Sur les données du Covid je partage les réactions majoritaires des auditeurs on n’est pas informé et c’est anxiogène. Pour mesurer une épidémie (et donc une pandémie) il existe des batteries de critères précis et scientifiques comme le taux de létalité, de reproduction, de contamination etc. et surtout par des graphiques et des cartes. Or avouons-le c’est difficile à la radio de s’en servir.
En effet le travail de journaliste d’information est de les connaître, les colliger, les communiquer et les commenter, sans en privilégier un et surtout ne pas travailler en nombre absolu exclusivement mais en complétant par des ratios. Il n’est pas du domaine de l’information de laisser un membre du gouvernement communiquer un chiffre brut par-ci par-là et sans le contextualiser.
L’exemple probant (et triste) est le taux de mortalité/population. En France les décès sont par exemple à 30 813 pour une population totale estimée de 66 524 000 soit un taux de 0,46 pour mille.
aux USA il est de 195 086 pour une population de 331 080 000 soit un taux de 0,59 pour mille.
En Italie le nombre de décès est de 35 767 pour une population totale estimée de 60 317 000 soit un taux de 0,59 aussi.
En Belgique on a 9 917 décès pour 11 492 641 habitants (selon Statbel) donc un taux de 0,86.
J’arrête l’exemple ici.
Par pitié, arrêtez de donner des chiffres inexploitables comme les cas de « contaminations » ou alors, donnez les chiffres complets, à savoir les cas positifs et négatifs, le nombre d’hospitalisations en soin intensif, et le nombre de morts. Les chiffres que vous donnez ne signifient rien et ne produisent finalement qu’un climat de peur. Or en tant que service public, vous vous devez d’être rigoureux et responsable. Dire qu’il y a une seconde vague, que les contaminations grimpent etc. n’est absolument pas prouvable avec les chiffres que vous annoncez. N’importe quel sociologue vous le dira. C’est incroyable d’assister à une manipulation médiatique de cette envergure. Je précise que je ne crois nullement en les théories de complots, mais face à cette façon de traiter l’information, il y a sérieusement matière à douter. Je vous prie donc de changer de positionnement en ne donnant que des informations viables. (franceinfo)
Votre antenne parle sans trêve du coronavirus, sans jamais relayer d’avis alternatif, et, au contraire, en se moquant des avis qui ne sont pas ceux du conseil gouvernemental. Ce n’est pas ce qu’on attend d’une radio du service public, nous aimerions entendre les scientifiques dans leur totalité et le respect de toutes les opinions. Et surtout nous aimerions que France Inter soit moins obsessionnelle sur les sujets d’actualité. Trop c’est trop… (France Inter)
Nous sommes saturés jusqu’à l’écœurement par l’information continue sur « Le Virus », c’est tous les jours, à toutes heures ainsi voilà deux jours de suite que le « Téléphone sonne » traite de ce sujet et ce n’est qu’un exemple. Les chiffres égrenés ne sont jamais détaillés, les commentaires, décisions gouvernementales contradictoires et vous vous faites le relais de ce bourrage de crâne avec complaisance. Hannah Arendt expliquait que l’amoncellement d’informations contradictoires bousculait les esprits et préparait les dictatures ! (France Inter)
Essayez d’utiliser votre liberté tant revendiquée pour utiliser vos neurones et mettez un tout petit peu en perspective les chiffres du Covid ! Vous vous comportez quasi tous comme des moutons-crétins galvanisés par la fameuse ARS. Courage… réfléchissez.
Entendu lors d’une émission sur le Covid de la part de la journaliste : « Comment on fait pour faire rentrer les Français dans le troupeau? ». Les Français ne sont pas des moutons. Comment pouvez juger ?
Les Français se sont battus pour pas être des moutons. C’est de pire en pire sur France inter dans le politiquement correct.
Ma fille qui a été malade du Covid mi-mars, donc très vigilante par rapport aux gestes barrières et les mesures sanitaires, a fait sa rentrée hier à la Sorbonne et les photos qu’elle a prise de l’amphi où elle devait suivre les cours par 34° sont tout à fait édifiantes : pas moyen d’être espacés, pas de gel hydro alcoolique à disposition, mais des étudiants et professeurs tous masqués sur lesquels ils ont transpirés à grosses gouttes. Les universités ont eu pourtant le temps de préparer cette rentrée… Arrêtons de stigmatiser les étudiants et ne soyez pas étonnés que bientôt un cluster peut démarrer à la Sorbonne !
C’est la première fois que je m’adresse à vous que j’écoute depuis… très longtemps. Mais en ce moment j’ai vraiment du mal avec votre ligne éditoriale sur la COVID-19. Vous participez à la psychose ambiante en annonçant les nouveaux cas dans vos journaux. Mais quel intérêt ! Combien d’hospitalisations ? Combien de morts ? On ne sait pas et vous n’en parlez pas ! Oui il y a beaucoup de porteurs sains de gens qui ne sont pas malades. Où sont les morts ? Combien chaque jour ?
Quand votre radio prétend être une chaîne d’information, on fait attention au reportage que l’on diffuse afin de ne pas se transformer en chaîne de désinformation. En effet je viens d’entendre un médecin urgentiste de la région de Bordeaux nous parler d’une deuxième vague, alors qu’il n’y a pas eu de première vague dans leur région. Mais grâce aux incohérences de notre gouvernement, qui a permis la transhumance touristique cette région se retrouve contaminée à son tour.
D’autre part comme je l’ai déjà écrit dans un précèdent mail arrêtez la litanie des contaminés en brut alors qu’il existe 30% de faux positif, parlez plutôt du nombre d’hospitalisés et de décès en lien avec le Covid. Arrêtez de culpabiliser le peuple français et la jeunesse en particulier. Regardez la réalité en face.
Le sujet de la légitimité des mesures imposées en France ; pourriez-vous rappeler autant que possible que d’autres états procèdent autrement, en particulier sans mesures policières systématiquement associées, mais par conseil, recommandations. Sur les antennes de Radio France : on subit ces annonces de l’état, répétitives depuis des mois, sur comment se retrouver en famille, à la plage… c’est usant, énervant, anxiogène. De plus j’ai eu l’impression souvent que la radio publique est « la voix de son maître »… – vous aviez invité dernièrement un bactériologue de Nantes : ses interventions n’avaient aucun intérêt, des redites, et toujours les mêmes, par contre l’invité belge était intéressant mais manquait de temps de parole (svp laissez l’invité développer son propos sans le couper même quand il hésite, cherche la suite…)
Pourquoi ne parlez-vous pas de l’absence de stratégie de dépistage ? Actuellement on traite de la même façon les malades et contacts, d’une part, les dépistages, d’autre part. Ce qui est préjudiciable à l’efficacité de la politique de dépistage. Se faire dépister, ne pas s’isoler et recevoir un résultat positif quelques jours après ne sert à rien.
J’habite non loin d’un centre de santé dans le 19ème arrondissement. Chaque matin depuis quelques semaines, il y a au moins 1km de file d’attente de gens qui viennent se faire tester.
J’aimerai savoir, n’importe qui peut se faire tester n’importe quand ? Ces tests sont-ils remboursés par la Sécu ? Pourquoi se faire tester si nous n’avons pas de symptômes ? De plus on peut se faire tester et contracter la maladie le lendemain !
Y a-t-il un contrôle afin qu’il n’y ait pas d’abus ?
Les enfants souffrent depuis des mois du Covid et depuis des années
a l’école avec les répétitions anti attaque terroristes faites dans les écoles. Leur monde est débile ! Privé de sortie sociale privé d’anniversaire avec plein de copains, privé de grands parents. Ils n’ont pas le recul des adultes et encaissent ! On va bien finir par payer le manque de liberté et la frustration que ça génère…
La Gironde interdit les sorties scolaires !! En voilà encore une très mauvaise idée !
Comment expliquer le décalage gigantesque entre la France et l’Allemagne sur un mois, pour un nombre de tests équivalents ? (beaucoup moins de cas, moins d’hospitalisations, moins de décès).
S’il est entendu que les gestes barrières ne permettent que de ralentir la progression du virus et nullement de l’arrêter, je ne comprends pas pourquoi la question d’un accroissement considérable des lits (en réanimation ou non) à l’hôpital n’est pas le cœur de la réponse apportée à ce problème, puisqu’elle semble être la seule solution (concrète et accessible) permettant d’imaginer la reprise d’une vie (plus ou moins) normale…
J’habite Marseille et je suis atterrée par le manque de pertinence et de subtilité des nouvelles contraintes imposées… et éventuellement selon par le préfet comme la fermeture des plages et des parcs à 20h… C’est au moins en Août que cette décision aurait dû être prise mais l’économie a été privilégiée ce que je peux comprendre d’ailleurs mais envisager une telle solution aujourd’hui n’est qu’un effet d’annonce.
Le masque dans les lieux publics, notamment dans les grandes surfaces, j’y adhère totalement, mais pourquoi les clients peuvent-ils toucher librement les fruits et légumes et les pains, cela est-il anodin ?
Je ne comprends pas que le public soit réticent à utiliser l’appli covid, suspectant une perte de liberté alors que les mêmes gens peuvent dans le même temps publier sur les réseaux tout de leur vie.
Qu’en est-il du test vendu en pharmacie ?
Merci
Le vaccin contre la grippe hivernale n’ai pas efficace contre la covid?. Faut-il se faire vacciner pour limiter les risques Covid?
C’est complètement antisocial cette histoire. Peut-on penser que c’est complètement excessif ?
Il serait temps de ne pas confondre le nombre de personnes testés positives par PCR et le nombre de malades.
Si on avait autant testé au moment opportun (mars / avril), ou aurait peut-être (et probablement) obtenu des nombres de personnes PCR + bien plus importants que ceux aujourd’hui observés. On voit bien qu’il n’y a pas de relation directe et proportionnelle entre le nombre de PCR+ et le nombre d’hospitalisations, même avec un décalage de 10 à 15 jours.
Enfin, il serait temps que le conseil scientifique et l’OMS reconnaissent que le mode de contamination majeur réside dans les aérosols émis en lieux clos et non ventilés, et que les gestes barrières soient adaptés à cette réalité maintenant évidente. On n’a pas pour l’instant montré qu’il y avait un nombre significatif de contaminations qui auraient eu lieu en plein air. Imposer les masques en plein air n’est pas une mesure épidémiologiquement justifiée, hormis dans les lieux de très forte promiscuité.
Il n’y a enfin aucune étude qui montre que l’épidémie s’est propagée par les mains (hormis peut-être en milieu hospitalier). Il faut donc adapter et cibler le matraquage « gestes-barrières » sur les causes majeures de transmission.
Dans l’esprit du témoignage de l’auditeur actuel, j’ai eu une intervention la semaine dernière chez un dentiste « anti-masque ». Le dentiste bien évidemment pendant l’intervention portait un masque, mais son assistance, qui est à moins d’1m du patient qui est la bouche ouverte ne portait rien. Que l’on ait un problème avec le masque peut se comprendre, mais le respect d’autrui nécessite de le portait si on reçoit du public…
Chez les jeunes, la contamination il y a peu de chances que ce soit dans la classe mais plutôt devant les portes du collège/lycée ou aucun geste barrière n’est respecté.
J’écoute l’émission sur le Covid…. Toutes les salles de sport sont ouvertes, y compris des cours collectifs avec 15 personnes qui expulsent leurs gouttelettes sans masque à plusieurs mètres. J’ai ainsi attrapé le Covid et la salle n’a informé personne. Ceci est tellement incohérent. Des salles de sport…
Quand on vit la difficulté à enseigner les gestes professionnels habituels pour les soignants (port du masque, lavage de mains…), à faire comprendre les situations où tels ou tels gestes est nécessaires; bien sûr qu’il est impossible d’imaginer que le « grand public » puisse analyser les situations. Donc port du masque sans discussion trop scientifique et complexes.
Ça s’est passé aujourd’hui. J’entendais sans vraiment y prêter attention le Flash de midi.
On a donné la parole à un énième expert, épidémiologie ou autre – comme je vous le disais je n’écoutais pas plus que ça, et il ne m’a pas été possible de réécouter la séquence sur votre site pour retrouver son nom.
Il a mis en garde contre la montée de l’épidémie, comme tous les autres.
Il a encore dit probablement quelque chose comme « il ne faut pas s’arrêter aux chiffres actuels de malades en réanimation ».
Car c’est ce qui a suivi qui m’a pétrifiée, écœurée : il a rajouté « Les décès arrivent un mois après ».
Le besoin de faire entendre son message ne devrait pas lui faire oublier qu’un malade est encore un être humain, et pas un morceau de viande dans lequel on plante des aiguilles, des incubateurs, des cathéters, ou qu’on glisse à l’avance dans une housse plastique.
À ce titre, un malade qui n’est pas encore mort a toujours droit à l’espoir. On a vu plus d’une fois des personnes dans un état désespéré qui guérissent, qui s’en sortent.
En effet, un malade même très malade a toujours ce qu’on appelle un esprit, qui participe autant que le corps à son destin.
Annoncer ainsi aux malades en réanimation qu’ils ne sont que des morts en attente relève de la bêtise, une bêtise qui tue aussi sûrement qu’un virus.
Mais aussi : un malade, et notamment en réanimation, a des amis, de la famille, des gens qui l’aiment et qui tentent par tous les moyens de lui donner le goût de vivre, et qui tentent aussi de leur côté de garder l’espoir dans la guérison au milieu de toute cette souffrance.
J’ai trouvé ce monsieur, adepte des statistiques et des annonces froides, insensible et inutilement cruel. C’est un peu comme s’il avait pris des clous et commencé de clouer le cercueil de tous ces gens qui luttent pour rester en vie.
J’ai pensé, en l’entendant avec effroi, à mon amie Simone, dont le mari est justement en réanimation depuis 2 semaines.
Et je me suis dit que si Simone, qui n’a pas le moral, ni la santé, ayant chopé elle aussi le covid en même temps que son mari, entendait ces paroles, elle allait perdre tout espoir dans la guérison de son Paul, et qu’elle allait encore plus s’effondrer, si c’est encore possible.
Et cela m’a mise très en colère.
Contre ce sale type.
Et aussi contre la rédaction de France inter qui a pris la décision de diffuser son discours jusqu’au bout.
Bien sûr, les rédactions ont l’habitude de voir défiler les nouvelles les plus atroces, sans sourciller.
Mais le besoin de diffuser du sensationnel ne devrait pas passer avant la compassion.
Et surtout, les rédacteurs devraient se souvenir que ce ne sont pas des gens ni des pseudos-experts qui sont de l’autre côté du poste, mais des gens, de vrais gens.
Je pense que ce serait intéressant et courageux de la part de France Inter d’adresser cette question apparemment censurée par tous les autres médias : Pourquoi la France est-elle en tête du rebond Covid parmi tous les pays Européens ?
Ce mail pour vous faire part d’une grande lassitude, mais aussi une exaspération. Comment se fait-il qu’une radio comme la vôtre, participe à un tel pilonnage autour du covid ? c’est l’overdose ! Arrêtez, Nous avons compris ! Faites un point par semaine cela suffira amplement, inutile d’égrener de façon obsessionnelle et morbide des chiffres qui n’évoquent au fond, pas grand-chose. A part de vouloir nous rendre fous, je ne vois pas. Voilà, je ne sais pas genre de consignes vous recevez, mais franchement, je crois que je vais bientôt fermer le poste.
Il est insupportable de n’avoir depuis plusieurs jours qu’une seule vision de la soi-disant (aujourd’hui) épidémie. Aucun avis de médecins qui contestent le bien fondé des mesures actuelles, masque et autres. Je n’écouterai plus vos infos dans de telles conditions. Arrêtez d’être la voix de son maitre.
Vrai ou fake, l’antenne de France info a t-elle contribué à la psychose collective du Covid en répercutant sans aucune distance critique les informations du gouvernent, du conseil scientifique .En clair, remplacer le nombre de décès par celui des contaminations par exemple, entretenir la peur de la 2e vague ? Environ 20 décès par jour, comment oser parler d’une épidémie ? Les français savent ce que fait France info, j’espère que vous répondrez de cela. L’information du citoyen que vous nous devez est une noble mission, qui plus est financée par nos impôts. Comment osez-vous maintenir cette ligne éditoriale qui consiste à faire croire à 67 millions de gens que nous sommes en danger ? Il meurt environ 1671 personnes en France par jour d’autres causes que le covid. Reprenez-vous, vous êtes complices de la plus grande manipulation criminelle de notre histoire.
J’aimerais vous demander d’inviter le philosophe André Comte Sponville afin d’entendre un discours plus neutre dans votre émission, un discours qui s’appuie moins sur la peur, mais sur une réflexion pleine de sens. Prendre du recul, et non pas entretenir la peur déjà présente au quotidien dans tous les médias. Je pensais que vous étiez différents sur France Inter, mais c’est le même discours partout. J’ai été heureuse d’entendre ce philosophe s’exprimer chez vos confrères sur RTL le 07/09/20. « Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur elle-même » Montaigne, nous rappelle ce philosophe. Pourquoi à chaque émission abordant le thème de la covid 19, en partie ou en totalité, un climat de peur est instauré. Un climat avec du bon sens serait tellement plus vrai, et non pas faussé par des arguments remplis de partialité. Ecoutez le svp et invitez-le! Nous avons besoin d’entendre des personnes telles que Mr André Comte Sponville. Sinon je crains que votre radio ne perde de sa crédibilité, en invitant que des personnes dont le discours n’est pas neutre, et manque vraiment de recul.
Il semble Mr Beaulieu que vous avez oublié comment fonctionne un test PCR et qu’il faudrait quand un test est positif préciser le nombre de cycles : »pour un test PCR Sars-Cov2, on fait entre 30 et 35 cycles d’amplification. Cela dépend de l’équipement et de la méthode utilisée par le laboratoire. Tout n’est pas encore standardisé. Et Frédéric Cotton, d’ajouter : « On estime qu’à partir de 30 à 35 cycles où on a amplifié le virus, on considère que la charge virale (la quantité de virus) est non significative et négligeable. »Au moins, il faut de cycles pour le débusquer, au plus la quantité de virus est grande
« Cela dit, on devrait pouvoir donner au médecin un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnés, ce qui lui donnerait une meilleure idée de la contagiosité de son patient Covid.
2 syndicats de biologistes dont le SJBM demande du bon sens et du civisme aux asymtomatiques en n »allant pas se faire dépister
le Syndicat des jeunes biologistes médicaux a dénoncé mardi « les dangers d’une politique de santé fondée sur le chiffre et non sur la pertinence médicale », qui « sature les capacités » des laboratoires et de leurs fournisseurs, provoquant même une « pénurie de réactifs ».
Réclamant aussi une « priorisation (…) sur la base d’une ordonnance médicale », cette organisation souhaite également que les agences régionales de santé stoppent leurs « campagnes massive de dépistage à l’échelle d’un territoire entier auprès des populations asymptomatiques sans risque particulier ».
Sans ces mesures visant à « mieux cibler » le dépistage, « c’est l’ensemble du dispositif tester-tracer-isoler qui s’écroulera et tout le pays qui ira dans le mur en automne », prédit le syndicat.
Il est indispensable que le raisonnement médical prenne le pas sur l’affichage politique car il est impossible de dépister 70 millions de français : cela prendrait 70 semaines soit près d’un an et demi !
Le SJBM lance un appel :
au civisme pour que les français sans indications n’aillent pas se faire dépister inutilement.
au ministère pour rappeler ces indications au grand public et pour que la priorisation des examens PCR se fasse sur la base d’une ordonnance médicale.
aux ARS pour stopper les campagnes massive de dépistage à l’échelle d’un territoire entier auprès des populations asymptomatiques sans risque particulier.
Je sors de chez mon médecin homéopathe et micro-nutritionniste. Pas de port de masque. Il gère son immunité et sa santé depuis des années grâce à des apports complémentaires, notamment le zinc qui est antiviral et donc efficace contre la grippe et le coronavirus…
Le vaccin contre le coronavirus ? dans la mesure où les personnes touchées ont une immunité très courte face au virus, le vaccin ne pourra lui-même donner qu’une immunité courte. Cette course aux vaccins est une aubaine pour récupérer des fonds étatiques. L’industrie pharmaceutique n’est pas là pour guérir mais pour soigner à court terme. A quand une prévention de la santé ?