Merci Rebecca pour cet émouvant retour sur « Les passantes ». J’ai 74 ans et j’ai grandi avec Brassens. A l’internat de 1963 à 1968, nous tentions de le copier sur nos guitares. Quel musicien et quel poète ! 50 ans après, je ne manque pas de me rendre sur sa tombe à Sète quand je suis dans la région et je ne passe jamais du côté de la rue d’Alésia sans oublier de faire un détour par l’impasse Florimont. Il reste parmi les très grands de la chanson française.