Juliette Binoche et ses déclarations dans la Bande Originale de Nagui
Encore Juliette Binoche dans l’émission de Nagui, qui joue aux grandes sauveuses de l’humanité. Que c’est trop irritant d’entendre ces actrices gâtées qui ont joué dans des films au tournage onéreux et polluant, faire leur grande prêtresse de l’écologie, donner des leçons. De grâce, qu’elle ait l’humilité de se taire.
BRAVO Juliette!
Entièrement d’accord avec Juliette : les lobbies ont la main mise sur les politiques et les décisions prises en dépendent trop.
J’espère que les Français (et les Hommes en général) prendront conscience qu’ils tiennent leurs destins entre leurs mains.
Bonjour, Auditrice assidue de F inter, j’émets rarement un avis sur les diffusions et me contente de changer de radio quand un programme m’est trop pénible. Cependant, je fais une exception au sujet de l’intervention actuelle de J Binoche. Long, pénible, laborieux…au secours ! Visiblement, J Binoche décroche (bégaye, se répète, perchée…) a-t-elle mal vécu son confinement ? Peut-être, mais par pitié, laissez là se reprendre avant de nous l’infliger !
Réaction : atterrée par la prise de parole de Juliette Binoche. Qu’on la laisse lire son texte farci d’approximations me choque, l’antenne n’est pas une zone de propagande politique. Ce n’est ni le lieu ni le moment. Ses attaques sont mal venues.
J’écoute France Inter une grande partie de ma journée en travaillant dans mon atelier, en ville. Je suis artisan et c’est bien agréable de retrouver les émissions que l’on aime et de pouvoir rire un peu. Je voulais remercier Daniel Morin et son collègue (je ne me rappelle plus son nom, j’espère qu’il voudra bien m’excuser !) pour être intervenu pendant le monologue nombriliste de Madame Binoche. Qu’elle s’engage en politique, en philosophie, en économie ou en psychologie, plutôt que de nous asséner ses leçons de morales. Son bilan carbone doit être bien médiocre au regard de la plupart d’entre nous. On n’est pas à un paradoxe, après 30 minutes de leçon de morale, appel à signature, etc.… sur la consommation et notre mode de vie, pour finir par promouvoir Instagram / Facebook. Une fidèle auditrice, qui serait ravie d’entendre d’autres profils du secteur culturel.
Toute mon Amitié à Tanguy, également, pour ses chroniques fines et drôles.
Auditeur régulier de la BO depuis le confinement, j’ai été abasourdi par le discours dynamique et complètement faux de Mme Binoche. Au prétexte de défendre l’idée louable de lancer une nouvelle société plus juste, écologique et économiquement responsable, on a assisté progressivement à un discours anti-scientifique assumé. Non seulement, elle a sous-entendu des choses extrêmement graves en termes de liberté des chercheurs (qui sont en grande partie des fonctionnaires, donc non-licenciables), mais en plus, elle a atteint un point de non-retour en évoquant les traitements homéopathiques.
Or, ce courant pseudo-médical est depuis de longues années considéré comme anti-scientifique dans sa pratique. Aucune étude par ses défenseurs n’a été menée pour démontrer son efficacité. Je ne prétendrai pas ici en faire l’exposé (je réagis à chaud), mais je vous invite à vous renseigner davantage sur les critiques qui sont adressées à cette pratique (de la part des mêmes scientifiques qui alertent sur le réchauffement climatique, soit dit en passant). Parmi les vulgarisateurs scientifiques qui existent, il y a diverses chaînes Youtube : La Tronche en Biais, Defakator, Asclépios, Primum non Nocere, etc. Chacun a abordé la question de l’homéopathie et de ses dérivés, et ont montré les dangers des discours qui peuvent les accompagner.
Que Mme Binoche intervienne pour parler de sa condition de comédienne, soit. Mais si c’est pour délivrer un discours sur un domaine qu’elle ne maîtrise pas, la laisser partir en roue libre ainsi que vous l’avez fait relève de la faute intellectuelle. J’espère que vous aurez l’occasion de donner un droit de réponse aux personnes qui, elles, sont les expertes du sujet.
Plus creux, convenu et hors sol que ça c’est difficile chère Juliette Binoche. « Ce n’est pas parce qu’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule » disait Coluche. C’est exactement ce qu’elle a fait mais c’est vraiment pénible ! Je l’aime comme actrice mais pas comme commentatrice d’une actualité vue du haut de sa Bobocity. Pitoyablement creux ! Dommage !
Choix des invités et choix éditoriaux
(Pour les Informés) Auditeur de votre émission que j’apprécie (c’est l’heure de mon jogging), j’ai toujours été étonné de ne jamais y entendre de voix scientifique, parmi le concert des savoir-faire que vous convoquez. Pas à chaque fois, mais de temps à autres. Laissez-moi préciser ma pensée : à cette heure où une réalité biologique heurte nos sociétés, pourquoi ne pas avoir de temps à autre un biologiste généraliste (genre journaliste scientifique bien choisi, et il y a plein de qualité – noms sur demande) ? Ça éviterait des cas où, en dépit d’une grande justesse d’analyse en moyenne, vous avez laissé dans la discussion traîné des idées consensuelles dans le groupe, mais techniquement (biologiquement) absurdes ou dangereuses. En d’autres termes, sans essayer de mettre une discipline unique au cœur de l’émission, peut-on rendre plus complet le concert des disciplines et des compétences. Les biologistes diront des con…ies aussi, mais en groupe ca se lissera ! Que cela ne vous cache pas un auditeur satisfait globalement, qui va continuer à vous écouter avec plaisir !
Auditeur, Professeur du Muséum national d’Histoire naturelle, Paris Professeur invité aux universités de Gdansk (Pologne) & Kunming (Chine) Vice-président de la Société Botanique de France Académie d‘Agriculture de France
Vous ne donnez la parole qu’à des personnes qui au final sont contre un changement quelconque de notre façon de fonctionner. Je pensais que le covid-19 était l’occasion de passer à un autre monde. Aucune personnalité défendant l’environnement et des choix plus responsables. Que des personnalités de droite ou des membres du gouvernement qui nous ont conduits là où nous en sommes et qui ne parlent que de relancer l’économie. Faudra-t-il que les températures montent à 50° en été pour qu’on se rende compte de cette absurdité ?
La prise de rendez-vous médicaux
Je souhaite réagir à une info entendue ce matin à France info. Il paraît qu’il y 40% de baisse de fréquentation des patients chez les médecins. Et que cela engendre un risque pour l’après. Votre journaliste attribue cela au fait que les patients ont peur d’être contaminés d’une part, et ne veulent pas « embêter » les médecins confrontés à l’urgence et à la gravité du Covid ; il oublie juste de mentionner qu’il est très difficile de se faire soigner en ce moment, même si on le souhaite. Rendez-vous au compte-goutte chez le généraliste, secrétariats des spécialistes fermés. Pas de dentistes, de gynécos, d ORL, etc. Les patients se sentent abandonnés. Merci de rectifier l’information. On voudrait bien se faire soigner, ce sont les médecins qui ne sont pas au rendez-vous.
Ce matin sur France Info, il y a eu un médecin interrogé sur le fait que nous les Français ne nous faisions plus soigner depuis un certain temps. Dixit le médecin » nous avons besoin d’être rassurés pour retourner dans les cabinets médicaux ». Personnellement, j’aurai bien aimé que le journaliste tempère un peu ces propos ! Si je ne vais plus en rendez-vous en cabinet médical c’est tout simplement parce que les cabinets médicaux sont fermés et priorité est donnée aux personnes atteintes du COVID 19 et que tant qu’il n’y a pas urgence….. Mon cabinet d’ophtalmologie, celui de dermatologie, mon kinésithérapeute, etc. ont tous reporté les rendez-vous et sont fermés jusqu’au 11 mai ! Sincèrement, comment voulez-vous que je me fasse soigner ? Pour la petite histoire, mon rendez-vous du 27 mars 2020 en dermatologie, annulé pour cause de confinement a été reporté au 30 octobre ! Ce n’est pas un gag et je ne dois pas être la seule.
Je peux faire la même remarque à propos des concessionnaires automobiles qui se sont plaints sur vos antennes de la baisse des ventes de voitures de 80 % ! Incroyable ! Dans ma commune les concessionnaires automobiles ne font pas partie des commerces restés ouverts pendant le confinement, comment aurai-je pu aller essayer, commander et acheter une voiture dans ces conditions ? Et je ne vous parle pas du transport aérien, c’était évident avec l’arrêt de notre économie que ce secteur serait parmi les plus touchés : impossible de se déplacer en dehors des courses de première nécessité et de sortir à plus d’un Km de chez soi ! Comment puis-je prendre l’avion ?
Je suis franchement outrée de ces informations qui enfoncent des portes ouvertes. Je comprends bien qu’il est difficile de parler d’autre chose que du confinement ou du dé confinement, mais présenter les informations de cette façon, c’est nous prendre pour des « gogos » ou nous infantiliser. Nous avons tout le temps pour décortiquer les informations qui nous parviennent et nous comprenons très bien la situation. Croyez-vous franchement qu’une personne atteinte de cancer va arrêter son traitement par peur du COVID quand sa vie en dépend ? Pas celles de mon entourage en tout cas. Je n’ai pas l’espoir que mon message fasse changer quoi que ce soit à la façon dont sont présentées certaines informations, mais ce matin j’ai vraiment trouvé les commentaires « bébêtes » et j’ai décidé de vous en faire part. C’est fait. Je vous souhaite une bonne journée et merci d’être restés au travail. Vous êtes indispensables à l’une de nos ouvertures sur le monde, mais s’il-vous-plait, respectez notre capacité de compréhension de la complexité de notre monde.
La situation en Equateur
Dans le journal du 23 h, lundi 4 mai, vous avez fait état de la situation des pays d’Amérique Latine touchés par le Covid. Tous ont été cités sauf l’Equateur, où vit ma fille, et où la situation a été catastrophique,et l’est encore sans doute. Les informations sont peu accessibles pour le grand public… Est ce un oubli ou un manque de sources ?
Les antennes de Radio France pendant le confinement
Juste un court message qui est mon ressenti : fidèle à France Inter depuis…..je me demande comment sera votre antenne post COVID. Vos difficultés à mettre en place des contenus et de faire vivre vos émissions ont montré que vous étiez…très bons!
J’aimerai juste que, tous ces moments de flottements ( invités dont la ligne coupe, longs monologues….) soient une leçon pour la suite. Que le futur France Inter ne redevienne plus ce qu’il était avant le 17 mars , mais que ces moments d’écoute ,d’échange avec vos invités perdurent.
Il y avait une touche de naturel qui donnait vraiment de la vie à ces émissions confinées . Je m’aperçois que l’audio visuel avait fait table rase de ces moments de spontanéité pour ne nous faire voir et entendre qu’un produit aseptisé. Je regrette les 1ers Taratata où la musique faisait du bruit ( maintenant, nous sommes dans un studio et le résultat est…..plat) , j’ai aimé les impondérables comme ce matin ou Ali Rebeihi avait perdu son invité et que , spontanément presque manuellement il nous a posé un disque sur la platine: c’était vivant,…et c’etait bien, car le thème ce matin , était : comment sauver la culture face à la crise?
Alors: gardez ces moments longs où l’invité développe ses idées sans être coupé et où des dialogues virtuels s’étaient créés : courage, je vous soutiens!!
Merci à France Inter de me permettre de mieux apprécier France Musique, il ne leur manque que des tranches d’informations. En effet, depuis pas mal de temps votre radio est loin d’être au niveau que nous avons connu. Avec le confinement c’est encore pire avec votre radio où tout le monde peut s’épancher, râler,… et le « POMPOM » revient à paroles de confinés qui en plus de tranches dans la journée nous impose une heure supplémentaire en fin de semaine. Et là on peut ainsi entendre toutes les niaiseries qui n’intéressent certainement que ceux qui les envoient pour pouvoir dire » je suis passé à la radio ». Croyez vous que cela m’intéresse d’entendre tout cela !!Où est passé le slogan « France Inter écoutez la différence » il nous manque car « France Inter…Intervenez » est une calamité. Bien sûr, c’est de la radio qui ne coûte pas cher !!!
Auditrice de la matinale de France Culture, nous basculons sur le journal de France Inter a 7h, 7h30, 8h. Il serait agréable qu’un petit mot soit mentionné de la part des présentateurs pour accueillir ces auditeurs de France Culture, peut être d’autres radios du groupe, durant cette période où les efforts sont mutualisés. Pour l’heure, on a l’impression que Mr Demorand ainsi que les différents présentateurs des informations ne savent pas que de nombreux auditeurs les ont rejoints.
Le déconfinement étant confirmé pour le 11 mais par le Premier Ministre, les journaux de France Culture reprennent leur place sur l’antenne normalement.
Comment la présentation de la météo peut-elle être si déconnectée des enjeux environnementaux ? Utiliser un vocabulaire mélioratif pour annoncer l’absence de pluie ou des températures anormalement hautes pour la saison, c’est faire fi de la sécheresse et du réchauffement climatique. Utiliser le champ lexical de la tristesse pour annoncer un temps frais et des averses c’est aussi construire des représentations culturelles en inadéquation avec nos besoins naturels, dont vous vous rendez en partie responsable, notamment auprès des plus jeunes. Il est temps que cela change !
Malheureusement, j’entends encore une psychanalyste à la radio. Ils sont omniprésents sur cette antenne. Je rappelle que les psychanalystes n’ont pas forcément la moindre formation et donc compétence en psychologie. Ils énoncent leur avis personnel comme une généralité, mais ce ne sont bien souvent que des banalités (voir des bêtises puisque la psychanalyse est une vision complètement dépassée et pseudoscientifique).
Bonjour France Inter ou plutôt Paris Inter pendant ce confinement !……
Comment votre station, après l’entretien avec Mr Nicolas Hulot ce mercredi 6 mai dans la matinale, peut-elle transmettre dans la seconde qui suit cet échange, un flash de Pub d’une grande marque de meuble suédois ????
France inter, et c’est tout à son honneur analyse que notre monde doit changer, que nos modes de vie doivent changer, que nos habitudes de consommation doivent changer…………alors France Inter CHANGER !
Et ne répondez pas qu’un contrat de diffusion se doit d’être respecté, il peut être annulé. N’oubliez pas que votre station est celle de tous.
Paroles de personnes handicapées
Je travaille en établissement médico-social et pendant toute la durée du confinement, les médias dans l’ensemble n’ont quasiment pas parlé la situation des personnes handicapées et de tout le travail mis en place pour protéger et éviter la circulation du virus dans ces structures. Les services d’internat notamment sont les lieux d’habitations principaux de ces personnes. Je me tiens à votre disposition pour échanger et pourquoi pas vous accueillir dans notre établissement (après accord de ma direction).
Handicap oubliés mediatique de la crise covid
Je suis mère d’un enfant autiste sévère qui en temps de crise sanitaire n’est plus accueilli en établissement éducatif. Je trouve extrêmement choquant l’oubli du handicap et des situations très complexe créés par le confinement que ce soit au niveau politique, sanitaire, médiatique. Edouard Philippe lors de son discours a l’assemblée, a totalement oublié de parler de 6 % de la population qui attend impatiemment de connaître son sort le 11 mai. Les français et journalistes semblent plus préoccupés de savoir s’ils vont pouvoir aller chez le coiffeur ou partir en vacances cet été que de connaître le sort des plus vulnérables. C’est scandaleux et conforte le sentiment que nous avions déjà que les personnes en situation de handicap sont des citoyens de dernière classe dont le sort ne mérite même plus qu’il soit traité par quelque décision ou info que ce soit. Merci de relayer ce constat et cette « doléance » auprès de vos différents collaborateurs.
J’ai beaucoup écouté France Inter depuis le début du confinement. Dans l’abondance de témoignages et de reportages diffusés à juste titre sur cette période difficile, j’ai été surpris de si peu entendre la parole des personnes concernées par le handicap. Pourquoi ? J’ai regardé la liste des programmes concernant le sujet sur le site de France Inter afin de vérifier ce qui avait pu m’échapper. Si je me fie à cette liste, il n’y a que 30 minutes d’émission depuis le début du confinement, et un article : – Le Téléphone sonne le 5 avril (que j’ai alors écouté). 26mn – Barbatrucs le 7 avril. 2mn – Grand Angle le 13 avril. 2mn – Et l’article de Jérôme Val. C’est terriblement peu. Merci
Bonjour à France Inter et merci pour vos émissions.
C’est le 3ème message que j’envoie à France Inter pour faire remarquer que l’on ne parle jamais des personnes handicapées depuis le début de cette crise sanitaire et ce confinement. C’est une population qui recouvre une foultitude de problèmes selon de type de handicap, l’environnement, travail ou non travail, dans quel endroit, plus les violences faites aux femmes handicapées, aux enfants dans les institutions etc.
J’ai une fille adulte qui travaille en ESAT et qui es très angoissée car il y a très peu d’infos sur une éventuelle reprise du travail, quand et sous quelles conditions ? Ce sont souvent des personnes ayant plusieurs pathologies donc très fragiles et le secrétariat d’Etat aux handicapés brille par son absence. Aucun article dans les journaux, aucune émission de radio ou de télévision. Comment explique-t-on un pareil abandon ? Il est sans doute tout simplement identique à ce qui se passe le restant de l’année. Si quelqu’un dans votre station voulait bien se pencher un peu sur la question, ce serait assez honorable. Merci de ce que vous pourrait faire.
Des reportages sur le sujet :
Sur le site de France Bleu, retrouvez une série d’articles sur le quotidien des enfants et adultes en situation de handicap.
Sur France Culture dans l’émission « Hashtag », la journaliste Anne-Laure Jumet s’est entretenue avec des personnes handicapées.
Sur France Inter, le journaliste Jérôme Val a réalisé un reportage au foyer médicalisé de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), un foyer d’accueil pour personnes handicapées.
Dans le 7/9 de France Inter du lundi 4 mai, Michaël Jeremiasz, quadruple champion olympique de tennis en fauteuil, a évoqué au micro de Léa Salamé la situation des personnes en situation de handicap.