Une réaction suite à la critique du film “En Corps” dans l’émission “Le Masque et la plume” ! Les critiques ont été d’une méchanceté et d’un manque de sensibilité accablante, comment peut-on être si à côté de la plaque que ça ? Ce film est une merveille, il est plein d’humanité et de beauté ! Il fait un bien fou en ces temps difficiles ! Tout y est parfait ! Le lever de rideau qui nous met en condition de façon magnifique pour apprécier ce magnifique art ! Les Chorégraphies sont une merveille, elles nous emportent dans un mouvement de vie absolu ! Les rapports humains sont aussi tellement bien sentis ! On dirait bien que la beauté, l’humanité ne touchent plus du tout ces critiques qui croient que leurs avis sont essentiels et valent l’avis de tout le monde ! Je suis très en colère face à ce peu de grâce et de compréhension ! Affligeant !!!
Vos commentaires témoignent d’une surprenante incapacité à saisir le cœur du sujet ! Comme son titre pourtant nous y engage, il faut voir ce film comme une réflexion philosophique matérialiste sur la relation corps\psychisme, contre ou en-dehors du regard de la médecine traditionnelle. Les 2 scènes dans le cabinet médical sont centrales à cet égard. Quant aux séquences croisées danse classique, danse contemporaine, street-dancing, elles alimentent cette réflexion sur les apports mutuels entre émotion esthétique et performances physiques dont on ne peut exclure le rôle du système endocrinien (dégradation, satisfaction, plaisir). Passionnant !
Chers membres du Masque et la Plume, je suis choquée de la façon dont vous avez parlé du film « En Corps ». Il n’y a pas d’ « espèce de chorégraphie » au début, c’est une chorégraphie. Ce n’est pas parce que vous avez un public à faire rire que vous pouvez vous permettre d’être irrespectueux envers cette œuvre et envers ceux qui l’ont appréciée. Pour une fois qu’un film grand public est consacré à la danse et non pas aux voitures de course, réjouissons-nous ! Une auditrice, 12ans.
Je vous trouve très dur avec le film de Klapisch que j’ai beaucoup aimé. Les scènes de danse sont très bien filmées, l’actrice/danseuse est magnifique, l’histoire est belle, j’ai eu du mal à sortir du film. La salle à applaudi à la fin.
Cher Masque,
Je t’écoute au sortir de ce film, En corps, à côté duquel tu me sembles être passé.
Ce film ne parle pas de résilience mais de guérison.
Il n’y a rien de la comédie musicale.
Et vous semblez avoir été insensible au talent et à la qualité, rare au cinéma français, de la performance.
Votre propos est à la mesure du personnage du père. Sa fille est 1ère danseuse à l’Opera de Paris et lui ne s’est rendu compte de rien.
Si le film a des défauts, je ne crois pas que vous aviez vu juste.
Les problèmes du corps pour un danseur.
Et plus encore, pour une danseuse !
En ça, la séquence du pipi move est super bien vue.
Non, là, à chaud, je vous dis, je ne suis pas d’accord.
Vous êtes une équipe de critiques prétentieux. Je viens de voir le film que j’ai trouvé très agréable à regarder et je vous écoute après : je suis très choqué. Dans la salle il y a eu des applaudissements ! Venez en province regarder les films et descendez de votre piédestal parisien, ce n’est pas la première fois que vous êtes unanimes pour descendre un film, puis le public vous donne tort. Alors changez un peu sinon on ne vous écoutera plus…
Pour m’aider à comprendre ce qu’ils mettent derrière l’adjectif “sympathoche” (bonne histoire, bons sentiments, bons acteurs… MAIS)
Je voudrais savoir si Éric Neuhoff et Pierre Murât, que j’apprécié beaucoup par ailleurs trouvent les films de Frank Capra, période New Deal, ”sympathoches’
Je trouve l’emploi de cet adjectif à propos du film de Klapisch, condescendant, de cette condescendance d’intello qui se plaît honteusement à écouter la chansonnette, la ”variétoche”, ou à voir les mélos qui font pleurer Margot.
Comment dégoûter les auditeurs de France Inter de ne plus aller au cinéma : Il suffit juste d’écouter “Le Masque et la plume”.
« En corps », c’est le pied : l’un des meilleurs films sur la danse avec un générique époustouflant (E.-J. Marey dans le final), procurant une telle énergie qu’en sortant, chacun cherche son entrechat.
Vous avez été très injustes avec le film de Cédric Klapisch. “En corps” nous offre deux heures de bonheur. Le film est un hymne à la jeunesse, à la persévérance. Dans cette période dramatique, il nous faut des films comme En corps.