Je me permets de vous contacter pour une raison somme toute assez simple : adresser à toute l’équipe de « la méthode scientifique » mes plus chaleureux remerciements. Je vous suis depuis 2017 lorsque j’effectuais ma thèse à l’université Paris-Sud. Vos émissions m’ont accompagné depuis, notamment lors de mon séjour postdoctoral en Allemagne et au cours de mes longues nuits de galère au laboratoire. J’ai eu la chance d’être recruté en 2021 comme chargé de recherche au CNRS, et comme toute étape importante, ce fut pour moi l’occasion d’une petite introspection et un point sur ces dernières années. Aussi surprenant que cela puisse paraître, il m’est apparu comme évident que votre émission et présence quotidienne ont été des éléments importants à la réalisation de ce projet. L’opportunité d’écouter la parole de scientifiques inspirants, et un point de vue positif, enthousiaste et passionné sur le monde de la recherche scientifique ont été des bouffés d’air pur à des moments où – la dureté du système académiques n’aidant pas – le doute sur la certitude de ma vocation s’installait. Il me semblait donc naturel de vous contacter pour simplement vous dire un immense merci ! Merci pour votre excellent travail, d’utilité publique, ainsi pour votre intégrité et sincérité dans la communication d’information qui – dans ce contexte de défiance scientifique grandissante – peut déchainer parfois les critiques. (France Culture)
En ces temps d’incertitudes en matière de géopolitique, d’incertitudes en termes de santé mondiale, d’incertitudes démocratiques à l’approche des élections, nous, auditeurs de France Inter, pouvons être sûr d’une chose, que rien ne doit changer dans la programmation de votre radio.
De notre radio d’ailleurs, parce qu’il est évident que nous avons la chance de bénéficier de ce merveilleux service public que nous offre France Inter.
Alors comme j’imagine que certains ne se gênent pas pour vous exprimer tout ce qui ne leur convient pas, il est important d’équilibrer la balance.
Je tenais à vous exprimer ma gratitude d’humble auditeur et fervent ambassadeur de vos émissions.
Si je ne veux mobiliser votre attention en citant tous les excellents programmes qui m’informent, me cultivent, m’instruisent, me détendent et me font rire, je me dois de vous indiquer que c’est en écoutant le podcast de « par Jupiter » que m’est venue l’envie de vous écrire pour une fois encore vous dire un grand MERCI pour tout ce que vous faites. Ne changez rien ! (France Inter)
Toujours présent pour notre plus grand bonheur. J’ai 63 ans et ça doit faire 40 ans que j’écoute fip. Merci ! (FIP)
Vous dire que j’ai découvert votre émission « les chemins de la philosophie » en cette année 2022. Ce matin, pour m’accompagner sur mon trajet domicile – travail soit 1 h de route – j’ai écouté l’émission sur Philippe Glass / les prémices d’une analyse de son œuvre. J’ai beaucoup appris et même si Glass ne m’était pas inconnu puisque j’ai certains de ces CD à la maison, ce sentiment d’évasion, de pluralité des mondes, cette magie exprimée par votre invitée, je les ressens aussi lorsque j’écoute Glass. Merci encore pour savoir partager et enrichir mes connaissances. (France Culture)
Cher Augustin Trapenard,
J’ai écouté avec attention votre émission de ce jour, mardi 29 mars.
J’ai été profondément ému par la très belle lettre que François Berléand a lue. La lettre de reconnaissance et de gratitude de Camus à son instituteur. C’est magnifique et tellement juste. Merci à vous, infiniment, d’avoir réalisé cette émission. Je les écoute souvent, mais aujourd’hui vous avez permis de mettre en lumière ce travail de l’enseignant, travail de « préparation » de la terre que chacun·e travaillera à sa façon, rendant possible la germination des graines qui sont présentes en chaque enfant, en chaque adolescent, en chaque jeune femme ou jeune homme.
Souvent, j’ai pensé à notre travail d’enseignant. Un artisan, un créateur, un artiste voit le fruit de son travail, son œuvre… Que voit l’enseignant ? Il ou elle essaie d’éveiller dans ses élèves ou ses étudiants, ce qui leur permettra de réaliser leurs aspirations, leurs désirs, leur ligne de vie. Mais… une fois la classe finie, une fois les élèves partis, quel retour avons-nous ? Comment savoir si leur vie a été heureuse, réussie, si notre travail a porté ses fruits ? Comment voir « l’œuvre » de notre travail ?
Camus, dans sa grande intelligence, après avoir reçu le prix Nobel de littérature, sait à qui il doit sa trajectoire… Il ne se trompe pas. Il est reconnaissant, avec une grande sincérité, à celui qui a cru en lui et qui lui a permis de faire germer ces grains qui étaient en lui. De même, je me souviens avoir écouté Cédric Villani qui, après avoir reçu la médiale Fields pour ses travaux en mathématiques, a exprimé publiquement sa reconnaissance envers ses professeurs de mathématiques, particulièrement sa professeure de Terminale (qui était dans la salle, très émue aussi).
Ne nous y trompons pas, je ne dis pas que ces professeurs ont fait ce que ces génies ont seuls étés capables de réaliser par leur intelligence et leur travail. Je dis juste qu’ils ou elles ont balisé le chemin, mis des lumières sur le sentier de leurs élèves, préparé la terre, pour que puisse se réaliser ce que leurs élèves avaient en eux ou en elles. Et, lorsque viennent ces mots de reconnaissance, les professeurs, les instituteurs ou institutrices, sont comblé.·e·s. Car, voyant le résultat de leur travail, ils et elles reçoivent, avec bonheur, la chaude lumière d’un merci qui éclaire ce travail obscur, peu visible, souvent décrié, de l’enseignant au service de ses élèves.
Alors, cher Augustin, merci de ce que vous faites, de votre intelligence et de votre sensibilité, de la lumière et de l’éclairage que vous nous apportez, jour après jour, dans vos émissions. Certains se moquent de vous (c’est bien, il faut des humoristes), vous traitant d’intello, etc. Peu importe, « le rire est la source du bonheur » dit un proverbe chinois. Mais moi je sais aussi vous dire merci. À bientôt, cher Augustin, pour vous retrouver sur France Inter. Poursuivez votre chemin sans faiblir. Je vous souhaite le meilleur. (France Inter)
Bon rétablissement à Alain Finkielkraut. Les choix de rediffusion sont fantastiques et c’est toujours avec un grand plaisir et un grand intérêt que j’écoute cette émission tous les samedis. Toute ma reconnaissance à Alain Finkielkraut. (France Culture)
Mille merci à vous pour cette émission de grande qualité « Guerre en Ukraine, vigilance et résistance en Lituanie » sur France Culture. (France Culture)
Merci Boomerang pour ce merveilleux texte cet appel à la rêverie dont nous avons tant besoin. (France Inter)
Que l’éclat de rire partagé de ce matin, 9 heures 34, à la réponse spirituelle de Florence Delay, soit le vecteur de la respiration nécessaire pour beaucoup en ce temps troublé par des vagues, pas seulement virales ! Les spirales du « Boomerang » désarmant au-dessus de nos têtes en agitent souvent les neurones pour une gymnastique matinale du meilleur effet. (France Inter)
Merci à Mr. BOUCHERON et ses invités pour cette magnifique et intelligente émission « Réfugiés : ce qu’il se passe ». Merci merci beaucoup, cela fait du bien d’entendre. (France Inter)
Toujours présent pour notre plus grand bonheur. J’ai 63 ans et ça doit faire 40 ans que j’écoute FIP. Merci ! (FIP)
Mille merci à vous pour cette émission de grande qualité « Guerre en Ukraine, vigilance et résistance en Lituanie » sur France Culture. (France Culture)
Je tenais à vous remercier pour la série documentaire « une odeur de poudre » que je viens de découvrir. L’approche de la journaliste est à la fois pleine d’humanité, sincère, sans préjugé et sans tabou. Cela fait du bien d’avoir un tel regard sur ce sujet, où les paroles peuvent s’exprimer librement, sans faux-semblants. Sur tous les sujets sensibles ou difficiles tels que celui de la drogue, ce n’est pas une position dogmatique qui permettra d’en comprendre les enjeux. Pour cela, je tenais à vous remercier. Je mesure avec votre travail encore une fois la qualité de la radio publique et la nécessité de son existence. (France Culture)
Juste un grand Merci pour cette merveilleuse émission » journée de la viole de Gambe » aujourd’hui 27/03/22, sur France Musique, c’est un régal pour l’âme et les oreilles, je suis comme en apesanteur à cette écoute, en cette période d’incertitude du 21 ième siècle. Cette rupture de corde du musicien qui l’oblige à une pose , personne ne lui reprochera cela, Encore merci , un fan de votre antenne. (France Musique)
Merci pour cette excellente émission autour de Philip Glass et la qualité des intervenants. C’est un vrai plaisir que de l’écouter. (France Culture)