Je viens de passer un moment magnifique ce matin dans ma voiture, plein de poésies, de douceur et de grâce.
Cette émission donne la parole à des artistes secrets, discrets … Charlotte était touchante à écouter
Merci encore de cette belle émission

Bravo et merci pour cette journée hommage au plus grand poète de la chanson française.
Petite critique tout de même : il existe suffisamment d’archives de concert de Serge Gainsbourg pour éviter de nous imposer un concert de reprises… Alex Beaupain n’a pas besoin de plus de promo et le rendu ne vaudra jamais la qualité et l’émotion des versions originales interprétées par leur créateur et le plaisir de revivre les sensations de ses concerts… Ceci dit en toute objectivité, évidemment ;))
Bravo pour le reste de votre travail, en tout cas.

Un très grand merci pour la magnifique interview de Charlotte, elle est merveilleuse ! Merci aussi pour les merveilleux moments empreints de nostalgie que vous nous avez fait revivre à travers lui.
J’espère de tout cœur que lors de l’ouverture du musée vous serez présent pour nous faire vivre ce moment d’exception.
C’est la première fois que je vous écris, je tenais à le faire, merci merci

Quelle émission d’entendre Charlotte rendre hommage à son papa. J’ai les larmes aux yeux. J’aime Charlotte, j’aimais Serge, ses textes, ses mots… Quel poète.
Il vit encore… Même après 30 ans.
J’ai passé un beau moment d’Émotions…merci Augustin d’avoir invité Charlotte aujourd’hui que j’aime depuis toujours. ❤️

MERCI, MERCI, Merci mille fois merci à Charlotte pour la délicatesse de ses souvenirs partagés…

Ravissement
Saisissement, émotions absolument intenses à l’écoute de « Fuir le bonheur de peur qu’il se sauve », et me voilà surprise à pleurer devant ma tasse de thé. Grand merci à Augustin Trapenard et Charlotte Gainsbourg.

J’ai toujours été fan de Serge Gainsbourg, et j’aime encore entendre ses chansons. Toutefois je trouve très déplacé de rendre un hommage aussi appuyé à ce qu’il était, un talentueux saltimbanque, et il aurait partagé j’en suis persuadé cette dénomination.
Posons-nous la question, en quoi sa vie a révolutionné, ou ne serait-ce que changé, ne serait-ce qu’à la marge, notre monde ? En quoi a t’il fait évoluer la société qui l’entourait et dont il tirait profit ? D’autres ont fait bien plus que lui, pourquoi ne pas les honorer comme ils le méritent ?

J’aimerais comprendre pourquoi une radio comme France Inter qui défend la fameuse libération de la parole notamment sur ce sujet si délicat de l’inceste peut être schizophrène à ce point. Je n’arrive pas à échapper aux hommages à Serge Gainsbourg, l’auteur de Mélodie Nelson et de l’abjecte chanson Lemon Incest. Tout ceci à quelques semaines d’un mea culpa de la sphère intellectuelle parisienne sur sa tolérance vis à vis de Gabriel Matzneff. J’ai eu de la chance, je n’ai jamais été très jeune victime d’un vieux libidineux mais je me souviens encore combien je souffrais à 15 ans en voyant Charlotte chanter ceci avec son père. Je comprenais alors à peine la notion d’inceste mais ce duo me mettait instinctivement si mal à l’aise. Je sais bien que c’est juste une chanson provocatrice, mais l’utilisation de sa fille pour cette provocation m’a toujours fait ressentir le même dégoût. Sur ce sujet, France Inter me déçoit profondément et c’est rare… Mais bon si Jane et Charlotte lui ont tout pardonné…

M. Drouelle. Merci pour votre émission au sujet de Gainsbourg. Je trouve dommage qu’à aucun moment vous ne citiez nommément le groupe qui accompagne Gainsbourg sur toute sa discographie reggae (3 lp) : les Wailers de Bob Marley !!!! Pas des moindres…. Y’a-t-il une raison ? Merci d’avance

Hommage à GAINSBOURG pour les 30 ans de sa disparition????
Ce qui n’a pas disparu c’est la honte absolue de la chanson
LEMON INCEST et du clip associé dans lequel sur un lit géant ils sont couchés très proches Charlotte 12 ans en chemise et petite culotte et lui pantalon torse nu la main sous la chemise près du bas ventre de Charlotte lui susurrant DELICIEUSE ENFANT … A l’époque j’étais choqué aujourd’hui je suis scandalisé.