Les auditeurs ont été touchés par l’émotion de Catherine Duthu, entendue ce 16 octobre dans la Revue de presse internationale sur France Culture lors d’un sujet sur la guerre au Soudan. Les auditeurs la soutiennent et la remercient : :
Ce matin comme très souvent, j’écoutais la matinale avec la revue de presse internationale…
Catherine Duthu, merci pour avoir partagé votre émotion ce matin.
Elle m’a touchée au cœur…ce qui manque trop souvent à mon goût dans les voix journalistiques.
Votre voix ce matin plus encore a permis de rendre toutes ces inhumanités malheureusement ordinaires à leur juste place…
Un partage de sensible où on se relie malgré le désir de s’enfermer dans une coquille pour ne plus entendre le fracas du monde.
Merci pour tout votre travail et ce matin, merci pour ce professionnalisme sensible.
Comme presque chaque jour, j’écoutais la matinale de France Culture ce matin. La Revue de Presse Internationale de Catherine Duthu est toujours un moment fort car toujours excellemment construite. Ce matin, la journaliste a été prise d’une émotion perceptible côté auditeurs. Souvent déjà chargé du fait de l’actualité internationale, ce matin, j’ai juste eu envie de partager la tristesse de Catherine Duthu. Entendre des journalistes émus au point de ne pouvoir terminer un passage radio nous dit à quel point transmettre ces informations n’est pas anodin. Bravo Catherine Duthu pour votre travail et aussi d’avoir laissé entendre des émotions qui débordent face à un monde si injuste.
Je ne peux m’empêcher de remercier Catherine Duthu pour son implication chaque matin sur les informations du monde dont si peu de personnes se préoccupent. Bravo à son courage et sa force de cœur pour ce reportage sur les horreurs au Soudan, car il n’était pas facile de présenter de telles abominations, nous lui en sommes reconnaissants. Merci à toute l’équipe pour ce journalisme d’âme qui nous rappelle que le chant du monde est cri de cruauté. Merci à vous tous et à Catherine Duthu.
Merci à Catherine Duthu d’exprimer une émotion en annonçant une énième info abominable.
Je m’étonne toujours que les journalistes puissent garder un ton indifférent en parlant des souffrances humaines dans le monde, ce petit moment suspendu m’a beaucoup touchée … et rassurée.
J’ai été très ému par votre chronique ce matin.
J’écoute les matins depuis une quinzaine d’années. Vos interventions et celle de vos « camarades » sont pour moi un phare dans un océan d’informations parfois anxiogènes parfois simplement triste et exceptionnellement joyeux.
Je comprends que votre métier requiert la distance d’usage. Pour autant je vous remercie mille fois d’avoir fait poindre votre humanité, d’avoir laissé entrevoir que la litanie d’événements concerne des hommes et des femmes comme vous et moi, d’avoir dérogé au ton enjoué qui réveille le travailleur et l’accompagne au bureau.
Je vous écouterai avec d’autant plus d’attention qu’il y aura également de l’empathie. Celle de vous savoir sensible.
Merci à vous et à votre équipe.
Courage pour votre travail.
Vous êtes d’utilité publique !
Merci à Catherine Duthu pour son humanité ce matin au sujet de la guerre au Soudan et à propos des enfants !
Je vous envoie ces quelques mots pour vous remercier et vous féliciter pour votre revue de presse internationale.
Chaque jour, vous éclairez nos esprits, vous permettez une meilleure compréhension des événements qui se déroulent dans le monde.
Je n’ose imaginer le travail que cela vous demande ainsi qu’à votre équipe.
Ce matin, 16 octobre 2025, votre émotion fut palpable lorsque vous évoquiez la guerre au Soudan.
Je partage votre tristesse Catherine.
Je tenais à finir en vous envoyant tout plein de belles pensées.
Merci pour votre merveilleux travail.
Je souhaite juste exprimer mon empathie à Mme Duthu dont la voix a un peu tremblé tout à l’heure lors de sa revue de presse consacrée au Soudan.
Qu’elle reste sensible aux émotions normales, que peuvent susciter les scènes qu’elle a le courage de débusquer et décrire sur les théâtres de malheurs du monde entier, est tout à son honneur, preuve d’une grande humanité.
Toute mon admiration et mes encouragements à continuer.
J’ai entendu votre voix flancher ce matin et votre émotion m’a gagnée. Je ne suis pas étonnée car la qualité de votre revue de presse reflète un fort engagement moral et une grande sensibilité.
Je voulais vous redire (j’avais fait un premier mail il y a quelques mois) que votre travail est remarquable, vos choix pertinents, vos commentaires toujours extrêmement justes et intéressants !