Je viens d’entendre le journaliste qui anime l’émission utiliser deux fois l’anglicisme « think tank », “groupe de réflexion” pourrait se substituer non ?
Il y a quelques jours aux enjeux internationaux un invité employait « pattern » vite repris et corrigé en modèle, bravo.

“Marche des Fiertés : trans is the new gay ?” C’est le titre du Téléphone sonne le 22 juin. On ne sait plus parler français sur France Inter ??? Quel snobisme !

Ça vous dérangerait de mettre vos titres en français et non plus en globish à cent balles pour essayer de prendre un air « trendy » ?!? Ou bien essayez-vous d’inciter les auditeurs qui ne se sentiraient pas très sûrs d’eux à conclure qu’ils sont des imbéciles ?

Pourquoi, pour qui, les présentateurs glissent-ils tant de nouveaux mots anglais comme sortis d’un jeu de carte tout neuf qu’ils viennent d’acheter et veulent à tout prix montrer, parce ça brille tellement !? Émission sur les jeux Olympiques : L’attribution des marchés à des entreprises, c’est toujours un peu « Touchy » n’est-ce-pas ? demande la présentatrice. À qui s’adresse-t-elle ? Pourquoi ne dit-elle pas « sensible » ? Et pourquoi fait-elle estéfadé (utilisation en persan) de ce terme ? La budda li (je dois en arabe) protester ! Je suis passionné par les langues, mais cette manière de balancer des mots me semble peu généreuse, peut-être même snob isn’t it ?
Et pour partager les discussions avec tout le monde, c’est un maodun (paradoxe en chinois). Ceci dit, il est gentil d’aider les Américains à avoir un peu d’influence sur nous, good job !
Merci d’avoir lu e’terazam (ma protestation en persan).

Je vais essayer de faire court en ne citant qu’un exemple. Ce matin 28 juin dans un journal de France Inter. Pour lutter contre la discrimination à l’embauche des campagnes de testing. Que le représentant de l’entreprise qui réalise ces tests n’aie aucun respect pour notre langue, soit. Mais je ne supporte plus cette flemme mentale de trop de journalistes qui devraient avoir appris à aimer employer les mots justes et qui ne reprennent les sujets en disant par exemple : les procédures de tests, ou simplement : les campagnes de tests…
Oui, j’ai bien compris que les journalistes ne le font pas pour la hype mais bien par flemme intellectuelle et par désintérêt de véhiculer un français simple et correct.
Et pardon si mon message contient des fautes mais après tout mes études n’avaient pas pour but de m’enseigner entre autres à écrire au parler de mon sujet en respectant grammaire, orthographe, sens des mots, etc.

Juste un petit mot gentil : depuis quelques jours, nous entendons de vos journalistes utiliser le mot « DRAFT » au lieu d’un mot en français comme « repêchage ».
Au Québec depuis près de 100 ans nous essayons de franciser les expressions « anglaises » en usage traditionnellement dans notre vocabulaire. Nos parents appelaient cela : « la survivance française» … L’Office québécois de la langue française en matière de sport etc a fait de gros efforts à cet effet et nous y aide beaucoup. Bonne survivance française à vous.