Juste dire combien la disparition de Claude Villers est attristante. Tellement de talent, conteur, animateur, de l’humour, de l’intelligence, de l’humanité, le goût du partage…
Merci mille fois à lui pour toutes ces heures de bonheur radiophonique.
Une vieille auditrice…
Bien attristé comme nombre d’auditeurs d’Inter, je présume, par la disparition de Claude Villers.
Je me souviens de « Pas de panique » et de « Pas de panique, nous revoilà deuxième heure ! ». Il y avait au cours de ces émissions un mini feuilleton délirant : le (systématiquement) « 1933ème épisode des aventures d’Adolf et Bénito ». Un soir, Claude Villers avait lu la lettre d’un auditeur qui exprimait son courroux car se moquer ainsi de ces personnages, quoiqu’on puisse penser d’eux, constituerait « une offense à chefs d’Etats ». Ce à quoi Claude Villers avait laconiquement répondu : « Ben voyons ! ».
Je me souviens aussi d’une émission délocalisée du Tribunal des flagrants délires dans ma bonne ville de Bourges et dont l’accusé était Yvan Dautin. Pierre Desproges était en grande forme !
Je me souviens que le 14 juillet 1994, jour de la fête nationale, Claude Villers avait fait son émission en hommage à Léo Ferré, mort le 14 juillet de l’année précédente. Si ma mémoire ne me trompe pas, Claude Villers avait diffusé la chanson « La marseillaise » de Léo Ferré, pas vraiment militariste. Je me souviens enfin de la dernière émission de Claude Villers, consacrée à Jean Ferrat à qui il avait rendu visite chez lui à Antraigues.
Merci Monsieur Villers de nous avoir fait partager vos rêves !
Un bien triste anniversaire que ces 60 ans de France Inter, en définitive. En cette occasion de réentendre Claude Villers, on apprend le décès de cette grande voix qui a bercé mes premières années de France Interrien. J’espère qu’un superbe paquebot l’a emmené de l’autre côté. Toutes mes condoléances à sa famille et ses amis, de la radio et d’ailleurs. Caresses et bise à l’œil.
Quelle tristesse d’apprendre le grand départ de Claude Villers ce matin et que de souvenirs…
J’avais douze ans et j’écoutais en cachette de mes parents sur un tout petit transistor à pile « Marche ou rêve » avec ses histoires de chercheurs d’or de Skagway à Juneau sous mes draps et je faisais de beaux rêves.
Je voulais réagir à l’anniversaire de France Inter, … Je suis un fidèle depuis les années 70 et suis sensible aux podcasts « historiques » que vous avez postés, …
Je voudrais saluer la mémoire de Claude qui est parti ce week-end, … je suis de toutes les émissions des années 70, « Pas de Panique » et consorts et me rappelle la tristesse que j’ai vécu à la fin de cette émission !
J’ai tout aimé de ce Monsieur, de Marche ou rêve, au Tribunal … et j’en passe !
J’écoutais les podcasts de Claude ce vendredi et ce samedi quand j’ai appris la nouvelle qui m’a fait verser quelques larmes !
Cette Radio est unique et au nom de tous ces pionniers, Gérard Sire, José Artur, Patrice BF, Jean Louis Foulquier, Pierre Bouteiller, Bernard Lenoir, la grande Macha, Daniel Mermet… Et Claude Villers bien sûr, et j’en oublie beaucoup, … vous avez le devoir de maintenir la qualité de ce joyau ET… j’ajouterais la liberté de ton que l’on ne retrouve nulle part ailleurs !
C’est avec beaucoup de tristesse que j’apprends la disparition de Claude Villers. C’est la voix de France Inter qui a le plus compté pour moi. Je l’ai découvert alors que j’étais adolescente dans « Pas de panique », je l’ai suivi dans « Marche ou rêve », j’ai ri aux larmes dans « le Tribunal des flagrants délires » (auquel j’ai eu la chance d’assister deux fois) … C’était un merveilleux conteur et j’aimais beaucoup sa voix chaude reconnaissable entre toutes (quel crétin, celui qui lui a dit qu’il ne ferait jamais de radio parce qu’il avait une voix nasillarde !!). Il a enchanté nos dîners familiaux. Je me souviens particulièrement d’un de ses récits (je crois que c’était dans Pas de panique) : le naufrage du Titanic. C’était captivant !
Claude Villers m’a donné envie de faire de la radio. Je n’ai jamais concrétisé ce rêve mais je suis restée une fidèle auditrice de France Inter (et aussi de France Musique). Il illustrait parfaitement le mot d’esprit de son ami José Artur : « la radio représente un grand progrès par rapport à la télévision : on a réussi à supprimer l’image » !
Bienvenue au paradis, mon cher Claude Villers !
Je suis très ému d’apprendre la disparition de Claude Villers.
Grâce aux podcasts (merci Radio France), j’écoute toujours le Tribunal des flagrants délires.
Je garde aussi un souvenir impérissable de « Marche ou rêve ».
Au revoir, et merci Monsieur Villers.
Je viens juste de réécouter le « dernier » voyage du France…. Je vous écris au plus lointain de mes rêves… Et bien sûr le Tribunal des Flagrants Délires…. Quelle radio toute cette époque… Merci de nous laisser le réécouter ainsi que ses camarades pour les 60 ans de France Inter…. Plein de tristesse pour sa disparition… Surtout, inondez-nous de podcast de ses émissions si diverses et finalement guidées par le rêve et l’humour.
Salut Claude ! Tu as bercé ma jeunesse. Ces jours derniers je recherchais le podcast du Titanic raconté dans les années 73/74. Et je ne l’ai pas trouvé…dommage. J’écoutais cette émission depuis ma chambre à la cité U à Nice avec celui qui ne m’a plus quittée. Nous ne rations pas une seule émission de Claude et cela a duré des années. Nos plus belles années…Salut Claude et merci.
Et merci de nous redonner ce podcast sur le Titanic. Je ne suis pas seule à avoir été marquée par cette émission. Merci
Au revoir Claude, merci de m’avoir fait autant rire !
« Je vous écris du plus lointain de mes rêves » ce jour avec beaucoup de tristesse ; Claude Villers m’a fait entendre Jean Pierre Chabrol et Henri Gougaud avec son « Marche ou rêve » et maintenant je suis un peu conteur sur les bords par passion. Michel Billet, bucheron, éducateur et conteur, ancien jury du livre Inter année Riad Sattouf…