Tous les poncifs et le dolorisme d’une gauche bien-pensante qui a durablement échoué quasiment partout dans le Monde. On enfonce toutes les portes ouvertes et on parcourt tous les clichés d’une mouvance dépassée par la complexité du monde. Avec Piketty, on comprend mieux l’échec de la gauche et vous contribuez à l’enfoncer encore plus durablement. Aucune contradiction un peu ferme dans le questionnement, aucun contradicteur réel chez les auditeurs invités à intervenir…. Quand donc mettrez-vous un peu d’air dans votre matinale avec de vraies pensées libres et des intervenants qui ne cochent pas forcément les cases de l’esprit gentillet de France Inter.
Je suis étonnée que cet économiste ait tant de succès, sans doute parce qu’il dit ce qui est impossible à réaliser et qui fait plaisir à entendre à beaucoup. Invitez des personnes plus convaincantes tout en ayant le sens de la justice.
Voilà un monsieur qui se prend pour le nouveau Karl Marx….pour lui, rien ne va bien, tous les maux sont du vilain capitalisme. Et s’il était en charge, il coulerait le pays en moins de 3 mois…mais ce serait toujours la faute du « capitalisme »…alors qu’on a vu où le « bon socialisme » a mené: des centaines de millions de morts grâce « aux révolutions populaires » et sans parler des restes: Poutine, Xi Ping… vive Piketty
M. Piketty comme à son habitude trouve qu’on n’en fait pas encore assez dans la redistribution, alors qu’en France on en est le champion du monde des transferts sociaux.
La France crève de l’assistanat car plus on distribue plus on réclame, et plus on fait venir chez nous tous ceux qui trouvent gite et couverts gratuits.
Ce matin à 8h20 était interviewée une personne qui avait la solution à la situation actuelle comme beaucoup d’autres. Il suffit que les pays du sud de l’Europe mettent ensemble leur dette, facile, deux pauvres ensemble ne font pas un riche. Est-ce que cette personne a réfléchi à ce qu’elle disait, cela signifie que les Français vont devoir prendre en charge la dette de l’Italie et de la Grèce est-ce sérieux? N’avons pas déjà suffisamment à faire avec notre propre dette. Cela veut dire aussi que nous aurions un budget commun entre l’Italie, la Grèce, l’Espagne la Belgique et la France. C’est la fin de notre souveraineté politique, c’est du grand n’importe quoi. L’impôt relève de la souveraineté de chaque pays. Cela veut dire que ces pays vont ni plus ni moins fusionner, de la folie pure
Encore une taxe sur notre droit de vivre ! Piketty le prix Nobel de la taxe et du keynésianisme qui n’a jamais marché. Quand France Inter va-t-il inviter des économistes « libéraux »? après tout, mes impôts vont à France Inter donc, j’attends un équilibre au lieu d’inviter sans arrêt des « bien pensants » de la gauche.
Il est bien T. Piketty, mais pas grand chose de neuf sous le soleil : y a qu’a, faut qu’on, dans tout ce qui est bien politiquement correct : pourquoi pas, mais on aimerait un peu plus de « contradiction » des journalistes, qu’on aille un peu plus loin.
M. Piketty ne voit-il pas que les pays qui s’opposent au Corona Bonds sont ceux qui se portent le mieux et qui précisément n’ont pas la vision dogmatique qu’il défend.
Comme peut-il expliquer que le pays qui taxe le plus dispose du système de santé le plus déplorable? Ne voit-il pas que la question n’est pas de baisser les impôts mais d’utiliser correctement l’argent.
Si la collectivité soutient les entreprises, n’est-il pas normal : 1) de prendre en compte leur intérêt pour la collectivité et leur respect des normes, notamment écologiques, 2) de prendre des droits au capital, des participations à hauteur des investissements apportés.
Merci de me permettre d’écouter et d’entendre un autre économiste avec un point vue différent des économistes officiels.
Je vous écoute depuis des dizaines d’années, depuis mon adolescence le 7/9 bercent mes réveils. Vos émissions de qualité honorent généralement le service public de l’audio visuel. Ce matin, les questions des deux journalistes interviewant Thomas Piketty m’ont dérangé sensiblement. Le premier pose une question insinuant que la seule solution du monde d’après serait de baisser les salaires et augmenter le temps de travail en ajoutant que nous n’aurions pas d’autres choix. Il sert ainsi de manière insidieuse le discours ultra-libéral et violent du Medef, diffusant ainsi dans les esprits que cette voie unique serait la seule salutaire. J’en suis choqué, offusqué et peiné tant mon attachement au service public espérerait de ceux qui en sont les salariés et les voix davantage de pluralisme et moins de servilité. Toute l’interview suivit cette pente. Nos impôts ne peuvent servir à financer une boîte de résonnance du MEDEF et du pouvoir en place. Travaillez sur Cnews, LCi, BFM, Europe 1 ou RTL à ce moment.
Aujourd’hui l’évangile selon Saint Piketty. J’ai connu des journalistes plus critiques.
Très étonné des théories de ce monsieur.
1: la politique de Macron vis a vis des investisseurs fonctionne: augmentation des investissements, baisse du chômage
2: la fiscalité des investisseurs: DE sté sur les bénéfices: 28%, et ensuite 30% de fiscalité sur les dividendes. L’état capture donc plus de la moitié des richesses produites
3: La France est le pays le plus fiscalisé de l’OC
Monsieur, sachant que vous avez soutenu le programme de Monsieur Hamon aux dernières présidentielles, ne croyez-vous pas qu’il serait temps de reparler du salaire universel et du partage du travail au lieu de demander aux travailleurs (compte tenu du chômage actuel) de travailler plus longtemps. Je suis sûre qu’il existe un consensus possible entre patrons et employés concernant les charges sociales et je m’étonne que les économistes ne planchent pas plus dessus.
Piketty picota, l’Europe se relève et puis tout va ! Depuis quand parle-t-on d’économie européenne? bonne semaine à vous les journalistes bien dans leur continent et dans le contingent des heureux entrepreneurs avec les maux de la société.