Comment un (ou une) scientifique spécialiste de la météo peut-il (ou elle) parler de températures chaudes ou froides ??? 
Il faudra nous expliquer comment ils font pour « tâter » une température !!! 
NON ! Une température est BASSE ou ELEVEE ! 

Je sais que toute langue vivante évolue par l’usage mais il demeure des règles.
Ainsi une température ne peut être ni chaude ni froide puisque c’est une mesure, de même un prix ne peut être cher, il est bas, modéré ou élevé… Je suis un peu las et exaspéré d’entendre quotidiennement sur notre antenne ce genre de non-sens.
Merci de transmettre mon observation à vos commentateurs.

Ce matin, le présentateur du journal aurait dû changer de mot ou de formule lorsqu’il dit : « Le chiffre vient de tomber, + 28%. C’est le nombre de demandeurs d’asile… » Effectivement, 28 est un nombre constitué des chiffres 2 et 8.

Ce matin, j’ai été outré que la personne qui donnait la météo ait dit pour la vitesse du vent km/heure. Cela n’est pas correct, l’unité d’une vitesse est une longueur par une unité de temps, ici il faut donc dire km par heure ou km à l’heure. Cela caractérise une lacune en physique et mathématique de classe de 3ème.
De plus, cette personne a aussi dit « que le mercure » augmenterait. Il n’y a plus depuis très longtemps de thermomètre à mercure pour observer les variations de température. Aujourd’hui, au 21ème siècle, on utilise des thermomètres électroniques. Même pour la température des personnes on n’utilise plus de thermomètre à mercure, cela est interdit même dans les hôpitaux. Le mercure est un métal liquide à la température ambiante qui dégage une vapeur très toxique.
Par ailleurs, plusieurs de vos intervenants : journalistes, experts, personnalités diverses, etc. maîtrisent mal la langue française : usage de mots anglais (checker pour contrôler, sourcing pour sourçage ou ressource, etc) des fautes graves sont commises telles que : espèce doit rester du genre féminin même si le complément d’objet direct est masculin, dire un espèce de pont n’est pas correct : il faut dire une espèce de pont, morbide n’est pas relatif à la mort mais à la maladie, etc.
Cela montre que l »école de la République a, pour ceux qui font ces fautes, échoué dans sa mission.

Mon message concerne uniquement la forme de votre page de site « Les histoires du monde “ — son contenu étant très intéressant, comme la plupart du temps.
Vous écrivez : « C’est sans compter sur les macaques rhésus qui pullulent dans la capitale indienne. » Cette phrase comporte une erreur grossière et exaspérante, car très répandue chez les journalistes de France Inter, pour une raison qui m’échappe…
Forme correcte : « C’est COMPTER SANS les macaques rhésus, etc. »
Pourriez-vous être vigilant, à l’avenir, et employer la forme correcte, SVP ?
Et puis ce serait bien aimable à vous de faire circuler l’info auprès de tous vos collègues !

De plus en plus de chroniqueurs ont pris le pli, en remerciant leurs invités, de dire « Merci d’avoir été notre invité ». Deux fois de suite ce matin dans le 6/9 de France Inter … Il serait bon que ces personnes réfléchissent 2 secondes à ce que veut vraiment dire « Merci d’avoir été notre invité », qu’il faudrait tout simplement remplacer par « Merci d’avoir accepté notre invitation ».

Chère équipe de France Inter,
Je vous écoute beaucoup, ce qui me donne l’occasion, parmi la somme d’informations reçues, dont je vous remercie sincèrement (on sent le travail qui est derrière), de m’agacer aussi quelquefois sur des travers de langage, vous voudrez bien m’excuser d’être aussi pointilleux.
J’ai entendu à diverses reprises des chroniqueurs politiques employer l’expression « le plus petit dénominateur commun ». Si cette notion peut exister en mathématique, c’est ici un contresens, car le plus petit dénominateur commun, c’est 1. Il existe le « plus petit commun multiple », et vous voulez sans doute parler du « plus grand commun dénominateur » (ou dénominateur commun), c’est-à-dire le nombre le plus élevé par lequel on peut diviser deux nombres différents tout en obtenant un résultat entier. Même en politique, cela ferait sens !
Sans prétendre donner de leçon.

Il est probable que notre ministre de l’Intérieur occupe le devant de la scène toutes ces prochaines années. Alors, par pitié, exigez de vos journalistes qu’ils prononcent correctement son nom. Il ne s’appelle pas “GéraldEU Darmanin”, ou “Gérald DE Darmanin”, comme on l’entend 100 fois par jour sur vos antennes. Il n’y a pas de « E » entre son nom et son prénom! Pour les spécialistes de l’oral que sont les journalistes de radio, il ne devrait pas être trop difficile de corriger cette erreur. Avec un peu de bonne volonté.

Entendu pour la énième fois ce matin : … C’est DE Gérald Darmanin DONT il s’agit… » 
Il y a des fautes auxquelles on finit par s’habituer, d’autres, non. 
Elle est trop courante, notamment dans la bouche des journalistes (pourtant titulaires de diplômes ?) pour ne pas être soulignée. Même si producteurs et animateurs ne sont pas exempts de ce reproche. 
DONT est la contraction de DE… QUE. 
Deux formulations sont donc recevables : 
–  « … c’est DE Gérald Darmanin QU’il s’agit… » 
ou, moins « digeste » peut-être : 
– « … C’est Gérald Darmanin dont il s’agit… » 
La répétition de cette faute par de trop nombreux intervenants porte préjudice à l’image qualitative de la (des) chaîne-s et constitue un très mauvais exemple pour tous ceux (dont les plus jeunes) qui apprennent notre langue. 

Dans votre chronique musicale de ce matin, vers 6h50, vous avez dit que le pianiste « écrasait le premier octave »…
A ma connaissance, le mot « octave » est féminin…

Merci de faire la liaison lorsque vous prononcez « un violent orage » ; le coup de glotte germanique précédant une voyelle n’existant pas en français, il n’y a pas de coup de tonnerre devant orage…, ce qui fait qu’on perçoit juste «un violenTorage».

Je me demande pourquoi, depuis plusieurs années, les mots « père » et « mère » sont tabous dans les médias à croire que ce sont des « gros mots » comme disent les enfants. Entendre une personne largement adulte se faire questionner sur son « papa » et sa « maman » est vraiment ridicule et relève, excusez-moi, de la « cucuterie ». Serait-ce une preuve de l’infantilisation de la société ? Et cela est monnaie plus que courante. Encore ce midi… Mais c’est devenu tellement banal ! Mais je suis une vieille auditrice rabat-joie sans doute. Je vous souhaite une bonne journée et vous remercie de me lire.

Votre journaliste a dit ce matin des parents sud-coréens qu’ils z’harcelaient les professeurs de leurs enfants. Merci de vérifier les règles du français. On ne mange pas des z’haricots. Et le pire c’est qu’on retrouve la chronique en différé, avec la même incorrection. Mais je ne voudrais pas que vous pensiez que je vous z’harcèle. Faites attention la prochaine fois.

Étant enseignante, je déplore l’utilisation régulière de l’abréviation « profs » pour parler des enseignants ou professeurs. Cette abréviation a un côté dépréciatif qui donne une tonalité méprisante aux propos.

La plupart des journalistes emploie le terme « profs » au lieu de « professeurs » notamment dans les interviews politiques, la dernière en date étant celle de Gabriel Attal, ministre de l’Education Nationale.
Selon moi, l’usage de ce diminutif n’est pas anodin et à tendance à discréditer la profession et la place des professeurs dans la société.
Aussi, serait-il possible de sensibiliser les journalistes à un usage plus fréquent du terme « professeur » plutôt que de son diminutif ?

Il faudrait quand même signaler à votre présentateur que l’on ne dit pas ‘violences fait aux femmes » en faisant la liaison entre le « t » de « fait » et le « aux », mais en disant « faites’z’aux » puisqu’il y a un « s » à ‘faites’… À croire que ce JOURNALISTE ne maîtrise pas la langue française (ce qu’il démontre jour après jour)…

Je souhaiterais faire remarquer à votre présentatrice météo qui nous informait de la météo du jour ce matin qu’en français correct, il ne se dit pas  » vous savez c’est où ? » même si c’est à CHATEAUROUX. La formule correcte est, à la rigueur, « vous savez où cela se trouve ?  » ou bien « vous savez où c’est ?  » à défaut de « savez-vous où c’est ? » mais il ne faut rien exagérer ni exiger. Tout ce qu’on peut souhaiter c’est d’entendre sur nos ondes d’autres formules que « c’est qui ?  » je te dis c’est lesquelles », etc. ce langage est, je le crains, celui généré par les SMS. Mais en aucun cas celui qu’on peut employer sur les ondes d’une radio française digne de ce nom. Merci Madame, j’apprécie énormément par ailleurs votre travail. Bien cordialement, et fidèlement, quoi qu’il en soit !

Pourquoi utiliser systématiquement le terme péjoratif « prof » quand vous parlez des enseignants ?
Utilisez vous le terme « flic » lorsque vous parlez des policiers ?
Ce choix de vocabulaire, même s’il est inconscient, participe à mon sens à l’image dégradée de notre métier auprès du public.