Je n’en peux plus de l’attitude des politiques sur le brexit.
Ils serinent tous la même chose. L’Europe c’est bien, les anglais ont fait une grosse erreur.
La remise en cause de l’Europe doit être discutée
Je suis partisan d’une Europe confédérale
Cette idée est systématiquement étouffée
ASSEZ !
Faites votre travail !
Parlez en!
Que va-t-il se passer pour les britanniques résidents dans les différents pays européens, dont la France ? Certains d’entre eux ont toute leur vie en France, Y travaillent , payent des impôts, y ont fait toute leur scolarité , y ont leur résidence principale, ont eu des refus de nationalité française pour des raisons administratives obscures …. Peut-on imaginer un statut de double nationalité pour qu’ils puissent rester européens dans leur pays de résidence ? Dans quelles conditions peuvent -ils rester sur le territoire français ?
Il me semble que depuis plus de 3 ans que le processus de Brexit a été enclenché on n’a pas (ou pas suffisamment) traité de l’un des motifs essentiels ayant conduit à cette séparation, à savoir la dimension xénophobe, pour ne pas écrire raciste, du moins en Angleterre. Je spécifie bien Angleterre, et non GB ou RU, Ecosse, Irlande du Nord et Pays de Galles étant dans une situation légèrement différente sur ce plan. Au mieux on a pu évoquer une dimension nationaliste, voire identitaire, sans oser prononcer les mots/maux réels.
Or, un climat xénophobe s’est malheureusement installé dans de nombreuses régions d’Angleterre. J’en ai notamment pour preuve les témoignages de plusieurs couples franco britanniques parmi mes connaissances. A l’exception de ceux vivant à Londres (cas particulier), ceux installés en région sont confrontés à cette xénophobie, alors qu’ils sont dans des comtés plutôt favorisés du sud ouest de l’Angleterre et non dans les anciennes régions industrielles du nord. A titre d’illustration, une amie française mariée à un britannique depuis longtemps et vivant à Exmouth, près d’Exeter, circonscription du Devon ayant pourtant voté à 55% en faveur du «remain», fait part de sa «peur»du fait de ce climat de «haine» à l’encontre de l’«étranger». Incidemment, même dans sa situation, elle a eu énormément de difficultés à obtenir le «settled status » lui permettant de rester en GB.
Afin de ne pas me borner à des témoignages personnels, je vous renvoie notamment à l’article du Guardian du 02/02/20, qui ose nommer les choses en écrivant «racisme » et pas seulement xénophobie.
https://www.theguardian.com/uk-news/2020/feb/02/norwich-anti-racism-protest-brexit-day-poster?CMP=share_btn_link
Pour mémoire, la ville de Norfolk où vient de se produire cet incident avait voté à 56% en faveur du « remain ».
En conclusion, je considère que les équipes d’information de Radio France devraient consacrer plus d’attention à ce phénomène xénophobe délétère en Angleterre, ne serait-ce qu’à titre de mise en garde (à l’image du traitement de la résurgence du racisme dans l’Est de l’Allemagne).
Suite au Brexit, pensez-vous, à la vue de cette expérience, que le referendum de 2005 en France aurait pu mener aux mêmes conséquences que le Brexit aujourd’hui si le choix du peuple français avait été respecté ? Merci à vous
J’habite Dunkerque, 40 km de Calais, 12 de la frontière belge, entre les deux les migrants essaient maintenant de partir par la côte, attendant les passeurs en se cachant dans les dunes. Il faut que la frontière retourne à Douvres. Les Anglais ont accepté pendant des années des migrants sans papiers, travaillant au noir, et maintenant c’est nous qui avons le nom de les maltraiter. Les Anglais seront toujours tournés vers l’océan, avait dit Churchill à De Gaulle, pas d’Euro, pas de Schengen, le beurre et l’argent du beurre, il y en a assez, et c’est aussi l’avis de notre président de Région, Xavier Bertrand.
Sur les relations entre Europe et royaume uni après « brexit », un accord a déjà été passé avec Thérésa May. Cet accord nous a déjà été présenté comme intangible par les représentants de l’Europe.
Sur quels points de cet accord les membres de l’Europe sont-ils prêts maintenant à transiger avec le nouveau premier ministre anglais ?
Intéressant cette échange avec M.Barnier. M. Barnier parle d’une Europe avec une économie sociale de marché……..depuis le début de cet interview l’idée de mettre la transition écologique au centre du projet européen n’est pas évoqué. Pourquoi ?
L’économie sociale de marché n’est pas un avenir motivant pour nous européens.
A 7h40 sur France Culture ce jour une illustration du manque d’objectivité flagrante et assumée des 2 intervenants un journaliste du Guardian et un ancien journaliste de l’Express ils ont reconnu que ce sujet (le brexit) les impactait d’une façon très personnelle. Quant aux faits, personne ne mentionne jamais le déficit de la balance commerciale du Royaume Unis de 158 milliard d’euros en 2018 qui clairement montre qui a été perdant dans la construction européenne, quant au rejet de la construction européenne par les peuple je vous renvoi au discours de pierre Mendes France en janvier 1957 devant le parlement français malheureusement depuis 30 ans nous vivons ces régressions sociales au nom de la compétitivité des entreprises l’Europe devait nous aider a conforter notre modèle social tout le monde voit aujourd’hui que quelque soit le gouvernement c’est la même politique.