J’entends donc dire calmement qu’il y a un manque de vaccins. Quid des 30 millions de doses surprises découvertes hier en Italie ?
Je viens d’entendre à nouveau ce matin sur votre antenne, la publicité de la grand-mère qui prend ses petits enfants dans ses bras enfin après avoir été vaccinée contre la covid, et pourtant on nous rabâche que malgré la vaccination il faudra garder les gestes barrières et le masque, je trouve que cette pub induit en erreur et qu’elle pourrait inciter les gens vaccinés à rompre les gestes barrières.
Je me permets de vous contacter car je suis en train d’écouter votre émission. Je souhaitais juste rappeler à votre invité que beaucoup de soignants sont très motivés pour venir vacciner le week-end sauf que nous n’avons pas suffisamment de vaccins. Il s’agit donc bien d’un problème d’approvisionnement et pas de camion qui s’arrête le week-end.
J’ai écouté aujourd’hui votre émission sur le pour ou contre, la vaccination prioritaire des enseignants et des caissières. Je travaille dans le milieu du périscolaire, je travaille le midi à la cantine. Je trouve que c’est bien de penser aux enseignants et aux caissières mais les personnes qui sont en potentiel contact avec le covid, sont les périscolaires pendant le temps de la cantine. A l’école, les enfants ont leurs masques, à la caisse des supermarchés les gens portent leurs masques, mais à la cantine les enfants ne portent pas leurs masques, nous respectons bien sur les règles sanitaires. Je suis d’accord pour que les enseignants et les caissiers passent en priorités mais ne nous oubliés pas……nous les animateurs du périscolaire….
Votre journaliste, par deux fois, parle de vaccinnodromes pour écouler les stocks. Est-ce bien la bonne formule pour casser les réticences ? Parler d’élargissement de la vaccination aurait été surement plus pertinent.
Les auditeurs de Franceinfo ont à plusieurs reprises pris la peine – par le truchement de la Médiatrice – de rappeler qu’un vaccin n’est pas sérum et qu’un sérum n’est pas un vaccin. L’un sert à prévenir, l’autre à guérir. L’un est une substance qui mime l’attaque d’un virus chez un sujet sain pour activer les défenses de l’organisme, l’autre un extrait sanguin injecté à un malade et destiné à combattre le virus, cf. le programme de 3ème des collèges. En conséquence, je vous serais reconnaissant d’éviter d’utiliser l’un pour l’autre à longueur de Fil Info.
Je me permets de vous contacter parce que plusieurs fois les journalistes ont fait référence aux différents vaccins (Pfizer, moderna, …) En utilisant le mot « sérum ». Je trouve que cela est très dommage car ça va à l’encontre des efforts de pédagogies également fait sur l’antenne. En effet un sérum est un produit précis, issu de la coagulation du sang et qui contient des anticorps. Ce qui à mon avis peut prêter à confusion c’est que l’utilisation d’anticorps de personnes guéries peut être utilisé pour soigner des personnes malades (sérothérapie). Et justement sur France Inter les journalistes ont parlé d’entreprise de biotech faisant des recherches de thérapies à base d’anticorps. Les sérums et vaccins sont des produits différents, et surtout ne sont pas destinés aux mêmes personnes, prévention versus thérapie. Ce serait comme dire que la soupe est une bonne tisane… Je vous remercie, et j’en profite pour vous dire que j’aime beaucoup les programmes de France Inter et que j’aimerais entendre un peu plus de Blockbuster.
Petite question pour les spécialistes : je ne comprends pas pourquoi la plupart des zones les plus atteintes par la covid sont aussi celles où les taux de vaccination sont les plus bas. Pourquoi ne pas réguler l’attribution des vaccins en fonction de la gravité des situations locales ? Merci d’avance pour l’intérêt porte à ma question.
J’habite en Grande-Bretagne, et j’ai moins de 55 ans. Mardi dernier, je me suis fait vaccinée avec Astrazeneca et j’en suis fière. Je ne suis pas vraiment une supportrice de Boris Johnson ni de son gouvernement, mais là, ils ont fait preuve d’une proactivité par rapport à la vaccination. La France devrait certainement en prendre de la graine et arrêter de râler pour un oui ou un non !
Madame, Monsieur, Je suis infirmière retraitée et je participe aux vaccinations contre la Covid à Wissembourg depuis le premier février 2021. Je suis très étonnée de la différence de rémunération appliquée, à savoir 24 euros de l’heure pour une infirmière retraitée et 55 euros de l’heure pour une infirmière en activité. (cf: tarifs publiés sur ameli.fr). Rien sur le plan professionnel, (diplôme, compétence, obligation, responsabilité) ne justifie cette différence de rémunération. Ces pratiques inégalitaires sont incompréhensibles et me semblent préjudiciables au recrutement de personnel qualifié, indispensable en cette période de vaccination massive. Dans l’attente d’un éclaircissement et d’une régularisation. Je vous prie d’agréer l’expression de mes sincères salutations.
Peut-être seriez-vous intéressés par cette info. Mon époux c’est présenté hier au centre de vaccination au vélodrome de st Quentin dans les Yvelines pour se faire vacciner contre la Covid. Selon le gouvernement il rentrait dans les critères c’est à dire 59 ans un imc de plus 30 et il est appareillé pour l’apnée du sommeil. Le médecin sur place qui l’a reçu a refusé de le vacciner. Il semblerait qu’il y ait une discordance entre ce que préconise le gouvernement et les médecins dans les centres de vaccinations. J’espère que la mauvaise aventure de mon époux reste et restera anecdotique. Vous pouvez le contacter si vous êtes intéressé par sa mésaventure.