Je pense que malheureusement nous allons tout droit vers une 3ème vague. L’exemple de Thanksgiving aux Etats-Unis et au Canada en est l’exemple le plus frappant. Il ne faut pas se rassembler à Noël ni au nouvel an. Les personnes ne respecteront pas les règles pendant les repas de famille. C’est comme si on disait aux personnes de ne pas boire d’alcool lors du nouvel an. Merci, un soignant.
C’est devenu le sport national : pronostiquer les annonces du 1er ministre et du président concernant les choix au sujet des mesures de déconfinement ou non.
Le dernier en date sera de savoir si oui ou non on déconfine.
Quelle que soit la décision, je peux vous affirmer que je ne respecterai pas la décision en cas de non déconfinement. Je suis gaulois et surtout fatigué de devoir subir des choix pour protéger une minorité. Mais la majorité dont je fais partie en a assez de cette solidarité, valeur qui, d’habitude je chéris. Je fêterai noël en famille et surtout, que mes enfants de 18 et 14 ans puissent se changer les idées. Les deux ne vont pas bien au point que l’ainé a arrêté ses études en supérieur. Aujourd’hui le remède me parait pire que le mal. Donc je choisis de désobéir. Je voulais vous faire part de mon sentiment !
Les médecins et les auditeurs/auditrices sont très raisonnables… ! Mais je suis la maman d’une petite fille de 4 ans et c’est très très compliqué de lui faire accepter que cette fête qu’elle attend tellement sera si morne… d’autant que les enfants sont en manque de famille depuis 9 mois !
Mes petits-enfants et enfants tiennent absolument à venir réveillonner à la maison. Je n’y tiens pas, je fais partie des personnes à risques (âge, santé) comment procéder pour éviter toute contagion ? Nous serons 6 ou 7, les 4 jeunes sont des fêtards, les parents travaillent dans des commerces et milieu à risques.
Je me demande si on pouvait engager une réflexion collective sur Noël. Quel sens à cette fête, religieuse à la base, pour nos contemporains ? Achat et gloutonnerie à outrance ? Retour à des valeurs de liens entre humains ? dimension spirituelle ?
Pourquoi des journalistes, dans un article soumis aux lecteurs, écrivent « obligation » et non « recommandation ». C’est grave ! “Covid-19 : se faire tester avant le repas de Noël, une fausse bonne idée”. Pensant pouvoir contourner l’obligation de n’être que six à table tout en ne pas prenant le risque de contaminer les personnes à risque, beaucoup de familles songent à se faire tester juste avant les repas de fête. Mais pour le biologiste Lionel Barrand, ce dépistage d’avant Noël n’est pas la panacée.
De manière très égoïste, j’aimerais passer des fêtes juste chez moi et non pas être obligée de modifier sans cesse mon planning de travail Je suis infirmière anesthésiste et la perspective de retourner en soins intensifs/réa est juste impensable et pourtant inéluctable au vu du comportement des gens.
Pas de problème pour ne pas fêter Noël… mais ne pas voir mon fils de 21 ans (né le 25 d’ailleurs), que je n’ai pas vu depuis le mois d’août, quelle douleur !
Ma mère habite vers Lyon, et nous Lille. L’an dernier, nous avons été privés de Noël pour cause de train annulé (grève des retraites), et cette année, cela risque d’être à nouveau annulé. Ça commence à faire beaucoup !
J’ai été testée positive fin octobre. Mes enfants ont également été testés positif il y a plus d’1 mois. Que risque-t-on à fêter Noel ensemble ? Quelle immunité garde-t-on ?
Afin de préserver la vie de tous, pourquoi ne pas reporter cette date qui n’a peu d’importance par rapport à la vie de chacun de nos proches. Faisons Noël à Pâques !
Est-ce que quelqu’un vit dans la vraie vie au gouvernement et sait que dans les familles quand on a des enfants en couple, on ne se réunit pas forcément le 24 au soir ? Les jeunes devant se rendre dans les deux familles, le 2′ et un autre soir vont-ils devoir braver le couvre-feu pour rencontrer le Père-Noël !