Un terme est répété à tout moment sur France Inter ce jour et il m’a écorché les oreilles car il semble faux, une erreur à priori.
Vous avez dit que M. Gabriel Attal est un autodidacte.
 » Autodidacte :
adjectif et nom
Qui s’est instruit lui-même, sans maître.
L’autodidacte est donc celui qui, pour toutes sortes de raisons, n’a pas construit la base de connaissance et l’expérience de son métier, ou d’une activité annexe, par le biais de sa scolarité. Cela peut-être à cause de difficultés scolaires, sociales ou financières. « 
Alors, pour quelle raison, quel est le but de mettre cela dans la tête des auditeurs ? Pourquoi dire et répéter sur les ondes que M. Gabriel Attal est un autodidacte en politique ?
Alors que visiblement il ne répond pas du tout à la définition de ce terme.
En effet : Il étudie à :
-l’École alsacienne, école privée de Paris.
-l’Institut d’études politiques de Paris, où il obtient en 2013 un master 2 en affaires publiques.
-une licence de droit à l’université Panthéon-Assas.
Tout ceci est une formation aux métiers politiques.
Il n’est donc pas un autodidacte en politique.
Ceci pour rectificatif, si vous pouvez le faire ou voudrez ou encore, si vous aurez le droit de le faire.
A moins que ce terme en fait ne signifie pas ceci ?
Ceci sans aucune critique négative ou positive sur le fait de ne pas être un autodidacte.

Merci France Inter pour vos émissions.
J’écoutais tout à l’heure le journal de 13h qui traitait largement de la nomination de Gabriel Attal comme Premier Ministre.
J’ai été surpris à quelques reprises qu’au cours de ce journal Gabriel Attal soit présenté comme une sorte de « Jordan Bardella macronien » (jeunesse, énergie, talent de communiquant, popularité), érigeant de la sorte Jordan Bardella en modèle (ou mesure) au regard duquel évaluer Gabriel Attal. Jordan Bardella peut-il vraiment servir de référence, le souhaite-t-on ? S’en servir comme référence, mesure, aune, n’est-ce pas contribuer à le légitimer ?
Dans cette édition du journal de 13h, plusieurs journalistes ou intervenants ont mis en avant l’opposition entre Gabriel Attal et Jordan Bardella comme celle entre deux jeunesses énergiques et douées, contribuant ainsi à réduire l’enjeu de l’affrontement politique entre démocrates-européens et autoritaires-nationalistes au combat de deux jeunes individus prometteurs (deux jeunes coqs ?).
Ces sentiments me parcouraient quand les mots étonnants de « match » (entre Attal et Bardella) et de « casting » (pour parler de la nomination d‘Attal) ont été prononcés par votre journaliste politique, au regard du recul critique dont il fait habituellement preuve, il pourra juger que l’usage de telles expressions est pour le moins très réducteur et potentiellement dangereux.
Si l’on réduit la politique à un combat de coqs, à un match entre deux compétiteurs supposés brillants, comment croire encore que la politique est essentielle ? qu’il ne s’agit ni plus ni moins que de choix de société qui nous concernant tous dans beaucoup des domaines très importants de nos vies ?
Nous savons tous que nos démocraties sont en danger, que la politique est largement déconsidérée et désertée alors même que « si vous ne vous occupez pas de politique, la politique s’occupera de vous ».
Dans ce contexte pour le moins chargé, qui appelle de notre part à tous, la plus grande responsabilité, parler d’enjeux politiques en des termes adéquats (en faisant valoir des idées, des actions, des propositions de loi, des votes, des visions de la société – plutôt qu’en les réduisant à l’issue d’un « match » ou aux retombées d’un « casting ») ne pourrait-il constituer un idéal qu’on poursuit avec la plus grande discipline, le plus grand engagement ?
Je suis conscient du fait que, à l’oral, des mots maladroits, aux conséquences plus ou moins grandes, peuvent échapper. Il ne s’agit donc nullement de condamner. Mais il s’agit clairement d’appeler au respect, autant que faire se peut d’une ligne éditoriale aussi rigoureuse, intellectuellement, que l’exige l’information de nous tous.
Je renouvelle mes remerciements pour vos émissions, en règle générale très intéressantes.

Je supporte de moins en moins la matinale de France Inter… ce matin, c’est le pompom, avec les politologues sur vos antennes qui parlent d’un « bon coup politique » de Mr Macron. Alors que personnellement, je ne crois plus aux vertus de l’engagement politique qui devrait être au service des citoyen·ne·s, en particulier des plus démuni·e·s… la valeur de l’engagement n’est-il pas d’améliorer la vie des gens, de rééquilibrer les choses face au pouvoir des possédants. Là, on peut au moins reconnaitre que celleux qui nous gouvernent ne se cachent pas derrière leurs petits doigts ! Bien soutenu·e·s par les médias mainstream.
Je vote depuis 43 ans sans m’abstenir une seule fois (j’ai donc voté pour des candidats avec lesquels je ne partageais pas les opinions). En ce 1er janvier, j’ai pris la décision de ne plus voter pour une personne avec laquelle je ne partage pas les idées et le programme (ni au 1er ni au 2ème tour).
Le front républicain n’a plus de sens suite à la loi « immigration » adoptée par la droite, dont fait partie Renaissance, et l’extrême droite… A écouter vos invités sur le plateau, c’était « courageux » de la faire ?!? C’est une blague ? C’était dans le programme, comme les « retraites », fermé le ban !
Celles et ceux qui nous gouvernent battent froid les valeurs de solidarité, de sensibilité aux exclu·e·s, aux pauvres, d’accueil des migrant·e·s… avec l’aide des médias dont France Inter à mon grand désarroi (nous écoutons cette radio depuis toujours, les autres étant pires !). Alors, de temps en temps nous écoutons une radio musicale et nous lisons nos journaux papier ou en ligne pour mieux nous informer.
Ce matin, avec vos politologues, c’est BLA BLA BLA à tous les niveaux… Je pense que vous n’avez pas compris ce qui est en train de se passer, alors vous vous rattachez aux branches de l’ancien monde, celui-là que Mr Macron voulait détruire. Il aura réussi ce coup-là, mais en laissant, je pense, une terre brûlée derrière lui.

J’apprécie les infos de France Inter d’une manière générale et c’est très souvent le seul média que j’écoute, en plus de la lecture de journaux ; je regarde très peu les journaux télévisés. Je suis très fâchée que le journaliste ait osé mentionner l’homosexualité de Gabriel Attal ; c’est indigne et ce genre de propos ressemble de plus en plus à une chaine d’information en continue. Gabriel Attal a fait son coming out mais ce n’est pas ce qui le caractérise ! Chacun a une vie intime et c’est médiocre de rappeler cela le jour de sa nomination. Dans le même esprit que le vôtre « Et vous, vous couchez avec qui ? »

Je suis choqué, scandalisé, humilié et agressé dans mon homosexualité par le mot employé ce matin par votre journaliste lors de l’interview de François-Xavier Bellamy, en parlant de Gabriel Attal elle a dit « IL A AVOUE SON HOMOSEXUALITE », ce sont les crimes qu’on avoue, c’est une honte d’employer des termes pareils qui sont une agression à l’égard de tous les gay, je demande des excuses immédiates pour ce grave manquement qui montre que le chemin est encore long !!!!!

Décidément… les mots, les mots… votre journaliste dit que le Premier ministre a « avoué » … avoué quoi ? Qu’est-ce qu’avouer ? C’est avouer un crime, une faute, n’est-ce pas ? Alors, doit-on dire « avouer son homosexualité » ? C’est à nouveau considérer l’homosexualité comme un crime. Pourquoi ne pas faire attention aux mots qu’on prononce… ?

J’ai été extrêmement choqué et scandalisé le jour de la nomination de Monsieur Attal en entendant un journaliste de votre antenne émettre la remarque suivante : “C’est la première fois qu’est nommé un Premier ministre homosexuel. Cela peut-il poser un problème ?”
Le problème c’est lui, ce journaliste imbécile. Que cherchait il ? Comment peut-on donner l’antenne à des gens qui font preuve de si peu d’intelligence.

Je vais essayer de faire court. L’épisode politique actuel de changement de gouvernement est très significatif de votre ligne d’information. La pluralité des points de vue est désormais constante : anti-gouvernementale, et surtout « haro sur Macron ». Alors libre à vous, mais dans ces conditions modifiez votre appellation. Vous n’êtes plus un média d’information. Appelez-vous « FRANCE-OPINION (de gauche, pourquoi-pas) »

A 12h30 le journaliste qui annonce la nomination de Gabriel. Attal au poste de premier ministre rappelle qu’il accompagné depuis longtemps dans ses différentes fonctions par une équipe de 4 personnes appelées les power ranger. Il se permet ensuite de mettre en doute la capacité de sa directrice de cabinet à assumer la même fonction à Matignon. Ce commentaire est parfaitement déplacé de la part d’une personne qui n’a strictement aucune compétence pour juger des qualités de cette femme. Ce commentaire a de plus de forts relents sexistes il est absolument inadmissible qu’il ait pu être émis.

Mais vous n’en avez pas assez de gloser sur tout et n’importe quoi … et de réussir à occuper des heures d’antenne avec vos commentaires vos soit disant analyses vos conjectures et hypothèses … tout cela ne nous intéresse pas ou plus .., apprenez tous à préparer vos questions sur le fond , à vérifier vos sources et à employer le présent le futur ou le passé mais abolissez le conditionnel qui vous permet de parler des heures dans le vide et de vous exonérer de tout ce sur quoi vous vous êtes trompés ! Depuis hier, lundi, pas une seule chaîne sans parler pour ne rien dire ! Vous devenez  » aussi pire » que les chaines privées d’info continu qui sont capables d’occuper l’antenne sur un seul sujet sans grand intérêt et surtout sans avoir aucune information factuelle à donner ! Vous crachez tous en l’air pour faire croire qu’il pleut mais ça ne marche pas comme ça ! Je reste passionnée par la Politique mais pas par celle que vous vous acharnez à nous déballer. Pitié ne devenez pas radio caniveau – même si le QI de vos invités est à 140- et épargnez les blabla de politique ! France Inter et le service public valent mieux que vos propres gloussements et éructations à vos propres bons mots !

Avec vos deux journalistes ce mercredi matin, 3 habitué.e.s des plateaux tv d’info en continu ? Trois journalistes exprimant la même chose avec quelques nuances à la marge et dociles dans leur propos face à la nomination du nouveau 1er ministre. A croire qu’ils et elles seraient déjà tombé.e.s sous le « charme » d’ATTAL! Où sont les contradicteur-trice de gauche, de la vraie gauche ? Qui s’adresse au petit peuple dont je fais partie ? Les médias font monter les enchères de la peur avec Le Pen, pourriez-vous inviter des personnes humanistes et anti capitaliste proposant un autre regard sur la société ? Juste entendre autre chose de temps en temps que la bien-pensance de l’élite médiatique … Merci de votre compréhension.

Je suis un auditeur fidèle de votre journal de France Culture que j’estime brillant, tant sur l’élocution, la maîtrise des faits, le déroulé souple et littéraire, vous êtes brillant, les choix de sujet me parlent, mais quelle déception d’entendre des présentations aussi partiales, et qui trouble la lecture de l’actualité. Je prends l’exemple de votre présentation de ce mardi quant à notre nouveau premier ministre. Pourquoi instiller autant de négativité, alors qu’il y a plutôt à analyser. Madame Borne a présenté sa démission elle n’a pas été évacuée, elle a été liée à des lois difficiles comme on sait. Pourquoi parler tout de suite d’une nomination supposée immédiatement éphémère. C’est un point de vue orienté et attristant. J’en déduis que vous n’appréciez pas ces deux quinquennats, qui sont, à de nombreux égards, brillants. Je souhaite plus de neutralité, ou en tout cas, moins de négativité.

Je voulais dire que j’ai été choqué par la phrase de votre journaliste politique qui a affirmé que Gabriel Attal n’avait jamais travaillé… ce n’est pas juste et très discriminant…Monsieur Attal n’a peut-être pas eu l’occasion d’être confronté a certaines situations et échanger avec des milieux sociaux différents … mais dire qu’il n’a jamais travaillé ? C’est faux. Il a travaillé dans la fonction publique… Mais ça c’est infamant ??

Nous sommes le 9 janvier 2023 et je viens d’écouter le journal de 13h. A propos de la nouvelle nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre, la parole a été donnée à deux personnes pour recueillir leur réaction : un représentant de la majorité et une représentante du Rassemblement national. Et ce n’est pas la première fois que je constate ce choix. C’est donc le RN qui représente l’opposition ? Pourquoi ne pas interroger LFI, ou les Verts ? Ce n’est pas la première fois que vous donnez la parole uniquement au RN pour recueillir une réaction à la politique gouvernementale. Ne participez-vous pas ainsi à un conditionnement des esprits : il n’y aurait en France que deux partis, Renaissance et le RN entre lesquels il faudra choisir en juin prochain ? Vous n’êtes pas obligés d’emboîter le pas aux sondages d’opinion.

Toujours les mêmes commentateurs, ce ne sont pas des journalistes pour moi, qu’on nous propose.
J’en ai plus qu’assez de ces commentateurs de salon qu’on voit partout et qui nous racontent leurs salades et leurs « y a qu’à faut qu’on » toujours les mêmes.

Un peu exagéré de désigner en permanence depuis 2 jours le RN comme principal opposant à Gabriel Attal ; trop c’est trop de publicité subliminale pour le RN.

Cette fois vous avez gagné !
J’ai été longtemps passionné par la politique mais le bourrage de crâne des médias depuis ce matin me dégoûte, me dissuade et me fait m’éloigner de ce parisianisme méprisant et détestable.