Je suis profondément outré de la tribune libre, complaisante et d’auto promotion accordée au délinquant russe Pavlenski sur les ondes du service public. Nous ne sommes plus dans l’information mais dans l’offre, faite à un individu avouant ses délits et promettant d’en commettre d’autres, d’assurer la publicité de ses exactions. Vous avez totalement perdu le recul journalistique et singulièrement celui d’un organe de service public. Je suis auditeur depuis 45 ans et je suis scandalisé par votre perte de repères.

Je tiens à vous signifier mon immense colère en entendant ce matin dans le 7/9 cette interview de ce triste personnage Piotr Pavlenski. Ceci s’apparente pour moi à du racolage journalistique, voire pire puisque ce monsieur s’attaque, via un chantage ignoble et le recours à la délation, à notre droit à la vie privée . Et vous lui offrez une tribune de plusieurs millions d’auditeurs, dans compter la promotion que vous en faites sur les réseaux sociaux ! C’est à peine digne d’une chaîne privée à la recherche de buzz, mais insupportable d’une radio de service public financée par notre redevance. Vous êtes dans une dérive totale de votre ligne éditoriale, déjà contestable par son déséquilibre très marqué à la gauche de la gauche, mais là, ça devient caricatural et même obscène.
Je trouve absolument scandaleux que mes impôts financent ce type de programmation. Jusqu’où irez-vous ? La prochaine étape c’est quoi, interviewer un terroriste ? Vous n’en êtes pas loin.

Ce matin, présentée par l’équipe du 7/9, nous avons eu droit à l’interview de « l’artiste » auquel vous vous réjouissiez manifestement de faire la courte échelle dans son entreprise de déstabilisation. Comme il doit se féliciter d’être venu en France (en un temps record) pour récolter un tel succès et constater à quel point notre démocratie est fragile. Poutine doit bien rigoler de ce bon coup ! Sommes-nous condamnés à subir ce show indigne pendant encore des mois grâce aux oreilles complaisantes des médias ?

Je suis extrêmement choquée par l’interview de Piotr Pavlenski entendue ce matin sur France Inter. Comment votre rédaction a-t-elle pu donner la parole à un homme pareil, aux actes criminels, et donner donc de la valeur et de la légitimité à ses actions ? Je ne peux pas comprendre qu’on l’interviewe et je suis très déçue de ce choix éditorial.

Je suis scandalisée de l’absence de recul et de l’admiration que vous affichez pour ce réfugié russe violent en panne de reconnaissance. Vous lui ouvrez un boulevard pour s’exprimer et déverser ses délires, comme les autres médias.
Pourquoi ? Pour le buzz ? Pour le voyeurisme ? Pour une curiosité morbide ?
A aucun moment, je n’entends parler de RESPECT. Oui ce mot très démodé, avec celui de responsabilité. Cet homme est réfugié politique, accueilli par la France qui lui verse des aides et à ce titre il doit le respect au pays qui l’accueille et n’a pas à se mêler de ce qui ne le concerne pas. Il aurait dû être expulsé depuis longtemps.
Ce n’est pas la qualification d’art pour ses actions scandaleuses, violentes et illégales qui doit vous autoriser à lui réserver un tel traitement de faveur. Non, il ne mérite pas la moindre écoute.
Merci d’un peu plus de réserve.

Je prends rarement le clavier mais cela me semble nécessaire aujourd’hui. Je suis interpellée d’entendre/ constater la place que vous avez donné dans la première matinale de France à ce monsieur, Piort Pavlenski qui se prêtant activiste et artiste et qui, pour moi et la loi, n’est qu’un agresseur malfaisant.
Pour la première fois , j’ai éteint mon poste et cesser mon écoute de la suite de la matinale.
Tout d’abord, je ne comprends pas votre choix éditorial (« Le zoom », à 07h15). Il faudrait me l’expliquer. Je n’ose croire que c’est pour éclairer l’actualité et multiplier /diversifier les points de vue. Pourquoi donner de la voix à cette personne ? Je me permets de vous rappeler que ce monsieur a porté atteinte à la vie privée et à l’intimité d’une autre personne, M. Griveaux.
Je ne pense rien de l’homme politique, je ne vote pas à Paris et je ne le connais pas personnellement mais je peux imaginer ce qu’il doit ressentir d’avoir été ainsi humilié et qu’ensuite son agresseur soit interviewé sur le service public.
Dois je vous rappeler que, quoiqu’on pense de M. Griveaux, il est avant tout une victime, et quand bien même il a commis une maladresse idiote (envoyer une sextape par les réseaux sociaux/ sms..), il est victime de la perversité de cet homme et du voyeurisme de tous. Et c’est puni par la loi. Je le répète. Diffuser du contenu portant atteinte à la vie privée d’une personne est puni par la loi. Ce n’est pas un artiste que vous avez interviewé, c’est un agresseur (pas encore jugé certes) et un délinquant.
De plus, au delà de ma première émotion (la colère) et de la compassion qu’on peut éprouver envers une victime humiliée, je vous rappelle que les violences sur les réseaux sociaux, les fake news, les commentaires haineux (15 minutes avant ce zoom, Sonia Devillers consacrait son reportage sur ce thème) sont des fléaux pour la démocratie. En donnant du crédit et du temps à ce type, vous jouez son jeu il me semble, et, je suis désolée de vous le dire, vous participez à ce même fléau. Il dit vouloir :  » rendre service aux français ». Vraiment ? Comment pouvez vous diffuser de tels propos sans les contrebalancer, les interroger, sans proposer un nouveau reportage sur les atteintes à la démocratie que présentent ce type de manipulation ? J’ose espérer que vous avez prévu de le faire. Cela mériterait au moins une journée spéciale sur l’antenne.
Enfin, je travaille dans un centre de formation des apprentis et lycée professionnel. L’éducation aux réseaux sociaux et aux médias en général, est une de nos priorités de même que le droit au respect de son intimité et de sa vie privée. Nous passons des mois à éduquer nos jeunes, à leur apprendre à faire preuve de discernement. C’est le premier volet de notre travail. Nous leur apprenons à respecter l’intimité, la dignité de chacun. Cela ne marche pas toujours. J’en suis à 4 conseils de discipline cette année à cause de vidéos diffusés sur Snapchat et autre où des jeunes filment un autre jeune dont on se moque, qu’on humilie. L’an passé, deux jeunes ont « piraté le compte d’une autre jeune fille qu’ils ne connaissaient pas (elle avait été imprudente en laissant sa session ouverte dans une salle de classe) pour lui acheter des sex toys. Décision : exclusion définitive. Un autre a diffusé sur le snap chat de la classe un photo montage d’une camarade qu’il connaissait à peine , photo montage à caractère pornographique ; idem, exclusion définitive. Encore un exemple : j’ai déjà dû accompagner à plusieurs reprises, des jeunes filles imprudentes dont l’ex/ le copain de la meilleure amie… ont diffusé sans leurs consentement des vidéos d’elles intimes et sexuelles. Les jeunes filles étaient traumatisées.
Pourquoi est ce que je témoigne de cela ? Parce que comme M. Griveaux , elles sont victimes.
Je me permets cette dernière question: si Benjamin Griveaux avaient été une femme, auriez vous apporté le même traitement à cette actualité ? Auriez vous fait ce choix éditorial ? Qu’aurez vous proposer pour contrebalancer les propos de Piotr Pavlenski ?
J’espère que mon courriel sera transmis à l’équipe du 5/7 pour apporter un peu de grain à moudre aux débats car j’ose croire que je ne suis pas la seule à être aussi choquée et que les réactions des auditeurs vous interrogent.

Vous avez rediffusé ce matin à 7h15 l’interview de Piotr Pavlenski réalisé hier. BRAVO ! Vous accordez à cet activiste la tribune qu’il méritait ! Pour lui, l’opération aura été un réel succès; 100% réussie. Cela ne pourra que l’encourager à récidiver et, progressivement, à habituer nos compatriotes à la privation de leur vie privé; pire, de leur intimité. Après les chaînes d’info en continue, les chaînes de la TV nationale, vous ne pouviez faire moins bien. Je suis choqué et scandalisé ! Vous défendez sans cesse la liberté de la presse. Très bien. Mais ce serait essentiel aussi, par vos actions et votre ligne éditoriale, de défendre la liberté de TOUS et, prioritairement, la défense de notre vie privé et de notre intimité. Pour cela, n’accorder aucune importance et aucun crédit à cet individu; petit moraliste de façade; petit moraliste qui se permet de réaliser des actions en toute illégalité qui menacent notre liberté.

Je trouve scandaleux de donner une parole radiophonique et médiatique à cet individu!
Il est ravi, vous lui faites de la publicité, en se posant en victime….. (sic)
Enfin, un jour peut-être, c’est un pauvre journaliste ‘vedette » ou un directeur, directrice de chaîne qui sera concerné?…. Je vous laisse méditer

Je suis scandalisée par votre interview ce matin de Pavlenski ! À part alimenter le niveau zéro de l’âme humaine, à quoi cela sert il ? Faire monter l’audience avec le scoop du siecle : l’interview d’un malade avec ses pseudo explications ? Qui peut y croire. Pas d’analyse, de la pub pour un psychopathe et une manipulatrice. Franchement ! De toute façon vous n’avez plus de soucis d’analyse : vous aboyez, flattez le soit disant événement du moment… Bof !

On atteint la stratosphère de l’ignominie sur France Inter en recevant cet individu sans scrupule Comment le service public a pu tomber aussi bas dans le caniveau. L’anti macronisme n’a plus de limites sur notre ex radio la SEULE audible du PAF

Auditeur de France inter depuis 45 ans, je ne comprend pas la demarche de la redaction de France Inter qui a abouti a donner la parole a Piotr Pavlsenski. Cette personne, a deja eu l’occasion de s’exprimer sur d’autres media, et ce matin nous n’avons rien appris de plus. Ce matin vous avez a mon sens pris le parti du sensationnel , ce qui n’est pas l’esprit d’Inter, de donner la parole a quelqu’un qui n’a rien a dire a quelqu’un qui vent nous donner des lecons de morale et de bon vote , un refugie politique ( et c’est l’honneur de la France de l’avoir fait s’il etait en danger ) qui a pris le parti de mordre la main de celles et ceux qui l’ont accueillis. Je vais m’imposer une cure de desintoxication des matinales de France Inter pour ne pas cautionner cela. Revoltons nous contre cette approche editioriale et ecoutons la matinale de RMC, car l’original est souvent plus interessant que les pales copies.

Je suis un auditeur de France Inter , je suis néanmoins surpris, que certains de vos journalistes semblent faire du journalisme dans leurs pantoufles relayant de la désinformation dans un moment où notre démocratie est attaquée . Ainsi ,il aurait été intéressant de savoir pourquoi les juges russes ont eu autant de mansuétude pour cet activiste ? Contrairement aux Pussy Riot qui ont été emprisonnées, et cela est vrai pour l’ensemble des opposants de Poutine. Les actions de cet activistes à annihiler les actions des Pussy Riot . La « sidération » , actions chocs, qui monopolise l espace public, voilà la manipulation de cet activiste . Un cheval de Troie entrée en France en tant que réfugié politique avec un statut d ´artiste semble lui donner une protection et attractivité dont vous participez à développer.

Je suis choquée véritablement par cette interview. Vous allez chercher dans les poubelles de notre société pour faire de l’audience je suppose .Je suis auditrice de France inter depuis mon adolescence , tous les jours vous accompagnez ma vie .parfois je n’étais pas d’accord avec ce que j’entendais mais j’écoutais et vous avez très souvent ouvert mon esprit critique .mais là c’est pour moi un gros dérapage et une rupture .Je ne vous suivrai pas dans les égouts. . .cet homme est une insulte à la démocratie,à notre droit à une vie privée et vous faites comme tout le monde vous lui donnez la parole .. .
Sincèrement j’ai de la peine mais je ne vous écouterai plus .
Pour info je ne suis pas syndiquée je ne suis pas Gilet jaune et pas de parti politique extrême, je suis juste une femme de 60ans , infirmière

Est-il encore possible que France Inter reviennent aux missions du service public sans tomber dans l’obscénité de l’audimat et le trashmedia?Un grand monsieur de l’audiovisuel est parti dans la nuit pendant que d’autres salissent le service public

Je n’espère plus grand chose de France Inter
et sa matinale, exercice quotidien de militantisme débridé. Mais salir l’antenne de ce qui fut une grande radio en y glorifiant cette sous-merde – franchement, je ne vous voyais pas aussi bas.