Votre invité ne cesse de parler de digitalisation. Cela est un anglicisme de digitalization or en français il existe un terme … numérisation, numérique Le terme digital en français se réfère aux doigts et non pas au caractère informatique, basé sur les 0 et 1. Ce mauvais usage ne cesse de se rependre (pub tv et radio, politiques, commentateurs etc.) Pouvez-vous corriger vos invités systématiquement et faire attention vous aussi ? 

J’étais surprise entendre votre journaliste utiliser l’expression – en vélo. 
Juste pour rappeler 
À vélo 
À cheval 
Et 
En voiture….

Entendu ce matin: le journaliste évoque en début d’entretien le moment où Ouissem Belgacem a « AVOUÉ » son homosexualité. « Avouer » ? Quel crime ? « Aborder », « révéler », « évoquer »… Il n’était pas si compliqué d’éviter un tel impair.  

vous avez utilisé l’expression « droit au chapitre ». Je pense que l’expression consacrée est « voix au chapitre ». En effet, « avoir voix au chapitre » vient du langage religieux et était utilisé au Moyen Âge pour désigner la possibilité pour les moines d’émettre leur opinion. Bien amicalement

Pour info le nom « soldes » est de genre masculin et non féminin ; on dit par conséquent « ils » et non « elles » quand on se réfère aux soldes

J’aurai bien aimé adresser ce courriel au webmaster du site franceinter.fr (s’il y en a un), mais il n’est pas proposé dans la liste (fermée) des destinataires. 
Alors je vous écris pour déplorer … 
1 d’une manière générale, l’abondance de fautes d’orthographe sur le site 
2 et en particulier dans la liste des émetteurs France Inter, qui se réduit à des noms de départements, des noms de villes, et des fréquences. 
Sur les noms de départements et de villes, les erreurs sont des fautes de majuscules ou d’accents : tantôt ils sont oubliés, et quand ils sont là, ils ne sont pas toujours corrects. 
Un nom de ville ou de département, c’est invariable. Pourquoi les massacrer ? 
J’espère ainsi contribuer à l’amélioration de votre site.

Ce que j’ai entendu hier sur France Inter est un exemple flagrant de la façon dont les journalistes, par leur manque de vigilance (pour ne pas dire plus, politesse oblige), introduisent des anglicismes dans la langue française.  A propos de l’infirmière qui a soigné Boris Johnson, votre journaliste nous parle « des discussions SUR COMMENT honorer nos héros ». C’est un anglicisme, et c’est du charabia, cela n’existe tout simplement pas dans la langue française. Il ne serait quand même pas difficile de dire : « des discussions SUR LA FAÇON d’honorer nos héros ». Étant donné l’audience de France Inter, voilà des millions d’auditeurs qui, n’étant pas linguistes, ne reconnaîtront pas l’anglicisme et risquent d’absorber de bonne foi une tournure qui leur paraîtra correcte parce qu’entendue à la radio, naïvement persuadés que des professionnels habilités à s’exprimer sur une chaîne nationale parlent un français correct ! En ce qui concerne votre correspondant, le fait de vivre à l’étranger n’est pas une excuse, au contraire, la contamination de sa langue maternelle par la langue du pays où l’on vit étant une expérience qu’ont faite tous les expatriés, et c’est une raison d’être d’autant plus vigilant. Je ne peux vous dire à quel point je suis révolté d’entendre un tel français sur ma radio préférée. 

Je trouve scandaleux que nous trouvions des fautes d’orthographe régulières sur des sites tenus par des journaux dit qualitatifs et sérieux. Il y a beaucoup de coquilles.

Votre invitée parle de « ces étudiants envoyés aux 4 coins de l’hexagone » ! Il y a donc 2 « coins » de la France (et tous les DOM-TOM tant qu’à faire) 
Enfin, cette expression est quand même moins surréaliste que celle j’ai déjà entendu sur notre chaîne préférée à savoir « les 4 coins du globe » !
Bonne journée à toutes et à tous et merci pour vos excellentes émissions.

Pourriez-vous informer l’ensemble de vos intervenants, qu’on ne dit pas « y’a », mais « il y a ». C’est pénible à la longue. Comme ceux qui ne font plus les liaisons, sans doute par peur de se tromper

Comme je le faisais remarquer il y a une quinzaine de jours à propos de l’utilisation du mot « live » par votre journaliste je vois, plutôt j’entends, qu’elle a récidivé. Je ne comprends pas que « l’on » ne puisse pas utiliser le mot « direct ». Malheureusement, elle n’est pas la seule. Il faut dire que cela fait  » djeune  » et moi je ne le suis plus très !!!! 

Votre journaliste a utilisé le terme « acronyme » pour parler d’une AG.
Cet emploi est abusif : un acronyme est un sigle qui peut se lire comme un mot. SACEM, UNICEF, COVID sont des acronymes. SNCF, CFDT, PSG et AG n’en sont pas. C’est simple, c’est clair, c’est comme ça. 
Depuis deux ou trois ans que la caste médiatico-journalistique a découvert ce mot, elle l’utilise à tort et à travers, sans doute pour épater le gogo, et c’est particulièrement agaçant. Quand on ne maîtrise pas le sens d’un mot, on ne l’emploie pas ! 

On dit « préférer à » et non « privilégier sur ». 
« Je me demande ce que » et non « je me demande qu’est-ce que » (variations multiples). 
Et « à la suite de » et non « suite à ». 
Quatre, cinq, sept, huit, neuf, mille n’ont pas de s. 
Vingt et cent n’ont pas toujours un s. 
Enfin la francophonie et moi-même apprécierions beaucoup que notre chaine de service public préfère aux mots anglais leurs équivalents français ou canadiens. 

Pourquoi vos journalistes remplacent-ils « difficile » par « compliqué » ? C’est évidemment « compliqué » à deviner…

Une autre épidémie semble sévir depuis plusieurs mois dans les radios et télévisions. Il ne se passe plus quelques minutes sans qu’une erreur de langage choque l’écoute. Il s’agit de la répétition, sans silence, du pronom personnel sujet. Ce matin… dans les Matins, j’ai pu relever entre autres : – « Ce projet il naît en… »
-« La vaccination elle va continuer… »
-« C’est bien parce que ce livre il a été… »
Ce défaut de langage faisait sourire à l’écoute de Monsieur Sarkozy, adepte du dédoublement de sujet. François Hollande s’était aussi prêté à ce jeu, Alain Finkielkraut s’en était agacé à l’époque : « Cette syntaxe sied aux enfants, pas au chef de l’État ! ». Il est surprenant de l’entendre de plus en plus sur votre antenne, animateurs et intervenants confondus. Sa fréquence d’apparition ne fait plus sourire. 

Surveillez-vous ! A longueur de journée on entend ça va t’être, je dois t’être. Cela devient récurrent cette liaison. A la mode ? 

Fervente auditrice de France Inter depuis de nombreuses années, j’entends régulièrement dans différentes émissions et temps d’informations le terme « abus sexuels »… on abuse de choses autorisées comme abuser du chocolat, du vin, etc… on n’abuse pas de quelqu’un, d’un enfant c’est interdit, on « agresse » une femme, un homme, un enfant. Merci de faire passer l’info afin que les faits soient nommés correctement (agression sexuelle) et non pas minimisés par l’utilisation de mots inadaptés. C’est aussi par les mots que la société change.

Entendu aujourd’hui, dans la bouche de votre journaliste questionneur : « Vous en pensez quoi ? ». Certes, c’est français, mais c’est lourd. Pouvez-vous rappeler à vos journalistes que l’on peut poser les questions de façon plus élégante, comme ceci : « Qu’en pensez-vous ? » Regardez tout simplement les exemples du dictionnaire Larousse. Trop de questions sur ce que pensent Pierre, Paul, Jacques à tout moment devient très vite lassant. Un peu de sobriété ne nuirait pas.

Pourriez-vous signaler (par d’immenses panneaux à l’accueil ?) que : de facto se dit dé facto geôle se dit jaule et non géhole geôlier se dit jaulier et non géholier imbroglio se dit imbrollio (comme dans alliance) et non imbroguliho gageure se dit gajure et non gajeure. J’en passe ! Merci par avance

Il faut que les journalistes et autres intervenants fassent une fois pour toutes la distinction entre les mots RISQUE & CHANCE. Exemple aujourd’hui :  » ils ont X fois moins de CHANCES d’attraper le Coronavirus….

Entendu (et lu) dans la rubrique L’Édito M ce 25 mai à 8:52 : « Il (Boris Johnson) a jugé l’audiovisuel public trop impartial pendant la campagne du Brexit. » Grosse erreur sur le mot « impartial ». La journaliste voulait sûrement dire le contraire : « partial » !

Ça continue et c’est pénible… Encore, à l’instant, votre journaliste (chez lui, d’ailleurs, c’est permanent), qui y est allé d’un « comme on dit en Anglais « ou quelque chose d’approchant… C’est insupportable, ce recours à tout moment à tout propos à des termes ou des expressions en Anglais…. L’Italie vient de réagir devant la marée… Mais nos journalistes tout fiérots eux poursuivre leurs étalages de pédants, qu’importe si tous les auditeurs ne comprennent pas tout… Dans le club des « sachants », on se comprend, et c’est là manifestement l’essentiel… Et ces errements évidemment gagnent partout…Ainsi dans mon département du Lot, on a une association censée défendre et promouvoir ses intérêts économiques qui s’intitule d’un infantile « Oh ! My Lot »… Et ce au cœur de l’Occitanie, où la langue d’Oc serait incontestablement plus opportune ! Nota symptomatique : omettant de remplir la case « e-mail » (pas courriel, bien sûr !), j’ai eu droit à ce rappel à l’ordre « This value should not be blank »… On vient d’étriller en deux coupes la perfide Albion… ON va reprendre la guerre des boutons de cent ans et pied-au-culter le bottom des complices de cette épidémie d’anglicismes françaisicides….. 

Vraiment saturée de l’usage snob et ridicule d’expressions anglaises non traduites ! Ce matin « old school » dans une chronique environnement et « loose » pour présenter la chanteuse de l’Eurovision. Les journalistes ne peuvent-ils faire preuve d’imagination pour employer de jolies expressions en bon français ! 

Pourquoi vouloir à tout prix mettre un mot de la langue anglaise comme en ce moment (CLUSTER) alors que foyer existe en français notre langue est bien mal traitée.

On ne dit pas « pallier au » !

Comme de nombreux auditeurs, je souffre d’un excessif emploi du « franglais », d’autant plus que la langue française offre également le mot juste pour exprimer sa pensée. 

Une fois encore je m’étonne de cette mode qui fait prononcer (bien loin de la Provence !….) les O fermés en O ouverts. Si on peut s’amuser de la publicité pour Airbnb entendue sur France Inter où de sympathiques propriétaires (n’ayant nullement l’accent méridional) se proposent d’être « hottes ».

J’ai entendu un journaliste énoncer cette phrase : « de vaccins, il *en* sera aussi question ». Cela m’a rappelé un film avec Francis Blanche ou un avocat disait : « de quoi suis-je-t-on accusé ». Le même journaliste montrait ensuite sa connaissance de la langue anglaise en parlant fièrement de « papier » (comprendre « article »). Je suggère que les personnes qui s’expriment au micro soient mieux formées à la langue française. Le montant de la redevance audiovisuelle, multiplié par le nombre de contribuables, devrait le permettre. Je ne suis qu’un ingénieur, la parole n’est pas mon métier : chacun sa compétence ! Je vous remercie de votre attention.e reviens vous parler des liaisons, comme je l’ai déjà fait à plusieurs reprises, et toujours pour m’insurger contre la manie d’en faire et non pas pour le contraire ! Mon retour épistolaire tient au fait que j’ai cru m’évanouir quand j’ai lu le message suivant d’une de vos interlocutrices : « J’aimerais avoir l’avis de votre invité sur cette nouvelle « mode » qui est de ne plus faire les liaisons (…) on a désormais l’impression que plus personne n’ose faire les liaisons (peut-être de crainte de faire une erreur), y compris les journalistes de France Inter ! Et cela concerne tous les mots désormais. » Je n’ai plus hésité à vous écrire une nouvelle fois pour dénoncer cette « nouvelle mode », en effet, qui consiste à faire des liaisons à chaque mot ou presque, comme si la langue n’était qu’une dictée de certificat d’étude prononcée par un bon instituteur soucieux d’épargner le plus nombre possible de fautes d’orthographe (et notamment d’accords) à ses chers élèves ! Mais enfin ! La langue est d’abord inscrite dans l’oralité : dans la langue française, une langue qui ne prononce pas toutes les lettres de la forme écrite d’un mot, contrairement, par exemple, à l’allemand, l’orthographe d’un mot comme « depuis » ou « chez » ne doit pas l’emporter sur la prononciation de ce même mot. Ainsi, les portes (en phonétique [port]) qu’on a ouvertes [ouvert] n’ont pas à devenir les otages d’une dictée de CM2 et doivent donc se prononcer sans cet inutile « Z » entre [port] et [ouvert], c’est à dire se prononcer comme il convient de le faire en « français oral » et non pas comme dans une dictée de CM2… Il convient donc de bannir les « journées porteuZouvertes », les rendez-vous « chezZHélène » (jamais de liaison avec un nom propre !), les « depuiszhi-er » depuisZaujourd’hui » « depuisZun an, Zun mois, Zune semaine » dont on nous assomme sur les antennes EN CROYANT BIEN FAIRE et pour faire plaisir à quelques grincheux qui vous écrivent parce qu’ils ne (re)connaissent pas, semble-t-il, la différence entre orthographe et prononciation… Idem avec le présentatif « c’est » : jamais de liaison, normalement, avec un nom propre : C’est / Hélène qui m’a rendu visite et non pas « c’estThélène, TYves Calvi, TAndré Manoukian »… Je vous avais envoyé un document tiré du « Français langue étrangère » qui donnait assez clairement les règles de prononciation du français en matière de liaisons. Entre ces liaisons, qui me donneraient pour un peu « les larmesZauxZyeuxZen y repensantTavec des motsZextrèmementTamerszet pourtantTinutiles », et les o (ô) prononcés de plus en plus ouverts, selon les canons de la nouvelle mode médiatique… et par les meilleurs, il ne nous reste plus qu’à radoter en vous inondant de nos suppliques et remarques contradictoires, parmi lesquelles je ne doute cependant pas que vous saurez reconnaître celles qui sont les bonnes !

Je reviens vous parler des liaisons, comme je l’ai déjà fait à plusieurs reprises, et toujours pour m’insurger contre la manie d’en faire et non pas pour le contraire ! Mon retour épistolaire tient au fait que j’ai cru m’évanouir quand j’ai lu le message suivant d’une de vos interlocutrices : « J’aimerais avoir l’avis de votre invité sur cette nouvelle « mode » qui est de ne plus faire les liaisons (…) on a désormais l’impression que plus personne n’ose faire les liaisons (peut-être de crainte de faire une erreur), y compris les journalistes de France Inter ! Et cela concerne tous les mots désormais. » Je n’ai plus hésité à vous écrire une nouvelle fois pour dénoncer cette « nouvelle mode », en effet, qui consiste à faire des liaisons à chaque mot ou presque, comme si la langue n’était qu’une dictée de certificat d’étude prononcée par un bon instituteur soucieux d’épargner le plus nombre possible de fautes d’orthographe (et notamment d’accords) à ses chers élèves ! Mais enfin ! La langue est d’abord inscrite dans l’oralité : dans la langue française, une langue qui ne prononce pas toutes les lettres de la forme écrite d’un mot, contrairement, par exemple, à l’allemand, l’orthographe d’un mot comme « depuis » ou « chez » ne doit pas l’emporter sur la prononciation de ce même mot. Ainsi, les portes (en phonétique [port]) qu’on a ouvertes [ouvert] n’ont pas à devenir les otages d’une dictée de CM2 et doivent donc se prononcer sans cet inutile « Z » entre [port] et [ouvert], c’est à dire se prononcer comme il convient de le faire en « français oral » et non pas comme dans une dictée de CM2… Il convient donc de bannir les « journées porteuZouvertes », les rendez-vous « chezZHélène » (jamais de liaison avec un nom propre !), les « depuiszhi-er » depuisZaujourd’hui » « depuisZun an, Zun mois, Zune semaine » dont on nous assomme sur les antennes EN CROYANT BIEN FAIRE et pour faire plaisir à quelques grincheux qui vous écrivent parce qu’ils ne (re)connaissent pas, semble-t-il, la différence entre orthographe et prononciation… Idem avec le présentatif « c’est » : jamais de liaison, normalement, avec un nom propre : C’est / Hélène qui m’a rendu visite et non pas « c’estThélène, TYves Calvi, TAndré Manoukian »… Je vous avais envoyé un document tiré du « Français langue étrangère » qui donnait assez clairement les règles de prononciation du français en matière de liaisons. Entre ces liaisons, qui me donneraient pour un peu « les larmesZauxZyeuxZen y repensantTavec des motsZextrèmementTamerszet pourtantTinutiles », et les o (ô) prononcés de plus en plus ouverts, selon les canons de la nouvelle mode médiatique… et par les meilleurs, il ne nous reste plus qu’à radoter en vous inondant de nos suppliques et remarques contradictoires, parmi lesquelles je ne doute cependant pas que vous saurez reconnaître celles qui sont les bonnes !

De grâce arrêtez de parler de – cadavre- comme je viens de l’entendre, mettez-vous â la place des familles concernées par ce décès. Les professionnels utilisent toujours, le corps de… a été…

Je vous écoute quotidiennement en Martinique. Je souhaitais réagir suite à la définition donnée par votre invité du mot « négropolitain ».  Le terme est employé pour désigner un noir dont l’accent, les codes et la culture s’apparentent plus à la France hexagonale qu’aux Antilles. Tout simplement. Un noir d’origine martiniquaise qui a toujours vécu à Paris et revient avec son accent parisien sera appelé négropolitain ou bounty.

Je vous ai déjà contacté au sujet de la prononciation du Washington Examiner ; aujourd’hui, c’est une erreur en français qui me fait mal aux oreilles – erreur fréquente, chez beaucoup de journalistes. Il faut savoir que DONT = DE QUE. Il ne faut donc jamais dire « C’est DE cela DONT* il s’agit » (redondance), mais « C’est DE cela QU’il s’agit » (ou bien mais c’est moins agréable à l’oreille : « C’est Ø cela DONT il s’agit » – Ø = rien).

Nous sommes des auditeurs assidus. Mais hier (pour la première fois !) vous avez dépassé les bornes en ce qui concerne votre expression française. Vous avez dit ‘ kilomètres PAR heure’. Pour être sûr que tout le monde vous a entendu, vous l’avez répété au moins dix fois !!! C’est un anglicisme horrible qui a été commenté par des personnes comme Alain Rey comme une faute grammaticale grave. Aujourd’hui le 27/5, sûr de vous, vous avez répété la même chose comme si c’était un pari. Vous êtes connu pour vos connaissances et votre exactitude en français. Merci (Note : Je suis anglais et j’aime la France et le français pour ses priorité pour la culture ‘VRAIE’.