Merci mille fois pour votre émission, que je déguste chaque fois que possible. Et aujourd’hui, c’est un gros gâteau de bonheur et d’émotions grâce à Camélia Jordana qui est une très grande chanteuse. Cette reprise de Dalida c’est du grand art, j’en ai pleuré. Merci

Sublime Camélia Jordana dans son interprétation personnelle de Dalida, quelle puissance l’habite, une force émotionnelle d’une préciosité énorme. Elle sait me reconnecter chaque fois que je l’écoute avec la femme profonde que je suis. Meeeerci et merci 1000 fois.  

Merci pour ce moment extraordinaire : la chanson à voix nue de Dalida par Camélia. Magnifique artiste, je n’ai pas eu une telle émotion sur une chanson depuis Barbara — ça situe l’âge du bonhomme ! Continuez dans ce chemin de la simplicité… merci.

Mais comment faites-vous pour dégager une telle intimité avec vos invités ? J’ai la chair de poule à l’instant. Merci beaucoup pour votre émission !

Je suis obligée de m’arrêter en voiture pour vous écouter… je vous découvre… je n’ai pas de mot… longue vie Camélia on a besoin de vous.

Vous m’avez énormément touché avec votre interprétation de cette chanson que je n’avais jamais entendue comme cela bravo quel talent continuez.

Heureuse d’entendre vos propos mesurés, je vous reconnais ici, je ne comprenais plus rien à ce brouhaha autour de votre personne, MERCI d’entendre votre voix dans un dialogue avec un garçon ! 

Mme Jordana merci merci merci pour vos mots de ce matin pleins d’espoir de joie de bonheur de vivre cela fait tellement de bien. Je ne vous connais pas j’avoue peu vous écouter mais peu importe car je vais le faire.

Juste Merci, je pleure de tristesse, de joie, de libération, je suis dans « tous mes états », comme on dit chez nous, les clowns. Un petit clown dont tout le monde se fou et qui vend des gâteaux au marché pour sauver sa vie payer les études de son fils, la robe de mariée de ma fille… Juste merci car je me pose vraiment la question de ma reconversion du haut de mes 52 ans, j’ai dépassé le 4×4 (montée ascendante) et là, une lueur d’espoir que l’on parle enfin des artistes obligés de petits boulots à côté.