Ravi d’avoir entendu A. Finkielkraut dans l’émission que j’écoute en podcast chaque semaine. Le véritable débat sur ces sujets civilisationnels ne peut se passer de voix porteuses d’un discours dissonants. L’ouverture à des « chroniqueurs » aux opinions divergentes mais éclairantes (sur ce sujet comme les autres) enrichit l’émission. Je tiens à signaler que je n’adhère absolument pas aux idées de Finkielkraut.
C’est avec un immense plaisir que j’ai écouté les mots de votre invité , Eric Fiat car je dois avouer que 30 ans plus tard je reste blessée par le dédain d’un de mes professeurs, alors que j’étais étudiante en géographie, et que lors d’un oral j’avais cité quelques mots de « Manon des sources », que je relisais. J’étais interrogée sur « l’eau dans le sud est de la France ». Ma présentation avait bien plu à l’exception de ma référence littéraire, parce que « Marcel Pagnol ne pouvait pas être une référence littéraire » justement… Nous voici, Marcel Pagnol et moi, à travers votre émission, enfin réhabilités dans mon esprit et ma blessure se referme… Mais je dois avouer aussi que je n’ai jamais renoncé à relire Marcel Pagnol car je sentais bien que ce Maître de Conférence se trompait. Très fidèle auditrice de votre émission, je lis maintenant aussi Vladimir Jankélévitch et Simone de Beauvoir par exemple et il y a bien d’autres égratignures de mon égo qui ont été guéries grâce Aux Chemins de la Philosophie.
Je souhaitais remercier très vivement Marc Weitzman pour sa dernière émission sur la « cancel culture ». Son invité, Thomas Chatterton Williams, gagnerait à être mieux connu. Ses propos m’ont d’autant plus intéressée que la lettre ouverte qu’il a initiée constituait une réaction au fait que David Schor a cité l’étude d’un de mes collègues à Princeton, le professeur Omar Wasow. Je ne connais pas ce dernier personnellement, mais si j’ai bien compris on lui reproche tout simplement de suivre un protocole scientifique strict – or, et ce n’est pas l’aspect le moins effarant de ce mouvement, adopter une pensée rationnelle est de plus en plus considéré comme un acte de racisme.
Bonjour à tous, très fidèle auditrice de France-culture qui m’accompagne quasi toute la journée, je suis perplexe sur la diffusion d’extraits de films en anglais sans aucune traduction. C’était le cas hier dans l’émission La critique, c’est encore le cas ce matin dans l’idée culture avec Alice Zeniter. J’ai beau lire à peu près l’anglais, regarder les films en VO sous titrés, je suis dépassée par l’audition seule d’un fragment audio de film censé me donner une idée de l’atmosphère ou du thème de l’œuvre. Je ne crois pas être la seule dans ce cas…Si l’on pouvait dire en quelques mots, à défaut d’une traduction totale, le sens de l’extrait, ce serait bien… Je profite de ce message pour vous dire aussi que je suis frappée par l’oubli de plus en plus fréquent des règles de l’interrogative indirecte en français. J’ai collecté un florilège d’horreurs : « on ne voit pas qu’est-ce qui pourrait expliquer « , « tenter de comprendre qu’est-ce qui s’est passé » » réfléchir sur le comment est-ce qu’on fait » et tout à l’avenant. On m’avait appris que la langue évoluait entre autres choses par la loi dite » du moindre effort », visiblement c’est faux…car les formules glanées sont bien plus compliquées que nécessaire et moins fluides que » ce que », ou « la manière dont ». Je vous remercie par avance de l’attention que vous porterez à mes remarques et vous assure de ma fidélité à votre chaîne dont la qualité est évidente, malgré ces petites critiques.
En tant que journalistes vous pourriez vous intéresser aux financements de cette nouvelle guerre. Car au lieu d’être le reflet des diverses opinions, il me semble nécessaire de questionner l ‘origine des armes et des moyens engagés dans ce nouveau conflit. N ‘est-ce pas le travail du journalisme que de vérifier les sources et de rester neutre ou indépendant.
Lors du journal de 12h30, sur France Culture, vous avez diffusé un sujet sur le salaire des enseignants du primaire en France en comparaison avec les pays voisins. Outre le fait que ce sujet est plus que récurrent sur vos antennes, il me semble qu’à chaque fois, un des éléments que l’on devrait prendre en considération lorsque l’on parle de rémunération et que l’on compare des salaires, c’est la quantité de travail qui est rémunérée. L’OCDE effectue une comparaison entre le temps de travail des enseignants du primaire dans ses différents pays membres et notamment les pays d’Europe. Elle distingue le temps de travail dans l’établissement (les heures de cours) et le temps de travail « statutaire » qui comprend les heures que l’enseignant est sensé utiliser pour préparer ses cours, corriger des devoirs, etc… heures à la discrétion de l’intéressé et qui ne font pas l’objet d’un contrôle.
En France, le temps de présence d’un enseignant du primaire est, selon cette source – plus que fiable-, de 972 heures par an (c’est le chiffre le plus faible de tous les pays comparés) contre, par exemple, 1360 en Suède, 1540 en Estonie, 1265 en Grande Bretagne, 1300 en Norvège, etc… Sur cette base horaire, il ne fait aucun doute que les enseignants du primaire en France ne sont pas les moins payés de tous les pays d’Europe.
Alors, certes, il y a le temps supposé être de travail lorsque l’enseignant est ailleurs que dans l’établissement, mais pour avoir été enseignant moi-même au début de ma vie professionnelle, je peux vous assurer que ces heures de correction ou de préparation de cours sont effectuées en majeure partie sur des temps morts (pendant les transports, sur un coin de table en regardant la TV, etc.) En outre, les enseignants des autres pays en ont tout autant qui se rajoutent aux heures de présence obligatoires.
Alors oui, c’est vrai, les enseignants, particulièrement ceux des écoles et collèges ne sont pas des privilégiés pour ce qui est de leur rémunération, mais ils ont d’autres avantages, comme par exemple, le temps disponible. D’autres catégories, pas mieux loties pour ce qui est de leur rémunération n’ont pas la chance de disposer, en compensation, de temps libre. Tout ça pour dire que la radio ne peut se borner à être le porte-voix de syndicats catégoriels.
Je vous remercie infiniment pour la beauté radiophonique que je viens de vivre dans mon véhicule. Mon instituteur en Cm2 m’a transmis la passion de Pagnol, 40 ans après vous me ravivez d’intenses souvenirs de littérature et d’émotions. Seul dans mon véhicule je pleure lorsque Pagnol lis le temps des secrets et la fin tragique des personnages. Merci pour ce beau moment d’émotions.
Quel régal et quel privilège que d’avoir Éric Fiat comme invité sur ce thème délicieux. Bravo et merci
Un vrai plaisir votre émission. Une envie forte de me replonger dans Pagnol Merci
Merci pour vos émissions de cette semaine dans les Chemins de la Philosophie ! Elles sont « rafraichissantes » et font revivre nos lectures d’enfance !
Roald Dahl est-il dangereux pour les enfants ? Bravo pour cette émission qui, enfin, donne une place juste à Roald Dahl. Et, en effet, les enfants vont très bien. Petite remarque toutefois : il est sans doute de bon ton d’affirmer que Dahl est délaissé dans le domaine « académique ». Précisons que deux colloques universitaires se sont tenus en France. Ils ont donné lieu à publication : – Colloque de la BNF (2006)(dirigé par Lucile Trunel et Jacques Vidal-Naquet) publié sous le titre L’Univers de Roald Dahl, La Joie par les livres, Paris, 2007. – Colloque de l’Université de Picardie-Jules Verne (Beauvais) (2018) (dirigé par Noëlle Benhamou et Philippe Blondeau) publié sous le titre Roald Dahl, La Fabrique d’un imaginaire, Cahiers Robinson, 47, 2020. Merci encore pour cette émission tonique, pleine d’humour et de promesses. Amitié et fidélité.
Simplement un mot pour vous remercier infiniment de vos émissions Les racines du ciel ; ce sont pour moi de très beaux moments qui m’ouvrent de nombreuses portes. J’ai grâce à vous trouvé ma voie. Nous avons beaucoup de chance de vous avoir.
J’ai trouvé en particulier très intéressante l’analyse de M. Williams sur les liens entre ce mouvement de la « cancel culture » et le monde de l’entreprise. Il y aurait sans doute beaucoup plus à dire sur les origines de cet émotionalisme bas de plafond, et sur ce qu’il doit aux techniques contemporaines de management et de marketing. J’ai également trouvé très juste l’analyse de M. Weitzman sur l’aspect millénariste et religieux de la « cancel culture », qui à plusieurs égards prend le relais des croyances religieuses en déclin. Merci beaucoup donc pour cette analyse éclairante et pénétrante, qui se poursuivra, je l’espère, dans d’autres émissions !
Bonjour Émilie Aubry, Je tiens modestement à vous féliciter pour votre maîtrise calme de la conduite de votre émission, même avec des intervenants aussi clivants qu’Alain Finkielkraut ; et ce n’est pas la première fois que je l’apprécie !
Les trolls et le chou kale (à l’adresse de Guillaume Erner)
J’ai transmis votre humeur de lundi à une cinquantaine de correspondants en élargissant la focale: « 3mn très drôles sur la fin espérée de cette mode qui sévit aux USA (et donc ici, les troupeaux de bêtes à cornes suivant toujours leur maître américain) depuis une dizaine d’années! Une mode de plus • après le quinoa des années 2000 qui n’ajoute rien aux vertus du flocon d’avoine mais nous apporte les charmes (et le bilan carbone) de tout ce qui est importé d’Amérique du Sud, • après les baies de goji de la même époque (qui présentent à peu près les qualités du pruneau, mais beaucoup plus exotiques, beaucoup plus chères, et cultivées avec force pesticides en Chine), la mode des années 2010 nous a imposé le top du top, • le kale, plante fourragère destinée au bétail comme le signale le billet d’humeur ci-dessus, nourriture des paysans pauvres jusqu’à la fin du XIXème, avec l’attrait du caoutchouteux immangeable, qui avait donc tout pour séduire nos adorateurs de la nature et du végétal, adeptes de joyeux stages de survie dans les plaines de Sibérie, ou nos obsédés de l’orthorexie, à l’affût de toute nouveauté « vitaminée » d’origine étatsunienne… Mon rêve : brouter une grande feuille de chou kale, en campant dans la toundra ! » Et tant pis pour les trolls qui ont l’humour Loubianka et le courage de l’anonymat. Bien amicalement,
Les fachos ne savent plus comment s’habiller…
ERNER Guillaume
Bonjour M.Erner, Quelle nouvelle que d apprendre ce vendredi matin que J étais un fâcho… Moi qui porte avec une certaine fierté mes fred Perry depuis 20 ans. J avoue que mon bombers est au placard depuis longtemps à côté de mes doc Martens. Mais pas mes polos. Je suis juste un ex skinhead et je suis certain que votre travail et vos connaissances si riches et variées vous amèneront à faire un distinguo entre fachos et skinhead. Merci à vous de m avoir lu. Car non, comme vous l avez dit ce matin je ne suis pas un hater de troll mais un fidele de france culture un peu désabusé par votre humeur de ce vendredi. Bien cordialement.
Vous avez consacré ce matin pas moins de 4 sujets (et environ le tiers de votre journal) aux présidentielles américaines. Nous avons été ravis d’apprendre, par exemple, qu’on écoutait Bob Marley lors d’une convention démocrate, mais tout le monde ne partage pas votre fascination béate pour les passes d’armes entre Trump et Joe Biden. Surtout quand d’autres sujets, comme le vote de notre parlement sur la réintroduction de pesticides en France sont évacués en 10 secondes.
Pourriez-vous, svp, expliquer à René, outre le fait que faire un barbecue à 7h15 est étrange, que manger des grillades tous les jours n’est pas bon pour sa santé. Par ailleurs, j’avoue que cette information ne présente pas un intérêt à la hauteur de la qualité de vos programmes.
Bonjour Monsieur Erner. Je vous écoute « religieusement » tous les matins et grâce à vous, à vos invités et à votre brillante équipe, je m’ « élève » avant d’aller travailler. Votre esprit quelque peu mutin dans votre chronique « L’humeur » est salutaire dans un monde radiophonique formaté et consensuel. Depuis que vous êtes dans les Matins de France Culture, la radio est allumée dans toutes les pièces de la maison, je ne veux pas perdre une minute de votre émission car vous coordonnez avec brio les interventions de vos invités et de vos chroniqueurs. Par conséquent, ce matin, à l’écoute de votre billet d’humeur sur les trolls, je me dis qu’il est temps que je prenne 5mn, quitte à rater mon train, pour vous dire de persévérer dans l’esprit analytique et critique de vos émissions, pour le plus grand plaisir de vos admirateurs (trices). J’aime cette variété de sujets que vous traitez en quelques minutes avec ce ton enjoué qui vous caractérise. J’en profite pour remercier tous vos collègues des autres programmes de la journée et de la semaine, je les écoute avec le même intérêt. Mille mercis aux techniciens qui permettent que France Culture ait cette sonorité si particulière que l’on retrouve sa fréquence les yeux fermés.
Bonsoir, Je découvre le feuilleton consacré à Michael Jackson et suis assez affligé par son contenu. Nous sommes ici en présence d’une pièce de propagande écrite par une fan de l’artiste. Que cet aspect soit un parti pris assumé pour traiter de l’œuvre de l’artiste et des passions qu’il déchainait est une chose, mais que l’épisode consacré à ses affaires de mœurs (épidode 3, Neverland) soit traité sur le même ton simpliste, enchainant désinformation et volonté assumée de discréditer les récentes accusations dont il fait l’objet, était une démonstration pénible à entendre sur votre radio que j’aime tant. Indépendamment de l’opinion que chacun est en droit de se faire sur le rapport de Michael Jackson aux enfants, le documentaire « Leaving Neverland » réalisé par Dan Reed en 2019 a réussi la prouesse de dépeindre les mécanismes de la pédophilie d’une façon subtile, complexe et jamais vue jusque-là. Il a déjà ouvert la voie a beaucoup de discussions et de prises de conscience, y compris celle d’Adèle Haenel, qui a affirmé chez Médiapart avoir décidé de parler de sa propre expérience après avoir vu ce documentaire. Entendre les propos de Dan Reed ridiculisés dans une séquence de l’épisode 3 de ce feuilleton était une expérience pénible, digne des diatribes des fans les plus extrêmes et binaires de Jackson que l’on croise tous les jours sur les réseaux sociaux. France Culture représente pour moi l’intelligence et la nuance. Comment avez-vous pu faire une telle entorse à vos valeurs? Merci de m’avoir lu.
Bonsoir et félicitations à toute l’équipe de La Compagnie des œuvres! Je suis une fidèle auditrice de France Culture et notamment de votre émission à laquelle je suis très attachée et cela depuis son commencement! Quelle finesse d’analyse dans le cheminement vers la vie et l’œuvre des artistes mis à l’honneur! Cette nouvelle saison attise toujours autant mon engouement et notamment les séries consacrées à Barbara, Camus, Van Gogh, Rimbaud ainsi que les femmes artistes et écrivaines! Et je suis sûre que la suite sera tout aussi prometteuse et fascinante! Je vous remercie de parfaire ma culture artistique, moi qui suis docteure ès lettres.
Emission le Blues de Jeanne
Jeanne nous a beaucoup touchées ma fille de 14 ans et moi même. Nous aimerions lui faire parvenir de quoi améliorer un tout petit peu son quotidien au moins pendant quelques jours. Y a t-il déjà quelque chose de créé? un fonds auquel nous puissions contribuer ? une adresse à laquelle lui envoyer au moins quelques mots de soutien ?
Je suis très choquée par le traitement méprisant au possible d’Emmanuelle CHARPENTIER : aujourd’hui jeudi 8 octobre, au journal de 8h, presque RIEN sur la prix Nobel française de chimie ? Un renvoi d’un revers de la main vers le site Internet ? Quel mépris pour une femme Prix Nobel de chimie ! A partir de quoi une femme peut-elle avoir droit à l’intérêt des journalistes de France Culture pour le journal radio ? (Et je sais qu’il y a eu une « journée de la science » hier, comme il y a une « journée des femmes » ? Cela ne suffit pas.) Même un PRIX NOBEL ne déclenche pas une demande d’interview ?
Et aussi quelle information est-ce là ? A l’écoute du journal de France Culture, je NE SAIS PAS pourquoi Mme Charpentier a gagné le prix Nobel, je ne sais RIEN de son travail !France Culture l’a oublié, effacée ! Est-ce parce qu’elle est une femme ? Pas même une phrase résumant l’avancée scientifique qu’elle a réalisé…
Pourquoi ne pas l’avoir interviewé longuement (au lieu de nous parler longuement de la mousse des fauteuils d’académiciens mis aux enchère ?)
Pour la société française et son avenir, pour inciter les jeunes gens, et notamment les jeunes filles, à embrasser une carrière scientifique, ne serait-il pas plus judicieux de donner le premier plan au prix Nobel de chimie et de renvoyer au site web pour plus de détails sur les mousses des fauteuils d’académiciens (intérêt simplement mémoriel) ?
En espérant voir le journal de France Culture DONNER L’INFORMATION sur les sujets IMPORTANTS pour notre société, même si c’est une femme qui gagne un Prix Nobel. MERCI DE NE PAS PASSER SOUS SILENCE LE TRAVAIL DES FEMMES sur France Culture.
Merci à Xavier Mauduit pour l’animation de cette émission extraordinaire. Je l’écoute les mardis et jeudis en allant au travail entre Clermont l’Hérault et Montpellier. Etant animatrice de la radio locale Radio Pays d’Hérault, je m’inspire à la même occasion de la manière de poser des questions et SURTOUT de l’intonation : Xavier est pour moi l’animateur par excellence qui a du soleil et du sourire dans la voix! Un pur bonheur de l’écouter, même si le thème de la semaine ne m’intéresse pas ! Cela mérite un grand MERCI à l’animateur qui y met tout son coeur – j’en suis certaine !
Radiographie du coronavirus du 2 octobre : les jeunes moins touchés
Ce message s’adresse, dans la mesure du possible, à M. Nicolas Martin. Je suis toujours plutôt satisfaite d’entendre vos analyses des faits (partage avec entourage et élèves) mais j’ai une remarque sur l’émission du 2 octobre. Il est clair, et c’est rassurant, que les enfants sont moins touchés, moins contaminants et plutôt contaminés par des adultes (et surtout dans le cercle familial), les chiffres et mes propres observations à petite échelle le montrent donc. Néanmoins, pour moi sur l’analyse des chiffres de l’école j’ai donc plusieurs remarques : * oui pour le fait que les ephad ne sont pas dans les chiffres mais ceux qui incluent les contaminations au foyer existent et, trop de relations sont déjà stigmatisées par le gouvernement à travers les campagnes publicitaires pour laisser les foyers tranquilles, * si les entreprises restent en tête, elles n’ont jamais vraiment fermé, contrairement à l’école, donc comparons ce qui est comparable, l’école a ouvert normalement (à part le lavage des mains qui n’auraient jamais dû avoir besoin de cette pandémie pour être prise en compte!) et alors l’augmentation des foyers à l’école a augmenté * si les chiffres du ministères sont en baisse c’est que les contours de déclaration des cas contacts à l’école ont été modifiés il y a justement quelques jours, pour le vivre à travers nos réseaux mobilisés depuis décembre dernier, les fermetures sont bloquées par le ministère, * à l’école il y a beaucoup d’adultes autour des enfants et certains fragiles, comme les parents de certains enfants qui pourraient être (plus on se retrouve et plus cela dure dans ces conditions) contaminés à l’école, * les enfants doivent être à l’école d’après les pédiatres, mais quand on discute bien avec eux et qu’ils prennent en compte la parole enseignante, ils sont bien d’accord qu’une école entendue dans d’autres conditions que des classes de primaires à plus de 20 et de collège lycée à plus de 35 souvent… * oui, avec l’âge les conditions changent mais l’école de la maternelle au lycée (et le post-bac en lycée! donc de 3 à plus de 20 ans ) est évoquée comme un tout dans les chiffres. Vous aurez compris que je suis prof, de sciences (SVT, ES et SNT !) et de surcroit dans le privé où les classes sont à plus de 35 dès la 6ème… Merci de votre attention. Bien cordialement,
Milliardaires sur France culture
Comme c’est émouvant tous ces milliardaires qui débordent de générosité. Mais nous ne leur avons rien demandé, ils sont venus en imposant leur soi-disant fortune fondée sur la crédulité.
Je présume que tous les pauvres gens ne sont pas suffisamment généreux, pas suffisamment intelligents, pas suffisamment manipulateurs, pas suffisamment ‘altruistes’, c’est pour cela qu’il ne sont pas milliardaires. Ils ne savent pas monter des fondations comme Gates pour ne pas payer d’impôts, ils ne savent pas toucher des dividendes, ils ne savent pas voler les inventions des autres comme « Microsoft », car Gates n’a rien inventé (il faut le savoir), ils ne savent s’approprier le bien commun universel comme les plantes médicinales, ils ne savent pas s’approprier tous les journaux, les organes de presse !?, ils ne savent pas exploiter les filons juteux comme les OGM, et appauvrir les petits cultivateurs en Afrique, en Amérique du Sud…ils ne savent pas profiter de la crédulité, de l’ignorance, de l’appat du gain des actionnaires qui ne touchent rien comme chez Amazone. C’est fou comme la fortune de M. et Mme Gates augmente, bizarrement !!! Évidemment précisons qu’ils ne payent pas d’impôts, en conséquence, sachant injecter ces sommes dans des fondations ‘pseudo caritatives’. Et c’est normal que Gates impose ses vaccins puisqu’ils injectent de l’argent dans ces laboratoires de recherche qui lui versent de gros dividendes et sont soutenus par l’OMS, d’où la propagande et l’imposition des vaccins. RIEN N’EST GRATUIT AVEC LES GATES. Tout cela est bien écœurant et il suffit de lire le livre de Lionel Astruc : » La fausse générosité de la fondation de Bill et Melinda Gates » pour se convaincre de l’ignominie de telles pratiques. Une autre façon de dominer le monde à sa sauce.
Instruction en familles
Suite à la récente déclaration de notre cher président, et après avoir pris le temps de m’en remettre, je vous contacte pour partager avec vous mon désarroi, espérant attirer votre attention sur un problème qui selon moi, touche au respect de la libre pensée et des droits fondamentaux. J’écoute votre émission depuis longtemps. J’ai souvent grâce à vous, pleuré et souri et souvent mieux compris la vie des autres. Aujourd’hui, j’aimerai tellement que les autres comprennent ce que peut être le choix de l’instruction en famille. Bien qu’il n’y ait , je pense, pas qu’une seule façon de vivre cette expérience, de nombreuses raison d’y entrer, d’y rester, ou d’en sortir, j’aimerai que les gens comprennent la nécessité qu’elle reste possible, et qu’on donne une autre version que celle qui s’appuie sur les amalgames douteux que l’on a pu entendre. Je me suis beaucoup demandé ce que je pouvais faire, et j’ai pensé à vous. Je me suis dis que le sujet pouvait vous parler, et que vous auriez peut être déjà quelque chose dans vos archives ! On ne sait jamais. Au plaisir d’écouter votre prochaine émission.
Les néonicotinoïdes
Madame, Moniseur, Docteur en Physique-chimie, j’ai au cours de mes travaux quelques peu fait le tour des matériaux bio-sourcées. Ces matériaux sont d’origine naturelle et ont pour vocation de remplacer des matières premières d’origine naturelle. Ainsi, j’ai connaissance des compositions des biocarburants de première, seconde et troisième génération. De ce fait, derrière l’agitation qui concerne la réintroduction des néonicotinoïdes, je m’étonnes que jamais ne soit mentionné les débouchés de la betterave sucrière qui finis en partie en bioethanol de première génération. Il serait pourtant intéressant de savoir quels sont les acteurs qui poussent pour la réintroduction des pesticides (ce n’est certainement pas les agricultures) et pour quelle proportion des usages. Aussi ouvrir le débat sur les biocarburants de premières génération qui mobilise des terres agraires pour faire avancer des automobiles et sauver la planètes mais au détriment de la qualité des sols pourrait être particulièrement croustillant. Bien à vous et espérant entendre des débats enflammés d’experts du domaine. Cordialement et avec quelques liens: https://www.ecologie.gouv.fr/biocarburants#e0 https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0098135415003233 https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0961953415300143
Questionnement sur la Science à France Culture le 7/10. La matinale : Un enfumage teinté d’autosatisfaction en présence de La directrice de la chaîne.
À part l’émission du soir sur les médias et La COVID qui risque d’être dans le sujet. Le reste n’est que de l’enfumage qui masque la question centrale : L’OPPOSITION ENTRE LES SPÉCIALISTES MÉDICAUX. Et ce ne sont pas les certitudes de Nicolas Martin et son opposition idéologique à Didier Raoult qui permettront de mettre clairement les différents points de vue sur la table. Encore une fois France Culture mérite son slogan : France Culture, l’esprit de couverture.