvent accueillir leurs lycéens, ils peuvent accueillir aussi leurs étudiants et que cela était vivement souhaitable. Mais alors pourquoi cette différence de traitement avec les autres étudiants, établissements ? Est-elle justifiée ? Les universités, les écoles du supérieur sont-elles inaptes à mettre en place un accueil en ces temps de pandémie ? Au vu de ce qui a déjà été mis en place, il semble que non lors des cours, et si on souhaitait limiter d’avantage les risques de contamination, n’aurait-on pas pu trouver des aménagements ?
Par exemple, à l’université n’aurait-on pas pu autoriser les TD, dont les effectifs sont similaires à ceux d’une classe préparatoire avec des CM à distance temporairement ? En réorganisant l’emploi du temps, travail fastidieux, on aurait même pu limiter le brassage entre diverses classes, promotions.
Si on souhaitait limiter encore d’avantage le brassage, avoir une densité de présents sur site inférieur à celui d’un Lycée, on pourrait couper les TD en 2 (présence des étudiants sur site une semaine sur deux) en organisant la récupération des TD avec des ressources donnés par l ‘enseignant, lorsque c’est possible, ou par un scan de notes de cours d’étudiants présents par exemple, avec un moment d’échange sur les TD de la semaine passée en début de séance, et pourquoi pas, dans quelques cas faire du comodal (grâce à un équipement approprié faire un cours en présentiel retransmis à ceux qui sont à leur domicile).
D’autres pistes de réflexion existent comme alterner les semaines, par exemple, une semaine en présentiel pour les L1 et M1, et la suivante pour les L2, L3 et M2. Un tel découpage n’est pas sans poser des soucis techniques pour les enseignants qui doivent alterner cours en présentiel et en distanciel la même semaine. Les universités n’ont pas nécessairement les capacités techniques d’alterner de tel enseignement (problèmes des capacités des serveurs des universités, équipement informatique individuel des enseignants). Un réaménagement de l’emploi du temps serait sans doute nécessaire ainsi qu’un léger effort financier de la part du ministère. Aucune enveloppe pour la continuité pédagogique n’a été à ce jour crée…
On pourrait également réfléchir à la mise en place de certaines priorités entre les différentes années, voir type d’enseignement (technique, prépa concours, comptabilité avec un enseignement à distance, etc.). Prenons l’exemple des cours préparant aux concours d’enseignant, le CAPES et l’Agrégation, lors des grèves universitaires, de blocages, ces cours ont lieu. Pourquoi ne peuvent-ils avoir lieu en cette période, leurs effectifs par université étant petits ? Cette préparation est essentielle dans la formation de nos futurs enseignants où une mise à niveau dans la matière étudiée est fondamentale pour leurs futures années professionnelles. Il est aisé de leur faire cours dans un respect strict des conditions sanitaires.
L’université a la capacité, les moyens d’enseigner en face à face en confinement « alléger ».
Pourquoi ces scénarios n’ont pas étés envisagés ? Ils sont multiples et ayant chacun des avantages et inconvénients. Mais aucun n’a été étudié, revendiqué.
Pourquoi communiquions et faisons-nous croire aux étudiants, à leur famille, qu’un étudiant peut suivre un enseignement à distance et être aussi bien formé qu’auparavant ? Question d’autant plus pertinente qu’il n’y a eu aucun aménagement de leur emploi du temps journalier, hebdomadaire, de la durée du semestre, du contenu du programme. Qui peut croire que 6h à 8h de cours sur ordinateur ou téléphone portable sont aussi bien assimilées qu’en présentiel ? Pourquoi n’y-a-t-il pas eu un allégement de leur emploi du temps hebdomadaire avec un éventuel allongement de leur semestre (beaucoup de cours finissent mi-avril en général) ? Pourquoi cette absence totale de changement dans les enseignements proposés lors de ce deuxième confinement ?
Le manque de cadrage national, d’entente entre les universités sur un calendrier, y est sans doute pour beaucoup. Aucune leçon ne semble avoir été retenue du premier confinement. La leçon retenue semble faites comme vous pouvez, comme si de rien n’était.
Aucun aménagement de cours en passant à distance, aucune volonté de mettre en place du présentiel en alternance, alternance qui a la grande vertu de nous permettre de suivre nos étudiants, de les accompagner, de les former. Pourquoi cet abandon de la part du gouvernement ?
Pourquoi, non plus, n’entendons-nous pas des revendications demandant un retour des étudiants sur site ?
Ces questions sont inquiétantes, quelle image nos dirigeants ont de nos établissements du supérieur ? Un pays qui oublie ainsi sa jeunesse, leur formation, ses universités où va-t-il ?

Je suis étudiant à l’université d’Angers.
Les universités envisagent de faire passer les examens de ce semestre en présentiel. Sauf qu’elles ne se rendent pas compte que de faire revenir des centaines d’étudiants pour seulement quelques jours et réunis au même endroit est propice à la propagation du virus. De même, il est totalement ubuesque de faire cela avant les fêtes de fin d’année et les réunions familiales, tous les efforts du second confinement n’auront servis à rien. Heureusement, certains professeurs (cela reste marginal) entendent faire passer les examens de leur matière à distance, d’autant que les étudiants ont les outils nécessaires. Par ailleurs, beaucoup d’étudiants n’habitent pas la ville de leurs études, ce qui impliquerait de possibles contaminations dans les transports (d’autant que la SNCF a réduit son trafic).
Les histoires d’étudiants qui n’ont pas d’accès à internet chez soi restes marginales et sont parfois le bruit d’étudiants qui ne souhaitent pas faire d’effort pour travailler et se cachent derrière cette excuse de misère sociale.
Pourquoi un tel manque de concertation et d’informations de la part des universités ? Pourquoi vouloir à tout prix faire revenir des étudiants pour très peu de jours et avec ce que tout cela implique (transport, logement etc) ? Quel aura été l’utilité de ce confinement si ce n’était pas de préparer les fêtes de fin d’année ? Des questions à poser à des membres du gouvernement et des institutions universitaires.

Pourquoi parle-t-on de rouvrir les commerces non essentiels, les lieux de culte, les salles de sport mais rien sur les universités ? Le malaise psychologique de nos jeunes est réel, c’est un sujet très peu trop peu abordé, il y a urgence