À l’approche des vacances d’été, le Guide du Routard lance le premier numéro de son nouveau trimestriel, intitulé « La France qu’on aime ». L’occasion de revenir sur l’identité de ce guide et les perspectives du tourisme dans une ère post-pandémie. Philippe Gloaguen, fondateur du Guide du Routard, était l’invité du Téléphone Sonne vendredi 18 juin. L’occasion pour les auditeurs de partager leurs souvenirs :

Nés à la fin des années 50 nous avons toujours été adeptes du routard. Pas un voyage sans l’avoir dans la poche !
Mais surtout dès qu’elle a su lire notre fille a plongé dans sa lecture, cela l’aidait à passer le temps seule à l’arrière de la voiture, calée dans un coin du compartiment du train, sur le pont du ferry.
Elle y a appris la géographie, la découverte de son environnement et l’humour (elle adorait et se bidonnait !).
Comme pour le masque et la plume, il y a des familles biberonnées au rituel du routard.

Nous avons eu le plaisir de recevoir un coup de fil de Monsieur Gloaguen après un voyage au Mexique. Nous nous étions retrouvés au fin fond du Mexique avec un routard peu mis à jour, nous avions pris le temps de prendre les nouvelles informations, et de les envoyer au guide du routard. Nous avons reçu des guides en cadeau… et grande fierté un coup de fil de remerciement.
Merci encore au guide du routard pour tout.

J’ai beaucoup voyagé avec mon ami « en routard » , et votre guide était notre « outil » indispensable ! par exemple, en Malaisie, nous sommes allés 2 jours en forêt primaire (un sac de 20kg sur le dos…) avec bivouac dans une grotte, un souvenir inoubliable!; ou au Cambodge, découverte du Ratanakiri, avec rencontre des ethnies locales; ou les conseils de déplacements: quelle joie de découvrir un bus pour passer à Singapour depuis Malaga; ou la traversée en train et retour en bus le long du canal de Panama; etc… etc… sans oublier les conseils pratiques pour trouver à dormir chez l’habitant, se déplacer en bus locaux, prendre les repas sur les marchés, etc… merci !!!

Je souhaite réagir car si j’utilise les guides touristiques (quel qu’il soit) ça n’est surtout pas pour les adresses de restaurants car c’est à coup sûr pour se retrouver entre touristes (essentiellement français ayant le même guide) or c’est exactement ce que je ne veux pas. Je préfère déambuler dans les rues, être surprise et fréquenter les restaurants ou la population locale va.

Mes routards sont annotés, comme des carnets de voyage, ils gardent la trace d’un séjour.
Quand nous étions étudiants, nous rêvions de travailler au routard.
Bravo pour ce guide !! Indémodable et irremplaçable.

J’ai toujours voyagé avec le guide du routard, aujourd’hui mes filles font de même, l’une d’elle qui partait vivre en Espagne cette année m’a dit : « c’est ma madeleine de Proust » !

Le Routard, ma source inépuisable à travers le monde… À quand un guide de la Serbie ? Je vous le rédige, si vous voulez, clé en mains en juillet !

Un superbe guide qui nous suit à chaque périple…
Mais comment fait-on pour travailler avec vous ?

J’ai remarqué un manque de mise à jour sur les territoires d’Afrique de l’Ouest. Ce dernier présentant même des numéros privés.
Comment traitez-vous l’ensemble des pays du monde ?