Merci Vanessa Descouraux pour votre reportage très juste sur la situation en Haïti. Depuis notre voyage en famille cet été à Port-au-Prince, j’avais une très grande frustration sur le fait que personne en France ne s’intéresse à la situation de ce pays. Notre entourage pouvait s’étonner de ce qu’on racontait puisqu’on n’en entend pas parler ». Tant qu’une information n’est pas dans les médias, elle n’existe pas ! Vous avez exprimé de manière très juste ce que nous avons ressenti cet été, tant dans l’analyse de la situation que dans l’absence d’espoir politique de tous nos amis haïtiens. Merci d’avoir eu le courage de vous y rendre. Merci pour tout et en particulier pour la qualité des journalistes et des émissions de France Inter.

Merci pour cet excellent reportage sur Haïti, malheureusement si véridique, dans un pays si beau et si attachant, où l’on ne peut même plus aller pour les aider

J’ai écouté attentivement ce reportage impressionnant sur Haïti dont, en effet, personne ne parle vraiment.
Je connais un peu Haïti pour y avoir séjourné dans les années 1980, « sous » Jean Claude et Martine Duvallier, 22 ans de bonheur, 22 ans de progrès …, était-il inscrit sur de grands panneaux publicitaires, à l’entrée de Port-au-Prince..
Ce pays est resté très présent dans mon cœur (J’ai côtoyé l’artiste Luce Turnier, exilée en France, lors de ses derniers mois. Et nous avons plusieurs de ses œuvres. J’ai été touchée par le dernier intervenant qui disait précisément que, soit la communauté internationale était en accord avec le simili gouvernement actuel, soit elle se fichait de Haïti, ce qui n’est pas mieux.
Je ne comprends pas pourquoi il y a si peu d’informations nous parvenant sur ce pays en dégringolade barbare depuis des mois, qui n a pas vu un seul dollar utilisé dans sa reconstruction après le tremblement de terre, je n’avais même jamais entendu parler du scandale Petrocarribe, qui va avoir droit dans quelques jours à une dictature complète, encore pire que celle des Duvallier, alors que tous les autres pays en difficultés démocratiques, comme Hong-Kong en effet, ont droit à des reportages quasi-quotidiens.
Est-ce parce que les journalistes n’ont pas d’accès possible aux événements, le pays est- il devenu trop dangereux pour qu’ils s’y aventurent ?
Comment alerter la communauté internationale pour faire cesser ces massacres et ce délabrement, dans un pays par ailleurs si extraordinaire humainement ? Ne peut il y avoir des pétitions internationales ?
Probablement que les pays non francophones ne s’intéressent pas à ce confetti… Comment peut on aider ? Merci 1000 fois pour votre émission.

Madame Descouraux,
Merci pour vos reportages de grande qualité : toujours ouverts ils couvrent l’ensemble du sujet et laissent une large place à l’humanité.
-vos questions pertinentes permettent aux interviewés de s’exprimer,
vous savez écouter et relancer afin d’aller au fond du sujet, vous prenez le temps de laisser la parole, sans interprétation de votre part, avec empathie vous permettez à chacun d’exprimer son ressenti tout en gardant la juste distance. Vos reportages font chaud au cœur. Je sais qu’en 2020 vous les ferez toujours avec votre grande humanité et vous redis MERCI..

Très bonne émission qui nous apporte informations en profondeur
Réflexion :
Les populations de pays en guerre civile où règnent désordre et corruption sont en souffrance : la communauté internationale et l’ONU devraient si non s’ingérer militairement, néanmoins intervenir par l’envoi de troupes internationales ou de conseillers , avec la collaboration des ambassades
Que l’ONU sorte de son immobilisme et agisse pour la Somalie, l’Erythrée, Haiti et combien d’autres…

Madame Descouraux,
Merci pour vos reportages de grande qualité : toujours ouverts ils couvrent l’ensemble du sujet et laissent une large place à l’humanité.
-vos questions pertinentes permettent aux interviewés de s’exprimer,
vous savez écouter et relancer afin d’aller au fond du sujet, vous prenez le temps de laisser la parole, sans interprétation de votre part, avec empathie vous permettez à chacun d’exprimer son ressenti tout en gardant la juste distance. Vos reportages font chaud au cœur. Je sais qu’en 2020 vous les ferez toujours avec votre grande humanité et vous redis MERCI..

Merci d’avoir sorti ce dramatique dossier de la pile sous laquelle il était enfoui. L’éclairage donné par Lyonel Trouillot est capital. Le silence qui étouffe ces événements est à l’image de la lâcheté des nations… Merci aussi pour l’illustration sonore : j’ai pu sentir les odeurs de Pays pendant la diffusion