Le tic généralisé depuis des années, tout le monde conclut, ponctue, par le « et voilà », je ne supporte pas cette expression. Elle traduit pour moi, l’expression d’une communauté qui est incapable de pousser sa réflexion plus loin qu’un constat vide, qui se suffit de ce qu’elle voit. Les mots usités dans un groupe traduisent toujours un état d’esprit commun : pas de soucis, tout à fait, ok, … écoutez les mots communs et vous comprendrez le sens commun.
Ce serait très utile de faire afficher une fiche de bonne pratique dans vos studios, portant sur l’usage du mot voilà, qui rythme trop souvent et de façon très agaçante les interventions de vos animatrices (teurs) et de vos intervenants. Sinon c’est très bien ce que vous faites.
Voilà : adverbe, (de vois, impératif de voir, et là) Suivi d’un nom ou précédé d’un pronom, attire l’attention sur quelqu’un ou quelque chose de proche, un événement actuel : Voilà l’argent. Le voilà qui arrive. Terme utilisé plus de 50 fois (marge d’erreur possible) au cours de votre émission par les deux invités intervenants … et pas une seule fois dans sa signification d’origine, mais simplement comme un artifice de langage, introduit çà et là comme une ponctuation qui servirait la rhétorique pour on ne sait quelle raison. Très à la mode depuis quelques temps, est-il indispensable que votre antenne s’aligne sur ce genre de « tics » verbaux, d’autant que l’écoute qui en découle n’est pas sans évoquer un certain manque de simplicité qui, dit autrement, pourrait être fort désagréable… J’ai, de temps en temps, une forte envie de zapper…
Je vous écris mon agacement vis-à-vis de ce mot qui ponctue toutes les phrases mêmes courtes, et j’écoute là une émission que j’aime, et l’invitée que j’aime aussi, mais qui a fini par me faire fermer mon poste de radio. J’en peux plus ! J’ai bien d’autres soucis, mais je me demande d’où vient cette façon de ponctuer, que je trouve d’ailleurs très péremptoire d’un air de rien ! Ne pouvez-vous pas réveiller les personnes en mettant sur la porte des studios, merci d’employer le moins possible le mot « VOILA » !! Les auditeurs vous remercieront ! Moi en tous les cas !
Les interventions des journalistes et surtout de leurs invités sont trop souvent ponctuées de manière excessive des adverbes « effectivement » et « voilà » C’est comme le bout de haricot vert au-dessus de la lèvre d’un convive lors d’un dîner, on ne finit par voir que ça et on ne prête plus attention au reste du discours.
Voilà, en fait, c’est insupportable du coup. Du coup, voilà, c’est insupportable en fait. En fait, du coup, c’est insupportable, voila! Des dizaines de fois par jour. Et même une journaliste du Monde!
Je suis tout à fait conquis par votre émission mais il y a un élément qui me perturbe et que je trouve redondant. Pourriez-vous (gentiment bien sûr) demander aux invités ainsi qu’à la productrice de diminuer de façon substantielle l’emploi de l’impératif « voilà » toutes les 10 secondes, ça rend l’écoute extrêmement difficile et le débat réellement performatif et mal maîtrisé.
Au fil du temps de mot » voilà » ponctue tous les mots, les phrases. Venant de la part de sportif, ou de personne n’ayant pas fait de grande étude, cela peut être acceptable ou toléré. Mais de la part des journalistes, intellectuels …..etc cela est insupportable. Que ce soit la télé ou à la radio.
Je n’aime pas me plaindre, encore moins critiquer un(e) journaliste, mais je dois vous alerter : votre journaliste est incapable d’aligner une phrase complète, bégaye, se répète, parsème ses propos de « voilà », d’interminables « eeeeuh », c’est in-sup-por-table. Vous êtes avant tout une radio, vos journalistes doivent avoir une diction audible. Merci de la « coacher » pour qu’elle remédie à ces graves défauts.
Intéressant votre journal mais pourriez vous éviter les “Voilà” et les “Du coup” qui parasitent l écoute !
Pourriez vous demander à vos journalistes de faire des efforts pour éviter un tic de langage qui consiste à répéter indéfiniment « voilà », ça n’a aucun sens, n’apporte rien à la discussion, et que je trouve encore plus obsédant que le « n’est ce pas » des profs de mon enfance ! Un grand merci