Chèr(e(s)) France Inter,
Merci à vous toutes et tous pour ce que vous faites en temps normal et en ce moment.
Je ne m’adresse pas au service public mais aux femmes et hommes qui composent ce média.
Pouvez-vous (par pitié) bannir DEFINITIVEMENT de votre antenne le terme « distanciation sociale ».
Nous crevons depuis quelques temps déjà, de cette distanciation.
Celle qu’il nous faut respecter est une distanciation physique et uniquement physique.
Le virus n’a aucune notion de sociostyle, il fait des victimes, point.
Merci à vous et surtout continuez!
Restez prudents, il n’y a pas que le Covid…..

Par pitié, arrêtons de faire perdurer cette maladresse dans cette expression Parlons de distanciation physique et non sociale. Un grand merci

Distanciation est le fait de prendre du recul par rapport à un rôle, une situation.
Distance est le mot qui convient en ce qui concerne la distance physique entre deux personnes. Distanciation sociale ne décrit absolument pas la distance physique entre plusieurs personnes.
C’est un peu comme la méditation « pleine conscience ». Il y a plusieurs méthodes pour entrer en état de méditation, mais quand la méditation n’est pas pleine conscience, c’est qu’on est en train de dormir…
Et ce ne sont que deux exemples parmi tant d’autre.

Ce matin, samedi 10 mai, dans le bulletin d’info, on a encore pu entendre l’expression « distanciation sociale » pour parler de la mesure de protection sanitaire nécessaire actuellement. Cette expression est impropre. Cela fait deux mois que de nombreux auditeurs vous répètent qu’il s’agit de « DISTANCIATION PHYSIQUE ». Il est question de la nécessité de garder une distance « x » entre personnes PHYSIQUES et non pas de corps social. Je ne pense pas nécessaire de vous faire un cours sur la différence entre les deux expressions car il ne peut pas vous avoir échappé qu’elles ont chacune une signification bien différente. Merci.
Le SERVICE PUBLIC se doit d’être le meilleur partout et, notamment, dans la défense de la langue française.

Chèr(e(s)) France Inter,
Merci à vous toutes et tous pour ce que vous faites en temps normal et en ce moment.
Je ne m’adresse pas au service public mais aux femmes et hommes qui composent ce média.
Pouvez-vous (par pitié) bannir DEFINITIVEMENT de votre antenne le terme « distanciation sociale ».
Nous crevons depuis quelques temps déjà, de cette distanciation.
Celle qu’il nous faut respecter est une distanciation physique et uniquement physique.
Le virus n’a aucune notion de sociostyle, il fait des victimes, point.
Merci à vous et surtout continuez!
Restez prudents, il n’y a pas que le Covid…..

Le français est de plus en plus malmené sur France Culture.
la guerre sexiste hystérique contre le masculin.
Le masculin sert d’élément neutre, il n’y en a pas d’autre. Féminiser c’est mettre du sexe, et le plus souvent de manière inutile et provocante. Pourquoi féminiser toutes les professions, quel intérêt ? La profession n’est pas la personne qui l’exerce ! Elle est neutre !
ET l’écriture dite « inclusive », illisible !
Exemple l’émission « LSD, La Série documentaire » avec Perrine Kervran. Je lis la lettre de France Culture:
« Certain•e•s l’ont tant exploré qu’il a modifié le cours de leur existence et qu’ils ont organisé leur vie autour de l’exploration de ce sentiment. Ils sont apnéistes, coureur•se•s au large, scientifiques, surfeur•euse•s, musicien•ne•s, sauveteur•euses en mer, pécheur•e•s,… il•elle•s habitent un paysage singulier, un horizon. »
Je n’ai qu’un cri: ASSEZ ! Que Mme Perrine Kervran respecte la France et sa langue, et me respecte, au passage…

Je découvre dans la newsletter un thème qui promet immédiatement d’être passionnant, le « sentiment océanique » et je me trouve face à l’énoncé suivant, à lire voix haute : « Ils sont apnéistes, coureurses au large, scientifiques, surfeureuses, musiciennes, sauveteureuses en mer, pécheures »… Pitié pour nos cerveaux, si France Culture se met à l’écriture inclusive, c’est peut-être toujours l’ouverture, (ou le conformisme ?) mais ce sera sûrement la fin de l’esprit. Il nous restera à se convertir en pleureureuses (malheureuxeuses).

Zéro pointé à la speakrine qui a présenté le flash de midi ce samedi 9 mai 2020 parce qu’elle continue à employer le vocable des propagandistes stupides : quatorzaine. Il n’est pas infamant d’ouvrir un dictionnaire, au contraire, ouvrir un dictionnaire permet de progresser. Mais il est vrai que les gauchistes décadents qui sévissent à France Inter refusent l’amélioration et les efforts qui vont avec. Et donc, encore une fois, les journaleux de France Inter préfèrent la sensation à l’information…
Bonjour Madame,
Un néologisme horrible et inutile vient de faire son apparition à la faveur, si j’ose dire, du Covid-19 et semble ravir certains des journalistes de Radio France et/ou de leurs interlocuteurs :
« quatorzaine » !?
Le mot quarantaine a perdu son sens originel et est devenu synonyme d »isolement…
On peut donc dire une quarantaine de 15, 30, 60 jours…
Ou tout simplement, un isolement ou éloignement, ou mise à l’écart..
La création de nouveaux mots illustre hélas souvent le faible niveau de leurs créateurs en langue française…Ce qui est un comble pour des journalistes.

Est-il possible que les journalistes et plus généralement les chroniqueurs évitent l’usage permanent de « les métiers du care » et utilisent l’équivalent français « les métiers du soin ».

J’écoute vos informations avec assiduité et je m’aperçois que votre journaliste ne connait pas la négation. « Vous avez pas »….vous êtes plus… La langue française correcte indique une négation par : ne pas, ne plus, ne jamais etc..En langage correct que vous devriez employer est « vous n’avez pas, vous n’êtes plus » etc, n’oubliez pas que de nombreuses personnes vous écoutent.

Entendu plusieurs fois sur les ondes de ma radio préférée, l’expression « a minima » ne signifie pas « au minimum » ou « minimal ». C’est un terme purement juridique désignant, pour le dire simplement, un appel contre un jugement estimé trop léger.Il n’y a pas d’autre sens que cela.De même, la préposition « sur » utilisée pour dire « vers » ou « à ».exemple:je travaille SUR Paris, voire pour dire « il s’agit de » ou  » c’est ». exemple: on est SUR un homme qui… Un auditeur fidèle

Madame,
Je ne suis pas linguiste, je ne suis qu’un modeste auditeur de FRANCE INTER, exclusivement, depuis plus de 40 années, et amoureux de la langue française.
Je suis très mal à l’aise quand j’entends, sur « ma radio » l’usage constant qui est fait du mot  » dédicace » quand il s’agit pour un auditeur lambda ( comme moi) de dédier une chanson à telle ou telle personne de son entourage, comme si cet auditeur en était l’auteur !!
Pour moi, une dédicace, c’est le petit mot , souvent très émouvant, qu’un auteur d’un livre, d’une chanson, adresse à une personne chère à son cœur.
Le verbe dédier me paraît plus juste en l’occurrence.

Juste un petit rappel de définitions pour tous les journalistes qui confondent : l’école primaire = la maternelle (càd de la PS à la GS) + l’élémentaire (du CP au CM2). Primaire s’oppose à secondaire qui comprend le collège et le lycée. Donc merci d’arrêter de parler de reprise de « l’école primaire et élémentaire ».

Serait-il possible d’apprendre aux journalistes et intervenants de Radio France que l’école « primaire » regroupe à la fois l’école maternelle ET l’école élémentaire. Il est donc inexact de dire : « les écoles maternelles ET primaires », il faut dire « les écoles maternelles et élémentaires » ou « les écoles primaires » tout court puisque cet énoncé englobe les maternelles ET les élémentaires. C’est une erreur assez répandue et malheureusement pas seulement sur les ondes de Radio France, excellentes antennes par ailleurs. Merci de faire passer le message.
Bien cordialement

Madame, trop c’est trop vraiment ! Avec France Bleu Grand est, les bornes sont dépassées. Je ne parle pas, comme déjà signalé, des musiques diffusées en boucle (les mêmes depuis le début du confinement), des « on est 100% solidaire »…, mais ce soir, vers 18h30, un « présentateur/animateur » déclare tout joyeux, gai (on l’imagine ainsi), sans honte aucune (mais s’il ne comprend pas cela semble logique) à une auditrice « maintenant on peut les voir visuellement ». Ce n’est pas la première fois que « voir visuellement » est dit ou répété sur vos ondes, mais vraiment, trop c’est trop. Et même je demanderais « c’est grave, docteur ? » Avant, on ne pouvait donc voir qu’avec ou les oreilles ou la bouche, peut-être ? Il est grand temps d’arrêter de nous enduire avec de l’erreur. Le français s’apprend à tout âge, ainsi que le respect des auditeurs, pas encore tous lobotomisés ou décérébrés.