Pourquoi parlez-vous toujours de cette élection « sans débat » ? Il serait temps que les électeurs se rendent compte/se rappellent que l’international fait partie intégrante du ‘national’ et que parfois il est plus important car plus impactant pour l’avenir immédiat, qu’il change l’économie, les habitudes, les attentes ‘normales’ etc…

Nul ne demande jamais aux candidats (alors qu’on le demande à tout cadre cherchant un poste à responsabilité)
1- Quelle est votre formation professionnelle ou intellectuelle de base ou votre savoir-faire fondamental ?
2- Que ferez-vous si le peuple ne vous confie aucune fonction ? si votre candidature n’était pas retenue ?
3- Comment vous informez-vous ? Et d’où tenez-vous ce que vous affirmez avec force comme étant des évidences ? L’absence de ces 3 séries de questions sur vos antennes (comme sur les autres radios d’ailleurs) me trouble vraiment comme vieux bonhomme « républicain » (85 ans passés). Si la politique n’est plus un « service » mais un métier (quelle vilenie) alors traitons la comme un métier avec des questions « professionnelles ». Merci.

Nous avons besoin de savoir si nos candidats parlent anglais et savent se débrouiller, argumenter en anglais, pouvez-vous nous donner ces informations, et mieux interviewer les candidats en anglais.

Même si dans les journaux du matin, on respecte scrupuleusement les règles de l’autorité de contrôle ( qui a remplacé le CSA) sur les temps de parole des différents candidats à la présidentielle comme cela est tout le temps rappelé par les journalistes, il n’y a pas d’équité dans la manière dont les candidats ou leurs représentants  (s’agissant du président en particulier) sont traités, pour le président sortant les questions sont bienveillantes, sans aucune pugnacité, on les laisse dire ce qu’ils veulent,  développer tout leur argumentaire sans les contredire, alors que pour les autres candidats, les questions sont agressives, dérangeantes, déstabilisantes. C’est tellement flagrant que cela en devient risible.

Je trouve insupportable que tout au long de cette campagne, à la matinale de France Inter, à chaque interview de « petits » candidats, avant même le second tour, la quasi-totalité des interviews consistent à demander au candidat pour qui il votera au second tour et s’il donnera des consignes de vote, en insistant systématiquement et n’interrogeant pas le candidat sur son programme. Je trouve cela indigne du service public et de la matinale de France Inter.

Au journal de 9h, des journalistes (en studio et envoyée spéciale) nous rapportent l’envahissement de l’hôtel de Marine Le Pen par des « militants indépendantistes » violents. Rien, dans le ton, ne laisse entendre une quelconque condamnation d’actes antidémocratiques. Bien au contraire, la parole est donnée à deux de ces violents qui peuvent dérouler leur argumentaire. Sans que les victimes ne puissent s’exprimer. Il est édifiant d’entendre votre antenne crier au fascisme, aux atteintes à la démocratie quand les actes antidémocratiques sont perpétrés par l’extrême droite et de voir comme elle relativise ou même, est en empathie, lorsque les violents viennent de l’extrême gauche.
Que l’on apprécie les idées de Mme Le Pen ou pas, elle est une candidate légalement déclarée. Il est donc inadmissible que des « nationalistes guadeloupéens » cherchent à la faire taire. Par son « 2 poids, 2 mesures », votre antenne encourage la violence en la légitimant (mais seulement lorsqu’elle vient d’un bord politique.)

S’agissant de l’élection présidentielle, il convient de rappeler à votre journaliste qu’elle n’est pas candidate. Quand bien même, certains candidats ne conviendraient pas à son orientation politique, il serait utile qu’elle modère ses réactions et se rappelle les contraintes de la mission du service public.

Que le service public ne manque pas le coche ! Pour la paix sociale… Question aux 12 CANDIDATS : il n’y a qu’une promesse avec garantie à 200% d’être tenue !
Pourquoi en cas d’élection le 24 avril, votre première mesure n’est pas dès le 2 mai, donc avant les législatives le lancement d’un référendum pour le 25 septembre, donnant le pouvoir aux citoyens en leur donnant à eux aussi l’initiative de la révision de la constitution ? La Bérézina absolue aux législatives le 19 juin garantit à 200% la tenue de cette seule promesse.

Serait-il possible d’avoir la transcription écrite des paroles des candidats que vous interviewez le matin avec Léa Salamé et Nicolas Demorand ?

Chaque matin vous permettez aux candidats à la présidentielle de donner sur votre antenne leurs avis sur les grands sujets de notre société et de notre pays… Mais il est un sujet d’actualité qui reste curieusement d’un silence assourdissant dans le débat politique, c’est celui de la corruption qui délite notre pays et explique en partie l’abstention des citoyens français à chacune des élections, renforçant chaque semaine ce sentiment du « Tous pourris ». Aujourd’hui, en France, nous connaissons une situation quelque peu singulière avec 1 ancien président de la République mis en examen, tout comme 2 anciens ministres de la justice, 1 ministre de l’Intérieur condamné à de la prison, un nombre ahurissant d’élus et de politiques proches du pouvoir soupçonnés d’être impliqués dans des affaires de corruption, de mensonges, de retournement d’argent et de biens publiques, de conflits d’intérêt et autres comportements douteux voire délictueux. Pourquoi ne pas mettre tout ce sujet sur la table et dans le débat politique pour demander à chaque candidat son engagement pour combattre ce fléau qui peu à peu fait glisser notre pays dans l’acceptation de ce fléau devenu une « normalité »… et attendre la déclaration du prochain Président de la République fraichement élu nous promettre que son gouvernement sera « irréprochable » ?…