“Une femme ne se FAIT pas violer, elle est violée !!! Elle ne se FAIT pas siffler elle est sifflée
Si tout le monde utilise ce genre d’expression : “se FAIRE”… comment les choses changeront-elles ?”
Quand on dit « elle s’est fait violer », n’induit-on pas une acceptation ? Laélia Véron, enseignante-chercheuse en stylistique et langue française répond aux auditeurs.
Co-autrice avec Maria Candea des livres « Le français est à nous » et « Parler comme jamais »