Personnellement je ne souhaite pas entendre le Rassemblement national, alors ce matin, je passe sur Franceinfo. Et voilà que son invité est aussi du RN.
Les principales antennes du service public pourraient se concerter pour avoir des invités politiques différents ?
Je suis sur Fip maintenant.
Ce matin au lendemain de la chute du gouvernement Bayrou, deux représentants du Rassemblement national sont invités sur France Inter et France Info à l’heure de grande écoute (autour de 8h30) ! Quel message est-il transmis par ce choix ?? Et quel est l’impact de diffuser les idées d’extrême droite de cette manière dans un tel moment de crise politique ? C’est irresponsable et très grave.
Je suis désagréablement surprise d’entendre deux députés du Rassemblement national s’exprimer dans une émission de débat à la même heure ce mardi 9/09 à 8h30 simultanément sur Inter et FranceInfo ! Obligée d’éteindre la radio. Je souhaiterais plus de diversités. Merci.
Une fois de plus le Rassemblement national sur France Inter et en même temps sur FranceInfo ce matin 9/09/2025. Auditeur de France Inter et de FranceInfo depuis de nombreuses années, je pense arrêter.
Ce matin, le Rassemblement national sur le grand entretien de France Inter et sur le 8h30 de Franceinfo
Ce n’est pas la première fois que l’on a un couleur politique unique représentée sur un même temps d’antenne sur vos deux principales chaînes d’info.
Malgré le principe de pluralisme que je comprends et respecte, ce choix, qui n’est pas le premier, donne l’impression de n’entendre que le RN sur vos programmes d’info. C’est dommage. Je sais bien que vous ne roulez pas pour cette couleur politique ni pour une autre (à moins que je sois trop naïf…) mais attention à vos choix.
J’ai passé un mauvais réveil.
J’écoute régulièrement votre interview politique de 8h30 et j’ai été outrée de l’interview de ce jour. J’ai entendu du jugement et je vous ai trouvé sournois. Ce n’est pas ce que les Français attendent d’un interview d’un homme ou d’une femme politique mais « seulement » de la pertinence et de la contradiction. J’en suis même arrivée à me dire durant cet interview « pauvre Mme Lavalette » ainsi que « des moments comme celui-ci ne peuvent que faire monter le Rassemblement national ». Comment entendre par ailleurs à l’antenne que 1 milliard d’économies ce n’est rien alors que vous avez des gens qui partent à leur travail dont le salaire couvre à peine leurs frais du quotidien ? Vous l’aurez compris, je suis profondément déçue de cette interview à charge et contre-productif pour la France : vous n’avez que légitimé le sentiment de déconnection que peuvent avoir des honnêtes gens, accru le sentiment de trahison des journalistes et rien apporté dans ma journée hormis de la compassion pour le RN, un exploit !
En espérant vous retrouver plus acerbes.
Une fidèle auditrice qui a toujours trouvé que France Info allait jusqu’au bout des choses et faisait preuve de subtilité.
Bravo pour la qualité de l’interview politique de ce matin (Mme Lavalette) par le nouveau duo de journalistes : précision, concision, préparation soignée, dictionnaire, ton, qualité des réparties, hauteur de vue, félicitations.
Je suis choqué par les priorités éditoriales des antennes Inter, Info, Culture.
De nombreuses mentions de têtes de cochons devant une mosquée : indignation exprimée avec force.
Les femmes et filles non secourues en Afghanistan par les talibans « secouristes » après le séisme : pas mentionnées. Des têtes de cochons sont plus importantes que la vie de centaines de femmes et fillettes ?
Quand un tort est porté aux musulmans : scandale. Quand des talibans commettent des atrocités : silence.
Voici pourquoi le Rassemblement national progresse inexorablement dans ce pays.
À force de partialité inepte, incompréhensible, la colère monte.
Mercredi 10 septembre à 12h50 je suis rentrée du travail et, désireuse d’avoir un point sur l’actualité en cours (en particulier les blocages prévus) j’ai mis France Info. La chaine était en édition spéciale sur la passation de pouvoir entre M. Bayrou et M. Lecornu, pas de journal à 13h mais écoute des discours. Soit. Ensuite, analyse des discours, des enjeux. 13h15 les discours et les commentaires sont terminés, je m’attends à un flash info puisqu’il y a une autre actualité en cours ce jour-là. Rien, à la place les journalistes enchainent sur les enjeux du gouvernement etc. Cela m’a donné une impression désagréable de black-out. Je ne sais pas comment l’actualité a été traitée le reste de la journée, ce n’est pas le problème, mon problème c’est qu’à ce moment précis il aurait dû y avoir un flash info et je n’ai pas pu l’entendre.
Cela m’a d’autant plus gênée qu’il a déjà été mentionné par des analystes que M. Macron est tout à fait capable d’utiliser l’agenda politique pour allumer des « contre-feux » lors d’épisodes médiatiques désagréables pour le pouvoir en place, et ce devrait être le travail des journalistes de le détecter et en tenir compte.
Je vais essayer de rester poli. Je suis en train d’écouter Franceinfo qui décrit en direct les faits et gestes de la passation de pouvoir entre l’ancien et le nouveau 1er ministre.
Est-ce que la journaliste pense réellement que les détails qu’elle donne intéressent les Français ?
Les Français se foutent de la couleur du tapis, du nombre de poignées de main.
Effectivement la France marche sur la tête, et votre façon de traiter les événements aussi.
Je constate que « les informés du week-end » ne sont plus sur la grille.
C’est fortement dommage d’avoir retiré une émission phare qui comportait une qualité et une diversité d’informations et de surcroît une multitude de journalistes issus des rédactions européennes apportant un œil complémentaire.
C’est fort dommage.
C’est dommage que l’émission « les Informés » du samedi soir auxquels participaient des journalistes étrangers ait été supprimée.
J’écoute les Informés en semaine, et les commentaires sont vraiment moins intéressants. En plus les « experts » français font beaucoup de fautes de grammaire, contrairement aux journalistes étrangers.
En plus, cela faisait un point de vue extérieur. Ces intervenants faisaient que l’émission était vraiment intéressante.
J’ai écouté l’interview de Raphaël Glucksmann ce matin et je suis horrifiée : des journalistes pas synchros, qui laissent à peine répondre l’invité et se marchent l’un sur l’autre, en quête de buzz, quitte à céder à des questions personnelles sur Léa Salamé qui n’ont rien à faire dans une interview politique. A l’heure de la polarisation de la société et de la brutalisation du discours politique, France Info restait pour moi jusqu’à présent une référence posée, neutre, professionnelle, qui savait prendre du recul et respectait les invités. Elle ne l’est malheureusement plus…
Serait-il possible de demander aux deux journalistes qui animent l’entretien politique du 8h30/9h sur FranceInfo de bien vouloir laisser s’exprimer les invités qui acceptent de se déplacer pour répondre à leurs questions au lieu de les bombarder constamment de questions, sans leur laisser le loisir de répondre à la précédente. On est ici, non seulement à la limite de la grossièreté, mais plus encore de la faute professionnelle, d’autant que ces « journalistes » n’hésitent pas à poursuivre leur discours par-dessus les propos tenus par la voix d’invités qui tentent désespérément de s’exprimer, comme si la question du journaliste était plus importante que la réponse de l’invité ! Résultat : une polyphonie vocale incompréhensible et donc anti-radiophonique (n’importe quel professionnel de la radio devrait savoir cela). J’ajoute que cette cacophonie est extrêmement pénible à écouter pour l’auditeur placé de l’autre côté du récepteur. Défaut hélas très répandu, non seulement sur cette chaîne, mais également sur France Inter…
Depuis quelques semaines (voire quelques mois), on a vraiment le sentiment que les journalistes se « lâchent » et deviennent, peut-être inconsciemment et en toute bonne foi, les porteurs d’une idéologie militante de plus en plus orientée à gauche. Je voudrais citer deux exemples qui me semblent représentatifs de cette dérive : mardi 2 septembre, une interview d’un universitaire sur les « free parties » . Bien guidé par la journaliste, le spécialiste explique les origines du mouvement, s’appuie sur une prétendue ségrégation des night-clubs officiels, qui refuseraient des clients en fonction de leurs moyens financiers (près de chez moi, c’est 20 euros l’entrée, certainement moins qu’un voyage pour se rendre sur le lieu de la rave party…) ou de leur couleur de peau. Comme s’il existait un racisme généralisé et toléré par les autorités… Mais inversement, on évoque à peine le non-respect du droit de propriété, les dégâts pour les agriculteurs qui voient leur terrain occupé, les consommations illicites de produits stupéfiants, et l’abrutissement des jeunes qui participent trop longtemps à ce genre d’évènement…
Deuxième exemple, une chronique sur les riches à Neuilly, le 3 septembre 2025 : aucune mesure dans le reportage : il y en aurait trop à Neuilly ? On sous-entend notamment (sans le dire ouvertement, mais presque…) que l’optimisation fiscale, pourtant légale (voire encouragée par les pouvoirs publics à travers les niches fiscales) relèverait de la simple malhonnêteté et que les riches ne méritent de toute façon pas leurs revenus… Haro sur les riches ! Bref la répétition de ce genre de reportages orientés devient insupportable. Réagissez avant qu’il ne soit trop tard…
Je suis choqué par les propos lénifiants entendus hier sur Franceinfo à propos des raves parties. Vous ne cherchez qu’à excuser ceux qui se mettent sciemment dans l’illégalité, l’idée dominante de l’émission étant que les dispositions légales pour autoriser ces rassemblements sont si rigoureuses que les organisateurs ne pourraient pas les respecter. En gros, s’il y a des raves parties sauvages, c’est la faute de l’Etat. Cette interprétation est absurde : il est tout simplement irresponsable de rassembler dans des conditions de sécurité et d’hygiène normales autant de personnes sur un même lieu, 2 à 3000 dans l’Aude ou 9000 en Lozère.
Ce jour, un quotidien de la presse écrite rend bien mieux compte de la problématique. J’en cite quelques passages :
« Durant des jours, des milliers de « teufeurs» ont ainsi défié gendarmes et policiers, assommé le voisinage à coups de décibels, bu plus que de raison, pris «ecstas» ou acides, conspué l’uniforme, affronté des cultivateurs et piétiné sur place ce qui pouvait encore l’être. »Je cite entre autres « Christophe Tena, maire de Fontjoncouse… ils étaient agressifs. Dans les voitures, on voyait clairement des haches, des bâtons… En face, certains étaient armés. Des fusils à canon scié, des pistolets… Ils ont clairement menacé les viticulteurs ». Voici ce que sont les gentils teufeurs que vous défendez.
Je suis un peu surpris qu’on donne la parole à un apologiste des teufeurs dans la personne d’Alexandre Gondreau. Ces gens qui ne respectent rien ni personne et transforment la vie des riverains en enfer méritent-ils d’être défendus ? Inviterez-vous prochainement un responsable de point de deal pour se faire l’avocat du narcotrafic ? C’est à peu près du même ordre. On souhaiterait un peu plus de discernement de la part d’une grande radio nationale.
Je suis un auditeur de Franceinfo mais je m’interroge depuis quelques temps quant à ne plus l’être.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est l’entretien avec le Directeur Général de la CNAM, sur la régulation des arrêts de travail. Je vous invite à réécouter le passage. Votre journaliste expose à son interlocuteur, Thomas Fatôme, je cite « on connaît tous des proches qui se mettent en arrêt pour un oui ou un non, qui ensuite, changent de médecins pour prolonger leurs arrêts de travail ; ne faudrait-il pas s’attaquer à ce phénomène, Mr Fatôme ? »
Sincèrement, il s’agit là de l’expression d’un avis personnel, totalement infondé :
– pourquoi dire « on connait tous des proches qui se mettent en arrêt injustifié » : d’où sort cela ? quelles sont ses sources ?
– ajouter » ces personnes changent de médecins pour prolonger leur arrêt » ? quelles études pour le démontrer ? quelles sources ? combien de personnes ?
Bref, tout cela n’est pas digne du journalisme, a fortiori au sein de Radio France.
Cela nuit à la crédibilité des journalistes, cela participe à diffuser des infos qui n’en sont pas. C’est le café du commerce sur un média de grande écoute. Lamentable.
La médiocrité ne cesse de progresser, inutile de lui apporter votre œuvre.
Je trouve le reportage sur les retraités totalement lamentable. Tous les stéréotypes se bousculent. Non les boomers ne passent pas leur temps à écouter de l’accordéon dans un thé dansant. Les remarques des interviewés sont sans intérêt. Même chose pour l’interview dans le restaurant routier. Pouvez-vous s’il vous plait élever un peu le niveau et sortir définitivement des stéréotypes ?
J’ai écouté hier soir « les informés » traiter de l’actualité sur la guerre en Ukraine. Je ne trouve pas normal que tous les intervenants aient tous le même avis et disent tous exactement la même chose. On pourrait s’attendre à un débat un peu plus contradictoire. En l’occurrence on peut écouter certaines personnes penser que Poutine ne s’attaquera pas aux pays membres de l’OTAN, et en tant que Français je ne souhaite pas que mon pays s’endette davantage pour payer des armes américaines qui seront données aux Ukrainiens pour continuer la guerre. On est très nombreux à penser la même chose mais ces voix ne sont jamais entendues sur votre antenne.
Le samedi 30 août, France Info a diffusé un reportage consacré à des vidéos disponibles sur internet mettant en scène des tortures de chats, souvent chinois. Des internautes sont prêts à payer plus de 1 000 $ pour voir des chats subir d’atroces sévices. Un collectif de défenseurs des animaux qui se baptisent les gardiens des félins, manifestait le 30 août dernier à Paris pour alerter sur ce phénomène d’où le reportage proposé par la rédaction. Malgré un avertissement sur la dureté du contenu donné par le présentateur avant la diffusion, de nombreux auditeurs ont écrit pour exprimer leur choc, il s’agit du reportage qui a suscité le plus de messages pour Franceinfo ces dernières semaines. En voici une sélection :
Je me permets de vous envoyer cet e-mail car j’ai été choqué par un reportage consacré à des gens torturant des chats et des chatons pour en faire le commerce de vidéos sur le darknet.
Je suis un auditeur assidu de votre antenne, et je me rends bien compte que vous devez traiter tous les sujets.
Cependant, le fond sonore était tout simplement insupportable. Dès le début du reportage la voix off évoque des chats se faisant tuer à coups de barre de fer. Les miaulements entendus en fond sont horribles.
Je conduisais lorsque j’écoutais le reportage et mon sang s’est glacé. J’ai dû immédiatement changer de station et le son de ces cris m’a hanté pendant plusieurs heures. J’en ai éprouvé des sueurs froides plus tôt aujourd’hui et lorsque j’écris ces mots je sens ma nuque qui se mouille ainsi que mon front. Je voulais juste vous dire que des descriptions auraient été amplement suffisantes. Je n’ose imaginer des enfants écoutant la radio, et je pense (j’espère !) que je ne serai pas le seul à vous faire cette remarque.
Samedi 30 août, je monte dans ma voiture juste avant midi. La radio est allumée sur FranceInfo, comme souvent. J’entends des cris de chat en douleur, accompagnés d’un descriptif de « deux hommes qui battent un chat jusqu’à la mort avec une barre en fer », rapidement suivi de la suite qui parle d’un chat « décapité ».
Sous le choc, j’ai eu du mal à couper l’antenne assez rapidement. L’horreur. Heureusement je n’avais pas des enfants dans la voiture avec moi.
Comment se fait-il que France Info se permette de diffuser un reportage aussi horrible un samedi midi, surtout lors des retours de vacances, alors que des dizaines de milliers de familles se retrouvent en voiture la radio allumée ? C’est impensable, irresponsable de programmer un reportage qui peut heurter et choquer à ce point-là.
Le son de l’animal souffrant en plus du descriptif ne me quitte plus depuis hier – et j’ai 58 ans ! Vous imaginez des enfants qui, dans la voiture de maman ou papa, ont pu entendre ce reportage ? Peut-être même sans que leurs parents s’en aperçoivent ? Ou trop jeunes pour qu’ils puissent le verbaliser mais assez grands pour comprendre ? Qu’est-ce qui se passe dans votre politique de diffusion par créneau horaire ? Comment ça se fait que ce reportage ait été validé pour un samedi midi ?
Vous avez traité un sujet sur la souffrance animale (que je ne pensais pas exister) ce matin. C’est une très bonne chose de nous faire connaître des choses ou mouvements aussi problématiques, cependant vous avez été excessifs dans le traitement de ce sujet sur les exemples donnés. Je ne pense pas qu’il était nécessaire de décrire les sévices réalisés aux animaux, encore moins d’enchaîner des descriptions allant de pire en pire. Je trouve les exemples donnés trop choquants et pouvant heurter la sensibilité de vos auditeurs. Le traitement de ce sujet devient donc complètement contre-productif.
Je trouve que vous êtes une très bonne radio mais évitez d’aller sur du sensationnalisme.
Étant maman de deux jeunes enfants, je tiens à rester informée de l’actualité tout en préservant mes enfants des écrans. Écouter France Info quotidiennement me permet cela et la qualité des contenus fait que je suis une fervente auditrice depuis de nombreuses années. Or ce matin, je n’ai pas pu poursuivre l’écoute d’un reportage portant sur la déviance de certains individus qui torturent des animaux, diffusent des images de chatons décapités, ou qui broient des chatons et les donnent à manger à leur mère. Heureusement que j’ai entendu ce reportage vers 6h30 du matin alors que mes enfants dorment encore, car je n’ose imaginer leur traumatisme à l’écoute du reportage de votre journaliste qui a trouvé bon de mettre en fond sonore des extraits de ces vidéos où l’on entend les chairs de ces pauvres animaux se faire déchiqueter. Bref ! Même si je suis contre la censure de l’information, et dénonce les dérives des réseaux sociaux, informer est un but plus que louable, mais je vous pose à question : est-il bien nécessaire d’exposer de manière aussi direct les auditeurs avec potentiellement des âmes sensibles à tous ce que ces réseaux sociaux ont de plus vil, avec un tout petit message d’avertissement ? N’étant pas habitué à ce que votre radio diffuse de telles horreurs, je n’ai pas pu anticiper à quel point ce reportage est choquant. En tout cas ma radio restera éteinte en présence de mes enfants aujourd’hui.
Je n’ai pas de télé pour éviter d’avoir malgré moi des images agressives sous les yeux. J’écoute la radio et principalement FranceInfo pour rester au courant. J’ai été extrêmement choquée malgré l’alerte du journaliste de la description des horreurs subies par ces chats diffusées sur le net. J’ai coupé mais j’en ai entendu suffisamment pour que ces images me hantent. Ne pensez-vous pas qu’il y a assez d’horreurs inévitables à entendre dans l’actualité pour en rajouter et contribuer à ce que ce journaliste « dénonce » ?
La cruauté humaine a toujours existé et ne manquera jamais d’imagination malheureusement. S’il-vous-plaît, épargnez les âmes sensibles qui ont déjà du mal à supporter les horreurs des guerres et de toutes les injustices que les hommes pratiquent et subissent tour à tour.
Ce matin, samedi 30 août à 8h15, France info radio a fait un reportage sur des chats que l’on maltraitait sur internet. C’est horrible de parler de ce sujet, surtout qu’il y avait les bruits de chats battus. Ça serait bien de choisir des reportages moins trash surtout quand des enfants écoutent.
J’écoutais Franceinfo le samedi 30 août et j’ai entendu que des « gens » torturaient des chats et vous avez passé une bande sonore de leurs calvaires. Je n’ai pas eu le temps de couper le son et ça m’a traumatisé toute la journée et même maintenant. Faites attention c’est violent même si c’est lâche de ma part de ne pas réussir à écouter ces horribles informations.