Samia Essabaa, professeure d’anglais au lycée professionnel Théodore Monod de Noisy-le-Sec en Seine-Saint-Denis était l’invitée de Claire Servajean vendredi 17 septembre dans Une semaine en France sur France Inter.

Juste un petit mot pour vous dire mon admiration pour cette professeure d’anglais qui s’investit formidablement pour ses élèves… A côté d’elle, j’ai l’impression de n’avoir rien fait de ma vie ! Bravo de trouver ces invités hors norme ! Transmettez-lui toute mon admiration ! Ça me donne de l’espoir dans la nature humaine de l’avoir entendue !
France Inter ma radio pour toujours !

Bravo pour votre émission ce soir vendredi 17/10 et l’entretien avec cette enseignante manifestement formidable. Un grand moment d’ouverture, de tolérance et d’implication. Vraiment, bravo à elle et à vous pour lui avoir permis d’exprimer ses sentiments si forts.

Madame quelle bouffée d’oxygène vous apportez !!! Cela apporte du baume au cœur… merci !

Géniale cette prof ! Merci pour ce sujet tellement réconfortant, cette dame va surement susciter des vocations.

Merci mille fois de nous faire découvrir le travail remarquable de Samia Essabaa. Ses élèves ont beaucoup de chance. Je vois beaucoup de résonnance entre ses pratiques, ses valeurs, et celles du mouvement associatif dont je suis membre. Merci de transmettre mes chaleureuses félicitations à Mme Essabaa. Nous espérons l’entendre à nouveau sur votre antenne.

Bravo à cette professeure qui réalise avec ses élèves un formidable travail de proximité, un travail social et d’équipe qui manque souvent à l’éducation nationale. Elle fait en milieu urbain, ce que les MFR réalisent avec leurs équipes en milieu rural.

Merci d’avoir relayé les messages d’auditeurs louant l’interview de Samia Essabaa. Il est dommage que sur la page web de France Inter, la présentation de l’émission se réfère seulement aux questions de tolérance et de lutte contre les préjugés. Il faut retenir aussi les valeurs de travail et d’exigence qu’elle incarne elle-même et qu’elle inculque à ses élèves. Bien loin des discours de victimisation, sources de déresponsabilisation et de ressentiment, qu’on entend à longueur d’année à propos des jeunes de banlieue. Dans le même esprit, je conseille la lecture de N’attisez pas la haine, de Nassera Frugier, assistante sociale dans les quartiers chauds de Besançon et « berbère de banlieue ».