Pourquoi consacrez-vous beaucoup + de temps aux grévistes qu’aux gens qui travaillent et qui sont impactés par les grèves ?
Et pourquoi ceux qui sont d’accord (même partiellement )avec les réformes à mes yeux nécessaires, ne vous intéressent pas ?
Avez-vous conscience du nombre de grévistes par rapport à la population ?
Lorsque vous donnez le nombre de manifestants, pourquoi donner en 1er le chiffre des syndicats, puis celui du gouvernement, puis celui du groupe indépendant ?
Avez-vous un parti pris pro-syndicats ou bien est-ce pour faire du buzz ?
Faites attention car les français commencent à s’en apercevoir !
Merci pour l’écoute. (Franceinfo)
Fidèle auditrice de la chaîne je suis gênée par le traitement complaisant de l’ensemble des émissions vis-à-vis des grévistes de la Sncf et de la Ratp: parole donnée essentiellement aux thèses des grévistes, les personnes gênées interviewées (utilisateurs des transports, commerçants etc) terminent toujours leurs interventions en disant qu’ils comprennent les grévistes. Je doute que cela traduise l’avis du grand public. Il serait indispensable de donner la parole aussi à ceux qui pensent que cette grève bloque les plus démunis au profit de grévistes qui veulent partir en retraite 6 ans avant tous les autres salariés (avantage payé par les autres salariés moins bien lotis) alors que dans la plupart du temps ils ont des emplois de bureau normaux. On peut comprendre la pénibilité pas la défense des intérêts particuliers prenant en otage les autres salariés.
Encore ce matin à 10h l’interview d’un conducteur de bus.
Je ne suis pas contre que vous leur donniez la parole, mais vous ne donnez pas la parole à ceux qu’ils ennuient (et je suis poli) au quotidien : ceux qui se lèvent très tôt pour pouvoir assurer leur travail et qui n’ont pas la possibilité de télétravailler. Ces gens qui souffrent de cette grève de privilégiés et qui eux n’ont droit à rien et ont des salaires de misère. La CGT ne s’intéresse pas à ces petits salariés.
De même rien sur les entreprises industrielles qui ne reçoivent plus leur matière première et dont les usines tournent au ralenti ou sont à l’arrêt et ont dû déclaré force majeure. Ces entreprises vont perdre leurs ventes, leurs clients. La CGT s’en moque de toute façon ce syndicat se moque de tout.
Il est bien sûr plus facile pour vos journalistes de rester sur Paris et de faire le tour des piquets de grève que de se déplacer pour rencontrer des vrai gens et des entreprises.
Tant que ce bazar continu, je n’écoute plus vos flash information car ça m’énerve d’entendre toujours la même chose. Heureusement il reste vos émissions.
Serait-il possible, s’il vous plaît, plutôt que de faire entendre toujours les mêmes personnes (quasi-exclusivement, grévistes et syndicalistes) de faire entendre un peu plus les victimes de ces grèves ? Il y a notamment une catégorie de la population dont on ne parle jamais et qui souffre tout particulièrement des grèves dans les transports : les personnes en situation de handicap.
Comment peuvent faire des personnes, déficientes visuelles par exemple, qui, par définition, ne peuvent pas conduire et n’ont plus accès que très partiellement aux transports en commun, en particulier pour se rendre à leur travail ? Tout le monde n’a pas les moyens de se payer des taxis ou des VTC et tout le monde n’a pas forcément un proche ou un ami compatissant disposant des moyens d’aider !
Or, je n’ai, pour ma part, jamais entendu ce sujet évoqué sur vos ondes, notamment sur France Info. Bien-sûr, vous me direz qu’il s’agit d’une minorité que tout le monde considère comme « invisible » et qui n’a pas l’oreille des médias. Mais si l’on est là, s’il faut être suffisamment représentatif pour se faire entendre notamment dans les médias, où va la France ? Faudra-t-il hurler plus fort que les syndicats (ce qui semble bien difficile aujourd’hui) et brailler pour se faire entendre ? C’est franchement regrettable et n’est guère rassurant pour l’avenir.
Je tiens à préciser que j’adore écouter France Info.
Ce que j’entends surtout sur votre antenne ce sont les anti réformes des retraites!
Vous avez fait grève et je respecte votre avis J’aurais espéré que ceux qui sont POUR cette réforme auront une voix, ce qui ne semble pas le cas à l’heure actuelle.
Les radios du service public sondent régulièrement l’opinion sur le « soutien » à la grève des transports. Ce soutien est souvent additionné à la « sympathie » pour la grève.
Il se trouve que la grève gêne plus que proportionnellement les Franciliens , qui ont des trajets plus longs pour aller travailler que la moyenne des Français. Avec la répétition de ces sondages fait par Radio France , ne serait-il pas possible d’isoler le sous-groupe de répondants franciliens , dont il serait intéressant de savoir s’ils soutiennent la grève plus ou moins que les autres Français?
Merci de transmettre cette demande d’information, que je ne sais à qui envoyer, dont la réponse pourrait éclairer la compréhension du sujet par les auditeurs du service « public ».
Depuis le début de la grève, France Inter ne donne quasiment pas la parole aux personnes qui sont contre ce mouvement. Je ne parle pas des personnalités politiques, mais, lors des micros-trottoirs, presque jamais un journaliste ne trouvera quelqu’un opposé à la grève.
Une dame se lève à 3h du matin pour pouvoir aller travailler, mais elle soutient la grève ! Un autre est bloqué pendant des heures dans les embouteillages, mais il soutient la grève ! Dans les émissions comme le Téléphone sonne, les interventions des auditeurs sont soigneusement choisies pour aller dans le même sens. Et, quand on entend une rare personne qui est opposée à la grève, son message est tellement caricatural qu’il en devient ridicule (même procédé très discutable utilisé par l' »humoriste » Meurice).
J’aimerais bien entendre, par exemple, les témoignages de conducteurs SNCF ou RATP qui ont décidé de ne pas faire grève, et pas uniquement pour des raisons financières… Serait-ce trop dangereux pour eux de témoigner en ce sens ? Ou est-ce un non-sujet pour les journalistes de France Inter ?
Pourquoi tous ces reportages complaisants pour, par exemple, une manifestation qui, samedi dernier, n’a rassemblé qu’environ 3000 personnes à Paris ? Est-ce que toutes les manifs qui réunissent 3000 personnes sont traités de la même façon ? J’en doute.
Et ne parlons pas du traitement de la grève propre à Radio France : sujet sur une pétition soutenant les grévistes (moins de 2% du personnel, non ?) dans un journal plus que raccourci, sujet sur un concert improvisé de l’orchestre de Radio France pour soutenir la grève…
France Inter, et Radio France en général, ne doivent-ils pas s’adresser à tout le monde, et même à ceux qui sont opposés à ces mouvements ?
Dans votre journal, vous donnez la parole à une manifestante contre la réforme des retraites qui ne connait rien au sujet, qui dit n’importe quoi et qui enchaîne les contre-vérités les plus criantes ! Vous rendez-vous compte que vous faites là de la désinformation massive en laissant entendre aux auditeurs des choses fausses. Parler d’une manifestation est une chose, donner la parole à des représentants syndicaux, face à un journaliste qui peut éventuellement rétablir les faits (quand c’est nécessaire) en est une autre, mais là, je suis sidéré de la désinvolture et du travail de sape auquel vous participez en laissant un micro ouvert à n’importe qui et n’importe comment !
Je tenais simplement à vous exprimer mon dégoût face à la façon dont vous traitez l’actualité liée aux grèves. Il ne s’agit que d’une propagande inacceptable…sans la moindre place aux opinions contraires. C’est la première fois que j’écris pour faire part de mes sentiments à une chaîne… Mais vous dépassez les bornes…
Pourquoi Franceinfo donne -t-il exclusivement–par exemple lors des « micros-trottoirs » dans les gares ou dans la rue –la parole aux soutiens des grévistes de la SNCF et de la RATP, et aux portes paroles des grévistes ? Jamais on entend les voix contre qui sont nombreuses et ont des arguments solides qui ne sont JAMAIS entendus à l’antenne : pourquoi ?
Par exemple vos interviewer laissent répandre au micro par les portes parole des grévistes l’argument selon lequel ils « se battent pour tout le monde » alors que chacun sait qu’ils se battent pour conserver leurs avantages,aujourd’hui injustifiés pour la plupart, et surtout iniques quant aux âges de départ et au mode de calcul (sur dernier semestre , soit 1/50 ème du temps de calcul du privé, taux de remplacement très élevé de 75 %, âge de départ à 57 ans pour les sédentaires, durée d’assurance exigée très inférieure à celle du régime général des autres salariés et surtout ceux du privé, avantages en nature pour les retraités etc…).Tout cela financé à hauteur de 3,9 milliards (chiffres cour des comptes 2017) par les finances publiques pour RATP et SNCF réunies !! Pourquoi les auditeurs n’entendent-ils JAMAIS ces faits et chiffres sur l’antenne de France Info ? Parce que Radio France compte aussi des grévistes ? Qui trusteraient la diffusion de « l’information » ? Et soutiendraient ainsi indirectement leur propre mouvement ?
L’image ainsi reflétée c’est que personne n’est contre cette grève ! Il s’agit là d’une orientation systématique voire d’une manipulation de l’opinion, absolument insupportable.
Je suis tout à fait prêt à être interviewé et vous entendrez alors calmement ces arguments contre , chiffres OFFICIELS ET INCONTESTABLES à l’appui
Je sais pour vous avoir entendue il y a 10 jours en compagnie du responsable de la rédaction à qui vous avez répercuté la question (un samedi en début d’après midi me semble-t-il) que vous avez été déjà questionnée à ce sujet : mais malgré ses « engagements « , au demeurant très vagues, rien n’a changé : jouerait-il un double jeu ? [un seule et unique fois j’ai entendu,5 jours après l’entretien susvisé, un voyageuse dire que » cette réforme des retraites est pleinement justifiée… »]
Je vous remercie de votre attention et espère que cette fois le traitement de l’information changera radicalement
Ce dimanche 29 décembre j’ai entendu un compte rendu sur des grévistes qui distribuaient des tracts dans une gare pour expliquer leur mouvement. Une usagère disait que malgré les désagréments elle les soutenaient puis un ingénieur à la retraite râlait disant que les grévistes défendaient juste leurs intérêts. Le gréviste reprenait la parole disant que l’ingénieur râlait parce qu’il était à la retraite et n’avait plus à s’en faire. On pourrait retourner l’argument et dire qu’un retraité soutient le mouvement parce qu’il n’est pas gêné par la grève pour aller travailler. J’ai 56 ans. Je ne suis pas à la retraite et je ne soutiens pas la grève. Tout d’abord si je désire une retraite à taux plein je devrai travailler jusqu’à 67 ans. Je suis enseignante et j’ai fait des études assez longues. Par ailleurs depuis le 5 décembre je fais 8,4 kms à pied à raison de 4 fois par semaine. Je suis contente d’être en vacances pour ne plus me taper cette galère. Et je pense à ceux qui continuent à galérer. Pour finir je ne soutiens pas la grève car je pense que les grévistes défendent leurs avantages en prétendant défendre ceux de tout le monde.
Merci de donner davantage la parole à des personnes comme moi et de ne pas livrer une vision caricaturale de ce mouvement de grèves et de ses conséquences.
Franceinfo est totalement subjective dans le traitement du dossier de la réforme des retraites. Cette radio ne montre que la partie hostile à la réforme sans faire état de tous ceux qui souhaitent que la réforme aille à son terme.
Elle le fait par facilité car il est difficile de donner la parole à ceux qui ne se manifestent pas. Les journalistes agissent un peu comme la personne qui recherche ses clés sous le réverbère parce que c’est là qu’il y a de la lumière.
Elle le fait également par opportunisme car il vaut mieux aller dans le sens des râleurs plus audibles que les autres, pour ne pas risquer de passer pour une radio hostile au peuple.
Mais en ne présentant que les arguments d’une seule branche de l’opinion, avec toute la sympathie d’un peuple qui lutte contre un oppresseur imaginaire, on se situe plus du côté du journalisme d’opinion que de celui d’investigation.
Que dirait-on pendant une campagne électorale d’une radio qui ne donnerait la parole qu’à un seul candidat ? C’est pourtant ce que fait France info avec l’actualité de la réforme sur la retraite et les manifestations.
Pour finir, je dois vous dire que je suis de gauche, petit fonctionnaire de catégorie B et non un horrible réactionnaire, que je considère l’intérêt général plus important que tous les égoïsmes qui se manifestent actuellement dans la rue.
Je trouve franchement flagrant le parti pris de nombreux articles et émissions en faveur de la grève. Franceinfo donne ainsi la parole à un économiste opposé à la réforme sans préciser son obédience politique et en omettant de signaler qu’il s’agit d’un ancien syndicaliste. Pourquoi à ce compte-là ne pas aussi donner le même temps de parole à un économiste favorable à cette réforme des retraites. En ne donnant que cette vision partiale voire militante vous ne faites certainement pas oeuvre de journaliste.
Je suis une fidèle de Franceinfo et me désole de l’impression de parti-pris que vous donnez à l’occasion de la grève en cours.
Vous ne parlez que des grévistes et de leur cause. Nous n’entendons jamais ceux qui sont contre … comment est-ce possible ?
Dès que je discute de ce sujet, je ne rencontre que des gens qui sont CONTRE la grève ! Où sont-ils sur vos antennes ?
Vous contribuez à alimenter des polémiques qui ne devraient pas en être (est-ce juste que certains partent en retraite des années avant d’autres ?). Cela donne l’impression que le seul but est la polémique qui divise.
Je suis désolée de voir que vous contribuez à la polarisation de la société française … avec au passage un rejet en bloc des médias. Vous valez mieux que cela je pense.
Est-ce un effet de bord de la grève à Radio France ? Je trouve que les journalistes de France Info penchent plutôt vers les grévistes; parmi beaucoup d’exemples, entendu ce matin :
« après 23 jours de grève, les salaires des grévistes vont être à zéro. Heureusement, les syndicats ont des caisses de solidarité … »
Est-il un signe d’objectivité ?
Radio France, notamment France info, se targue d’être une radio qui se veut neutre, de façon à informer les auditeurs de façon objective et à leur permettre de forger leur propre opinion. Or, pendant la période de grève contre la réforme des retraites en cours, je voudrais savoir quelles ont été les durées d’antenne respectivement consacrées d’une part aux partisans de la réforme, d’autre part aux opposants. Je n’écoute naturellement pas la radio en permanence mais, pendant les périodes écoutées, j’ai constaté que la parole n’était quasiment donnée qu’aux opposants à 100 %.
Un score digne de la radio officielle d’une dictature !
Bravo ! pourquoi ne penseriez-vous pas à embaucher un jour de vrais journalistes, conscients de leur devoir d’objectivité et de neutralité ?
Depuis le début de la grève des cheminots vous parlez des trains qui roulent …ou plutôt ceux qui desservent Paris et relient les grandes villes entre elles (en indiquant sanas trop savoir sans doute, que tous les jours en « province » des travailleurs utilisent les lignes secondaires). L’ex président de la SNCF indiquait que 90% des usagers utilisent des liaisons du type TER et méritent notre respect. Serait-ce trop demander que d’informer sur leur circulation en cette période de grève. Pour prendre l’exemple d’aujourd’hui il n’y en avait que pour le TGV. Accessoirement les « franciliens » et la RATP. Je vous remercie de votre attention.
Je souhaite vous faire part de ma gène sur le traitement de ce sujet dans vos informations depuis des semaines.
Pourquoi est-il si rare d’avoir des gens autre que les fonctionnaires de la SNCF et RATP (des commerçants, des artisans, professions libérales, travailleurs du privé donner leur avis sur les grèves ?
A écouter vos informations, vous faites franchement la part trop belle à ceux qui montrent une grande colère contre cette réforme, qui à vous suivre semblent représenter 90% de la population.
Or nous sommes nombreux (certes trop silencieux) qui considérons que l’universalité de la réforme des retraites n’est pas un gros mot. Beaucoup des personnes avec qui je discute de cette réforme (certes ils ne sont pas nombreux à être fonctionnaires ) souhaitent cette réforme. Car nous sommes nombreux à être conscient que nos impôts servent déjà beaucoup à financer de nombreux régime déficitaire qui bénéficient d’avantages que le monde du privé (majoritaire) ne comprennent plus.
La garantie de l’emploi est déjà un atout tellement important dans la vie professionnel d’aujourd’hui, pourquoi rajouter une retraite calculée sur les 6 derniers mois et un départ anticipé par rapports à des travailleurs du privé même pour ceux qui ont des métiers à très forte pénibilité ?
Vous ne jouez pas votre rôle d’information non partisane en allant pas interroger ces gens-là. S’il vous plait Incitez à la réflexion en interrogeant plus des économistes ou des journalistes spécialisés dans le domaine plutôt que d’attiser le feu en relayant trop souvent les discours les plus dénués de réflexions.
Vos informations ne semblent plus refléter la pluralité des avis de ce pays .
Votre rôle de journaliste devrait être de nous aider à éclaircir les points de la réforme concernant toutes les couches de la société et nous dire ce que cela va changer pour eux.
Mais ce qui me semble de votre devoir, c’est que toutes les minutes qui sont aujourd’hui consacrées chaque jours à compter les grévistes, les temps de trajet ou les km de bouchon sur Paris (toute la France n’habite pas à Paris) soient plutôt consacrées à expliquer et à informer les gens en les tirant vers le haut et en expliquant en profondeur cette réforme.
Les Français ont voté pour un gouvernement qui a annoncé cette réforme, si tous les tenants et aboutissants étaient mieux expliqué les gens feraient leur opinions (pour ou contre) sur des raisons plus réalistes.
Comment ne pas comprendre que pour de simples raisons démographiques et mathématiques qu’un système mis au point il y a plus de 50 ans a sans doute besoin d’être réformé si l’on veut le sauvegarder pour les enjeux du futur.
Les choix fait dans beaucoup d’autres pays (scandinave notamment) montrent bien qu’il existe d’autres options pour traiter le problème des retraites que celles prônées par (CGT,FO…) vraiment trop omniprésente dans vos journaux.
Notre pays dès qu’il touche à certaines catégories (très minoritaire mais très facilement mobilisable pour faire action de chantage) est systématiquement bloqué pour éviter à quelques milliers de personnes ( les roulants de la SNCF notamment) de perdre des avantages qui ne se justifient plus et que nous n’avons plus envie de financer. Accepter d’être tous traité de la même manière réduirait cette inimitié grandissante du privé contre le public.
La vie d’un ouvrier du bâtiment bien plus pénible aujourd’hui que celle d’un conducteur de la RATP ou de la SNCF et il me semble venu le moment de faire savoir à cette catégorie professionnelle qu’elle n’a pas un des métiers les plus difficile du monde.
Leurs « sacrifices » ou peut être juste leur bonne foi (lorsqu’ils disent se battre pour le privé) aideraient à financer les retraites des commerçants et artisans qui sont mal traités depuis des années.
Je peux en parler à l’aise car n’étant moi même ni commerçant ni artisans je ne défends pas mes propres intérêts mais je souhaite plus de justice social (cela commence aussi par ce genre de réforme).
Cette petite minorité a déjà un tel pouvoir de nuisance et n’a pas besoin que vous lui accordiez en plus une tribune disproportionnée par rapport à leur représentation dans la population Française.
Mon père est retraité de la SNCF et lui-même reconnait qu’il a eu beaucoup de chance d’avoir un régime favorable qui lui fait profiter depuis plus de 30 ans de sa retraite mais jamais il ne descendrait dans la rue pour trouver inadmissible de diminuer un peu de cet avantage devenu déraisonnable et déséquilibré aujourd’hui.
merci d’avance de la possibilité de nous exprimer et de puiser dans ces idées pour améliorer notre information.
Je me demande pourquoi vous parlez si peu du droit qu’on les gens de travailler, de se déplacer, dans un pays démocratique, et aussi des paysans qui ne font pas gréve, parce que pour eux ce serait super d’avoir 1000€ par mois…peut être faudrait il faire une loi sur le droit au travail et à bouger librement…? ça devient cornélien de vivre en France, je pense à tous ces gens qui sont obligés de fermer leur commerce et tirer leur révérence, car eux ils perdent leur travail, alors que ceux qui mènent la gréve sont sûrs de le retrouver! je trouve que l’information n’est pas complète et est toujours « en faveur » des grévistes…
Le traitement du mouvement contre les retraites confine à la caricature dans une partialité qui pose un très sérieux problème quant au respect des règles déontologiques élémentaires par une radio qui a manifestement oublié ses obligations de service public. Les réponses déjà données par les responsables de l’information sur ce point ne sauraient convaincre tant l’expression de ceux qui par exemple approuvent la réforme, amendée de dispositions négociées est très significativement occultée, ignorée. Il ne peut être accepté que l’information sur ce point se limite à servir de courroie de transmission aux positionnements des seuls opposants.
Sur toutes vos chaines, vous ne passez que des interviews des salariés de la SNCF et de la RATP syndiqués et en grève. Pourquoi n’y a -t-il pas autant d’expressions des salariés qui aujourd’hui travaillent et surement plus que d’habitude pour compenser l’absence de leurs collègues.
Il me semble que, surtout sur un service public, toutes les avis devraient être présentés aux auditeurs!
Combien de temps encore allez-vous donner l’impression d’être de parti-pris en faveur de ces grèves irresponsables concernant la réforme des retraites ? En n’interviewant quasi-exclusivement que des représentants syndicaux et en leur laissant dire n’importe quoi à longueur d’émissions, vous ne faites que jeter de l’huile sur le feu.
Peut-être feriez-vous mieux de parler un peu plus des conséquences néfastes pour tout le monde de ces grèves (entreprises et économie du tourisme fonctionnant au ralenti, hausse des licenciements économiques, augmentation de la pollution liée à la hausse de l’usage de la voiture) ?
Peut-être aussi feriez-vous bien de remettre un peu plus en cause le discours des syndicats. Quand on entend dire que ceux-ci se battent pour tous les Français, pardon, mais on croit rêver.
Les syndicats, CGT et Sud-Rail en tête, ne font que défendre les petits avantages injustifiés de certains et provoquer, en conséquence et de manière totalement irresponsable, de véritables catastrophes pour l’économie du pays, l’emploi et, autant le dire, l’image que nous donnons à l’étranger.
Enfin, le pompon est d’entendre, sur vos antennes, dire par les représentants syndicaux que les désordres sont de la responsabilité du gouvernement. Comment pouvez-vous laisser dire des âneries pareilles sans laisser entendre la moindre réponse ?
Tout le monde ne défend pas ces grèves notamment parce que beaucoup de gens en pâtissent, contrairement à ce que vous faites dire aux chiffres invérifiables donnés par Pierre, Paul ou Jacques. Alors, il serait enfin bon de donner un peu plus la parole à celles et ceux qui ne sont pas d’accord avec ces grèves et dont l’opinion pourrait être intéressante à entendre.
J’ai été extrêmement surpris d’entendre le reportage effectué la semaine dernière en gare Montparnasse le matin, où, étonnement, tous les usagers interviewés prenaient avec sourire leur galère et semblaient détendus. Personne en colère ou frustré de ne pas pouvoir prendre le train. Je peux vous dire que ce n’est pas vraiment la réalité.La déontologie journalistique fait-elle défaut dans le service public ?
Les journalistes de radio France , ceux de Franceinfo en particulier , font ouvertement cause commune avec les grévistes , avec un traitement des plus privilégiés pour la CGT . Mesurez combien de grévistes ont eu la parole et comparez avec les non grévistes . une infime minorité capte toute l’attention au mépris de la déontologie la plus basique . Je vote une motion de défiance à toute les rédactions de Radio France.
Je suis scandalisé par le traitement de l’information sur les grèves fait par France Info mais aussi par France 2 notamment. Les français sont en majorité opposés aux statuts privilégiés des la SNCF et de la RATP mais vous semblez l’ignorer en interviewant que des opposants au régime. Les stations publiques sont -elles aux mains de la CGT ?
Pas trop de nuance dans le compte rendu des grèves à la sncf …on a l’impression que personne ne râle contre les grévistes et que le soutien est maximum tout cela n’est pas très équilibré …faites le comptage des différents avis diffusé ces derniers jours …
Je suis outrée de votre traitement de l’information sur l’opinion des usagers SNCF concernant les grèves. Deux personnes sont interrogées en gare de Toulouse qui comprennent ce mouvement de grève. Vous allez même jusqu’à affirmer que Macron aurait dû lâcher un peu de lest et que la situation actuelle lui est due! Mais combien d’interviews ont été faites pour affirmer ceci ? Une centaine ? Plus ? Vous n’êtes pas représentatifs de l’état d’esprit des Français qui n’en peuvent plus de l’incompétence de la SNCF retards quasi systématiques) et des privilèges séculaires incohérents de leurs employés. La situation des usagers est le plus souvent dramatique en cette période de fêtes et de retrouvailles familiales.
Faites une grande enquête de fond, interrogez des milliers d’usagers sur une longue durée dans toute le France. ( le journal Elle a publié cet été un excellent reportage drôle et documenté sur les dysfonctionnements du rail français)
J’ai l’impression que vous devenez une radio populiste, cela m’attriste grandement, j’écoute habituellement France Culture, je bascule sur votre antenne en période de grève et suis bien déçue. C’est comme si vous ressentiez de la culpabilité d’avoir une position sociale élevée et une vie privilégiée dans le centre de la capitale, vous vous sentez obligés d’embrasser la cause des petits fonctionnaires. (idem pour le traitement des gilets jaunes)
Bref, j’aurais apprécié que vous diffusiez également l’interview d’une personne désespérée. (petite mamie ou mère de famille qui voyage avec un bébé)
Je viens d’écouter les infos de 8 h et j’ai été révoltée d’entendre le reportage sur la grève des cheminots à BORDEAUX.
Je suis dans le Finistère et les personnes qui m’entourent sont à l’opposé total du discours tenu.
Franchement, les médias vous ne nous donnez plus envie de vous écouter.
Je préfère aller marchez dans la campagne même sous la pluie !
Ce message s’adresse à la rédaction de France Info. J’écoute très régulièrement votre radio, et je trouve que ces derniers temps, la partialité avec laquelle vous traiter l’information sur les grèves de la réforme des retraites est de plus en plus visible. Votre statut de radio publique vous impose une impartialité la plus totale dans le traitement de l’information. Que ce soit dans les questions que posent vos journalistes aux interviewés ou que ce soit dans les commentaires que vous en fait, Faites s’il vous plaît un effort d’objectivité dans un sens comme dans l’autre. Je vous remercie par avance de l’attention que vous porterez à ce courrier.
Quand allez-vous donner la parole aux non grévistes , très majoritaires, et aux Français qui ne s’opposent pas à la réforme ? vous ne faites pas de l’information mais du trafic d’influence !
J’écoute quotidiennement France Info et je vous contacte car je constate un réel parti pris de votre antenne en faveur des grèves actuelles. Une bonne partie de vos effectifs fait régulièrement grève ce qui explique sûrement cela. Je trouve cela inacceptable qu’une radio comme la vôtre, qui a vocation de faire part de l’actualité et qui se doit d’être d’une impartialité modèle, penche autant d’un côté d’un débat qui pourtant divise les Français. Et cette part tend à diminuer, si l’on se fie à un ensemble de sondages et non pas à une ou deux sources bien choisies, compte tenu du ras le bol d’une majorité de citoyen innocents subissant les agressions quotidiennes de grévistes extrémistes. A chaque fois vous donnez la parole à des représentants de syndicats ou à des syndiqués pour donner leurs avis et réagir à chaud, les quelques personnes que vous interviewez sont visiblement bien sélectionnées et en faveur du mouvement. C’est inacceptable. Pourtant, il y a bien des dizaines de millions de Français qui, quotidiennement, subissent de plein fouet les conséquences de mouvements pourtant à l’initiative de minorités. De nos jours, ce que nous observons ne tient absolument plus de la « grève » mais d’une véritable attaque envers la liberté d’autrui. Qu’une minorité ait le pouvoir de bloquer un pays pour faire valoir ses propres revendications est inadmissible et vous paraissez encourager cela en excitant encore plus une audience qui manque sérieusement de discernement. Ces minorités on injustement usées de ce petit pouvoir pour, au fil des décennies, obtenir les faveurs de politiques qui, eux-mêmes, n’avaient d’autres ambitions qu’une potentielle réélection. C’est pourquoi le système actuel est intenable à court / moyen terme. Bref, je ne vais pas rentrer moi-même dans le débat mais s’il vous plait, donnez la parole à des personnes des deux bords. Il en va de votre crédibilité et du sérieux de votre rédaction. Les commerçants, les travailleurs qui luttent pour pouvoir rejoindre leurs lieux de travail, les petites entreprises, ce sont eux qui font tourner l’économie Française. Et vous ne leurs donnez pas la parole.
Depuis trois semaines, je subis comme des milliers de personnes à Paris et en Ile de France, les grèves des transports. Je vais à pied au travail, ce qui ne me dérange pas. Mais je ne peux pas programmer ma semaine, prendre des rendez-vous pour les mineurs isolés que j’accompagne au quotidien. Je suis éducatrice spécialisée depuis 35 ans, j’aime passionnément mon travail. Et je n’ai jamais commencé ma carrière en pensant à la fin de celle-ci. Mais ce n’est pas sur la retraite que je veux intervenir. Mais bien sur la grève. Depuis trois semaines, les médias ne parlent que de trois ou quatre catégories professionnelles : la SNCF, la RATP, les enseignants. Rien des autres corps de métiers, dont la pénibilité est passée sous silence, et qui surtout n’ont pas les moyens de bloquer un pays. Je trouve cela affligeant et injuste. Le message qui est relayé est que les grévistes se battent pour tous les travailleurs de France et de Navarre. Faux, ils se battent pour conserver leurs pré-requis un point c’est tout. Les médias parlent des 50% des français qui soutiennent la grève, mais jamais des 50 autres % qui ne la soutiennent pas, qui triment depuis 3 semaines pour aller gagner leur salaire, car pas de cagnotte pour eux. A-t-on vu ou entendu des cheminots, des enseignants se mobiliser pour les agriculteurs, pour les ouvriers des usines, pour les travailleurs sociaux, et pour toutes les catégories professionnelles qui sont la diversité de notre économie? Donnez la parole à ceux qu’on n’entend pas.
Au fil des semaines j’ai fini par me convaincre qu’il y avait bien un biais dans votre couverture sur la réforme des retraites. Je ne lui trouve pas que des aspects positifs mais pour faire court je trouve qu’il y a suffisamment de gagnants pour avancer et éviter l’immobilisme. Les sondages montrent que je ne suis pas le seul à penser ainsi.
Par contre votre couverture ne reflète pas cette diversité d’opinions. Vous devriez respecter la proportion des avis dans la population. Or c’est loin d’être le cas. Faites un pointage des interventions sur vos antennes. En tant que radio nationale vous devriez être spécialement vigilants sur ce point.
Juste un commentaire sur le traitement des grèves ratp-sncf
je trouve que l’on interroge et donne la parole sans cesse aux syndicalistes et aux grévistes, et très peu aux pauvres (dans tous les sens du terme.. ) franciliens qui galèrent pour se rendre à leur travail, souvent pour des salaires bien faibles. On a vraiment l’impression qu’il n’y a aucune opposition à cette grève parmi les « travailleurs », ce qui n’est vraiment pas le cas .. je connais pas mal de gens qui en ont vraiment assez…
peut-être faudrait-il donner un peu la parole à ces invisibles ?
***
Le chroniqueur actuellement à l’antenne vient de présenter la grève et les grévistes comme des gens défendant leur droits et surtout l’avenir de leurs enfants : quand ceux-ci vont être en situation de devoir payer les droits « acquis » par leurs parents au nom de leur avenir je serais curieux de voir leur têtes mais continuons comme ça. » Amusons nous folle ville »
L’audience supposée de la station m’incite à réagir devant ces assertions présentées comme des vérités absolues hors tout contexte économique comme si nous français étions le nombril du monde et le fait que ce soit l’expression d’une opinion ne réduit pas pour moi son caractère choquant ni son audience
J’ai quitté France Inter pour son « politiquement correct » parfois irrespirable et j’ai rejoint depuis plusieurs années France Culture dont je me félicité de la qualité globale de ses programmes. Toutefois je reste parfois choqué par son traitement de l’information. On peut tout à fait écouter un point de vue « anti-libéral » et on comprend d’ailleurs que cette orientation est assez bien partagée au sein de cette radio. Mais ça devient problématique quand d’autres points de vue peinent à trouver leur place alors que France Culture est par nature la radio de tous les Français.
Refléter le point de vue de quelques centaines ou milliers de grévistes de la RATP sans donner voix aux centaines de milliers ou millions de Français qui galèrent pour simplement aller travailler ou se déplacer est assez insupportable à entendre. Donner plusieurs fois la parole à des historiens quand même assez « idéologues » comme Gérard Noiriel (alors que la France n’en manque pas) ne fait pas justice à l’équilibre et à la distance qu’on doit attendre de France Culture. Respectons mieux la diversité des auditeurs et des opinions. C’est ce qui manque un peu depuis que je vous écoute et je trouve cela assez irritant et même dommageable.
Je voudrais ce jour, vous faire part de la lassitude d’une majorité de la population de Province face à un mouvement qui s’éternise et par rapport à une surmédiatisation de votre part (je ne parle même pas des chaînes de télévision d’info) d’un conflit (je parle de la grève pas des retraites) qui ne le concerne pas.
Déjà pendant un an chaque samedi et chaque dimanche il a fallu dans chaque journal, dans chaque flash horaire subir le point des manifestations et des dégradations.
Là depuis le 5 décembre ça a recommencé avec les grèves qui concernent presque exclusivement la région Ile de France (je sais c’est important, en 1995 pendant trois semaines je me suis tapé Pont de Bercy – la Chapelle à Pieds).
Vous ne regardez pas ce qui se passe en province : il y a un indicateur qui ne trompe pas : regardez les unes des quotidiens régionaux, jamais les reprises du conflit ont été aussi faibles.
En Province on en peut plus de vos flash, chaque heure on répète : « toute petite amélioration mais le trafic reste très perturbé » et puis savoir que la ligne 6 du métro est fermée ou perturbée ……
Et puis ces provinciaux en allant chercher leur baguette, avec leur bon sens, se posent des questions que vous ne relayez jamais :
La réforme va concerner les années 2022, 2030, voire 2061 (dates entendues sur vos antennes) mais d’ici là de l’eau aura passée sous les ponts, Macron ne sera plus là et on sait très bien que les gouvernements successifs pourront changer les modalités de la réforme, voir étendre les périodes de transitions ou changer l’âge pivot en fonction des données financières.
Et puis concernant certaines catégories pourquoi la Grève à à la RATP et pas au métro de Lyon, pourquoi pas dans les compagnies de cars des grandes villes de province.
A la SNCF quel est la proportion des agents qui ne travaillent pas en décaler et pas le week end
Pourquoi vous attachez tant d’importance aux assemblées générales de grévistes, les plus âgés vous diront que seul les plus ultra y vont et pas ceux qui décident de reprendre le travail et qui restent silencieux.
Pour clore ce petit billet j’insiste encore sur la grande lassitude de vos auditeurs, comprenez-moi bien, non pas sur la réforme des retraites elle-même mais sur cette grève qui entraine de votre part une répétition journalière, horaire…qui devient insupportable.
Comment se fait-il qu’en 2020 on ne tienne toujours pas compte de l’augmentation de la productivité dans les questions économiques ? L’automatisation et l’informatisation ont permis de réaliser les études et surtout les produits, en bien moins de temps et à moindre coût. De nos jours le travail « ancien » et non choisi ne devrait plus être une valeur obligatoire . On devrait avoir une autre vision du travail et probablement un autre mot et une autre équité … Pourquoi les intervieweurs des médias ne font pas évoluer les points de vue ?
Les gouvernements successifs nous tannent depuis les années 2000 sur le poids écrasant de la dette et la nécessité de réduire le déficit public du budget de la France pour réduire cette dette. Le déficit est maintenant inférieur à 3 % du PIB donc il a fortement descendu, mais la dette continue à augmenter. Comment expliquer cette contradiction ? Pour la fonction publique qui a vécu de multiples réorganisations visant toutes à réduire le nombre de fonctionnaires ce constat est décourageant.
La réforme des retraites met à juste titre l’accent sur la situation des enseignants mais n’y a-t-il pas un important problème sous-estimé voir omis ou dissimulé par le Gouvernement pour l’ensemble des fonctionnaires qui vont désormais cotiser sur les primes.
En effet cela implique
d’une part, une cotisation « du salarié fonctionnaire » donc une baisse du salaire net : sera-t-elle compensée par l’Etat ?;
d’autre part, une cotisation « employeur- Etat » donc une augmentation des charges de l’Etat.
Ces dépenses ont-elles été chiffrées ? Quel est le montant ?
Le ministre des finances peut-il mesurer l’application de la réforme sur les 170 hauts fonctionnaires de Bercy dont le salaire est plus élevé que celui du président de la République !
Il y a 2 paramètres dans la réforme des retraites qui ne sont jamais abordés c’est le plein emploi et les seniors.
Dans les interviews aucune question sur comment on fait pour être recruté à 60 ans dans le secteur privé quand l’âge pivot sera de 64 ans ? On les met au chômage pour que la société paie une fois de plus ? Quelles sont les statistiques du plein emploi pour les seniors ( à partir de 50 ans pour les femmes par ex)? . Vous discutez sur des aspects thétiques avec vos interlocuteurs mais ne soulevez pas les sujets de manière pragmatique…
Pourquoi se focaliser sur l’âge pivot ? On parle de retraite par points. Donc ça paraît simple : Si on part à 62 ans on touche moins si on part à 64 ans on touche plus…A chacun de peser s’il préfère arrêter ou non en fonction de sa situation personnelle (intérêt du métier, état physique…) Pourquoi agiter en plus le chiffon rouge d’une décote entre 62 et 64 ? et merci à la CFDT de garder la tête froide
Je suis étonné que le gouvernement fixe très précisément l’âge pivot, mais reste on ne peut plus vague pour donner le montant des augmentations de revenu dont bénéficieraient les Français, par exemple combien il mettra pour les enseignants
S’agissant des régimes spéciaux ils étaient les corollaires aux contraintes et astreintes lies a la continuité du service public et justifiait donc que tous y participe si la nature du travail le justifie pourquoi l’état n’abonde t-il pas un régime complémentaire avec des super points L’État patron comme le prive devrait se situer au niveau des complémentaires Cela ouvrirait un champ de négociation sur les cotisations salariales et patronales en fonction de la pénibilité
Réforme des retraites et conjoncture sociale.
Non, ce n’est pas parce que la durée de vie s’allonge qu’il faut prolonger le temps du travail obligé. Le temps de retraite est un temps de travail choisi où chacun est son propre donneur d’ordre d’activités choisies ou de bénévolat.
Ne parlons plus d’âge de départ mais d’années de cotisations. 42 par exemple. Pour ceux qui ont commencé leur vie active en apprentissage d’un métier manuel à 16 ans, cela donne 58 ans ce qui est bien au regard de la pénibilité, à 18 ans 60 ans. Parallèlement, épargnons-nous des complications et des frais en traitant la pénibilité via le médecin généraliste qui, dès le premier problème, va signaler à la médecine du travail le salarié et son entreprise. La pénibilité, c’est du cas par cas obligeant à des aménagements de carrière et du plan retraite.
Les cotisations en lien avec les salaires sont un bon rouage de fonctionnement. La sémantique est importante, plutôt que croissance ou décroissance, langage dogmatique, parlons d’équilibre économique. Ainsi, la création d’emplois verts, implique du pragmatisme et de l’action immédiate, mesurable : plantations massives d’arbres ou de verdure en liaison avec les départements dans l’opération d’initiative citoyenne