Dans le cadre de la soirée spéciale consacrée à Gisèle Halimi sur France Inter le lundi 4 avril, la journaliste Annick Cojean est l’invitée d’Augustin Trapenard sur France Inter, pour parler d’une femme qui marqué son époque.
J’ai lu hier « Une farouche liberté » et je suis tellement touchée par ce que j’entends ce matin en écoutant parler Annick Cojean de Gisèle Halimi et de la condition des femmes… Merci beaucoup pour vos émissions et celle d’aujourd’hui en particulier. Cet hommage pour Gisèle Halimi est essentiel pour nous tous. Merci.
Une forte émotion s’est imposée à moi en entendant le texte écrit et lu par Annick Cojean… En tant que femme, fille et mère, je souhaite vous remercier pour transmettre ces messages qui semblent nécessaires à nommer, dire, lire, écrire. Encore et encore. Ce texte est si juste et pertinent que je me permets de vous demander s’il serait possible d’y avoir accès pour le transmettre à nos filles et nos fils. Pour le féminisme d’aujourd’hui et de demain ? Merci, merci, merci…
Encore merci pour la pépite de ce lundi matin, repère éducatif, repère de citoyenneté, repère d’humanité, dans une époque qui en manque. Et merci à votre invitée de relayer la parole de la grande avocate des causes à défendre envers et contre toutes les citadelles de l’ordre établi quand il ne pèse et opprime qu’au prétexte de se perpétuer en même temps que des privilèges indus.
Merci à vous Augustin pour…. “notre” rendez-vous quotidien.
Mais aujourd’hui : oui, comme vous j’étais très émue… aux larmes (même !) Gisèle a été ma bouée de sauvetage ; j’ai 70 ans, pas mariée, pas d’enfants, et pas lesbienne… ! Une énigme pour beaucoup et surtout « anormale »… Heureusement que je l’ai rencontrée à travers ses livres… Le merci est faible !
Merci beaucoup pour cette émission magnifique et la lettre lue à la fin.
Merci à Augustin Trapenard dont je suis une groupie !
Et ce matin, avec Annick Cojean et Gisèle, ce fut, il fut, sublime, avec une progression de « l’ardeur » convoquée par Annick Cojean et Gisèle Halimi qui a ravivé mes propres enthousiasmes. Mille et mille mercis ! Et vive le service public de Radio France !
Tout d’abord un grand merci à Augustin d’inviter des personnes de qualité.
Annick, permettez que je vous appelle par votre prénom car vous m’êtes devenue si familière comme une amie. Merci d’être ce que vous êtes, vous avez élargi mes champs d’horizon depuis un jour où j’ai été retenue sur France Inter, il y a quelques années, par vos paroles si tendres et tout et tout, je pourrais tellement en dire. Vraiment merci d’exister.
D’ailleurs je prends le train de Bretagne dans un moment pour pouvoir assister à cette magnifique soirée autour de Gisèle Halimi que j’admire et pour qui j’ai une affection si grande. Je n’ai pas hésité une seconde lorsqu’au détour d’une écoute, j’ai entendu l’info.
Encore merci et merci… à toutes et tous. Vous êtes comme une famille dans mon existence.
Écouter Annick Cojean parler de sa vie, de celle de Gisèle Halimi, du Féminisme, dire ce merveilleux texte…ça a tellement de sens. Merci Madame ! Merci Augustin Trapenard !
Merci à Annick Cojean de rappeler si bien ce matin dans Boomerang ce que nous devons à Gisèle Halimi et la nécessité de toujours rester vigilantes et combatives !
Quelle émission intéressante ce matin avec Annick Cojean! Toujours autant passionnant de vous écouter !