Juste pour vous dire que je trouve que les propos de votre intervenante m’ont plus qu’ulcérée ; je suis une maman de deux adolescents (14 et 16 ans) qui ont contracté le COVID 19 en novembre dernier, qui ont eu des formes aigues du COVID (température, toux, bronchite asthmatiforme secondaire et fatigabilité installée pendant plus d’1 mois), l’un des deux ayant contracté une forme longue avec encore à ce jour une anosmie totale. Or quand j’entends les propos de cette « référente » du comité d’éthique s’inquiétant sur le « bénéfice/risque de la vaccination des adolescents entre les effets indésirables que pourraient engendrer une vaccination et les très très faibles risques que les enfants déclarent la maladie », je pense que cette personne ne prend pas en compte les formes graves et aigues qu’ont développé la majorité des adolescents ayant passé le stade de la puberté (CF publications médicales) mais aussi tous les effets indésirables qu’a pu produire le confinement qui a dû être mis en place pour protéger le plus grand nombre ; la majorité des adolescents ont été en demi jauge voir en distancielle total depuis l’automne dernier, l’isolement a provoqué en plus des décrochages scolaires, une détresse mentale et une aggravation de troubles chez des enfants fragiles.
Votre intervenante devrait également prendre en compte les effets d’un quatrième confinement qui pourrait se produire à la rentrée de septembre si l’immunité vaccinale n’était pas acquise de par le manque de vaccinations. Je trouve donc que même si nous sommes dans un pays où heureusement chacun peut s’exprimer, ce reportage aurait mérité d’avoir en réponse aux propos de cette intervenante, une entrevue avec un pédopsychiatre qui vous aurait expliqué dans quel état de détresse mentale il trouvait ses nouveaux patients. D’autre part je trouve que ce type de reportage dans une période où les centres vaccinaux se vident (car seuls les non convaincus par la campagne vaccinale restent à vacciner), alors que maintenant les doses sont au rdv, est diffusé au plus mauvais moment ; Les réfractaires à la vaccination vont s’appuyer sur les dires de cette personne pour argumenter pour le boycott de la vaccination.
Sinon encore merci pour vos émissions, une auditrice fidèle de votre antenne

Ne vaccinons-nous pas les jeunes parce que les adultes ne le font pas ??? Car si risque il y a, c’est bien sur les adultes qu’il porte.
Au nom de quoi, doivent-ils se faire vacciner si ce n’est pour protéger leurs aînés qui le refusent…
Une maman de 51 ans, vaccinée 1ère injection, avec deux adolescents ayant vécu sans activité sportive, des cours en distanciel car n’étant pas dans un lycée privé, sans activité culturelle…. Mais dans une maison avec jardin, et un papa disponible pour ses enfants.

Je suis maman de deux filles, respectivement âgées de 14 et 12 ans. Je suis bien consciente que leur vaccination amplifierait l’immunité collective tant recherchée, mais avant de vacciner les adolescents, puisqu’ils sont souvent asymptomatiques, ne serait-il pas judicieux de leur proposer une sérologie afin de rechercher une éventuelle contamination ancienne ? Dans ce cas, ils seraient naturellement immunisés, participeraient de fait à l’immunité collective et n’auraient pas besoin de se faire vacciner.

Vacciner les personnes à risque dans le reste du monde n’est-il pas prioritaire sur la vaccination des ados dans les pays occidentaux ? Car il y a un risque que le virus ayant muté revienne depuis ailleurs et que les vaccins actuels ne soient plus efficaces.

Il sera bien d’expliquer ce qu’est l’immunité de groupe car beaucoup pense encore qu’il suffit de vacciner les personnes à risque. L’exemple de la rougeole transmise par des familles non vaccinés dans des pays qui n’étaient pas prêts doit rester en mémoire : si nous voulons protéger ceux qui ne peuvent pas l’être ou chez qui le vaccin est inefficace, il faut que par Fraternité tous ceux qui peuvent l’être le soit (ou alors on change la devise de notre pays : supériorité, égoïsme, séparation).

Pourriez-vous arrêter de parler souvent de la vaccination par rapport aux gens qui voyagent : Quelle frange de la population cela concerne-t-il ? Qui en a les moyens ? 10, 20%. Alors s’il vous plaît arrêter de nous bassiner avec ce thème. Il y a surement plus important et représentant plus de personnes concernant la vaccination contre le Covid. Je ne suis ni gauchiste, ni pauvre, j’ai largement les moyens de voyager si je veux mais j’en ai marre d’entendre des gens qui se plaignent de ne pouvoir aller aux Seychelles. Merci quand même pour vos émissions.

Arrêtez, une bonne fois pour toutes, d’employer le mot « vaccinés » pour les personnes n’ayant reçu qu’une dose de vaccin au lieu de deux. Il y en a marre ! En France il n’y a pas 26 millions de vaccinés mais 26 millions de personnes ayant reçu une dose de vaccin. Il n’y a que 11 millions de personnes complètement vaccinées, soit à peine 17% de la population ! Un scandale ! A ce sujet, il est bon de rappeler que Macron a perdu son pari, lui qui avait annoncé 30 millions de 1° dose pour le 31 mai !

On ne cesse de parler d’immunité collective, mais pour quoi faire ?
Si tous les gens fragiles et à risque sont vaccinés, il est inutile de vacciner les gens en bonne santé, il me semble…
D’autant que le vaccin n’empêche pas la transmission, non ?
Quant à l’immunité collective, elle sera spontanément atteinte si les gens en bonne santé s’infectent entre eux, et ce sera sans risque pour les personnes à risque puisqu’elles sont vaccinées.

Après avoir attendu que les personnes de plus de 55 ans qui n’avaient pas envie d’être vacciné à l’AZ tapent dans les doses de Pfizer que l’on aurait pu utiliser. Après avoir collé des cotons tiges dans le nez des enfants au collège et à l’école à cause de ces personnes qui ralentissent la vaccination collective. On va donc vacciner nos enfants qui n’en ont pas besoin pour protéger les vaccinosceptiques alors que ces doses seraient d’une bien plus grande utilité dans les pays les moins avancés qui n’ont pas les moyens de se les procurer. Ça me laisse perplexe (et en colère)