On dit gageure comme jure.
Et on dit « une » espèce
Et on dit Œdipe comme Edipe
Et incipit se prononce si pas ki.
Merci de le dire à tous les présentateurs d’émissions sur France Culture. C’est tout de même désolant d’entendre ça tous les jours.

Le mot gageure se prononce comme « jure »
Vérifiez dans le dictionnaire. Beaucoup de fautes tous les jours dans vos émissions. C’est inadmissible.

Et si la chroniqueuse apprenait les règles d’accord de « vingt », de « mille » ? On éviterait d’entendre « vingt z’universités » comme ce matin, des « mille » avec un « s » comme il y a quelques jours…
De mêmes que les règles de liaisons ne seraient pas superflues à connaître « les cancers intestinaux » qui deviennent des « cancer r’intestinaux » au de lieu de « cancers z’intestinaux »… entendu ce matin.
Sans parler des « o » ouverts et fermés… La « hot atmosphère »… ce matin… Tout de même, cela pique les oreilles… Cela a quelque chose d’affligeant…

J’apprécie beaucoup votre émission, qui aborde d’une manière intelligente des sujets sortant des sentiers battus, et un grand merci pour cela, en revanche vous avez un tic de langage (à la mode en ce moment) qui consiste à placer l’expression « en fait » à chaque coin de phrase. Je n’ai pas compté, mais à vue de nez, vous l’employez à peu près de 100 à 150 fois par émission. Ce qui à force vous rend pénible à écouter (en fait).

Fidèle auditrice, je regrette que de nombreux journalistes et animateurs de France Inter ne respectent plus la règle d’accord avec le verbe être. Au journal : “… des inscriptions ont été découvert sur le corps … [singulier ou pluriel, cela ne s’entend pas].”
Fautes également avec des phrases au présent, et j’ose à peine évoquer l’accord avec le complément d’objet placé avant et l’auxiliaire avoir.
Je ne suis pas professeur. Je resterai fidèle à votre radio, mais ce matin, j’ai éteint.
J’apprécie la diversité des émissions qui ouvrent des horizons nouveaux et osent traiter de sujets sensibles.
Merci pour ce que vous pourrez mettre en place pour le respect de la langue française et de nos auditeurs.

Sur toutes les chaînes, par tous les intervenants, je n’entends plus jamais utiliser « non plus » après une phrase négative mais systématiquement « aussi ». Ex : Les députés de la NUPES n’ont pas signé aussi ». Est-ce un nouvel usage ou des erreurs répétées et admises aujourd’hui ?

Fidèle auditeur de Radio France, notamment de France Inter, je vous prie de bien vouloir veiller à ce que vos collègues n’abusent pas des
« Est ce que…? »
« Pourquoi est ce que…? »
« Comment est ce que…? »
« Où est ce que …? »
« Quand est ce que…? » etc.
Plus simple et plus élégante, la formulation « Pensez-vous que… » doit être préférée à l’affreux « Est ce que vous pensez que… » utilisée de façon presque systématique par vos collègues.
Cela devient vite agaçant et influence de façon négative les auditeurs.

Je suis toujours interloquée par les liaisons « mal-t-à-propos ». Aujourd’hui, le 13/10/2022 il « estor de question ». Ce n’est pas la première fois ! Hors a un « h » aspiré. Merci d’y veiller.
Merci pour la qualité des histoires, hors ce défaut.

Je n’ai pas souvent l’occasion d’écouter votre émission mais aujourd’hui, j’ai pu le faire pour partie lors d’un trajet en voiture. Le sujet m’intéressait mais malheureusement, la répétition ad nauseam des expressions « en fait » et « du coup » m’a rendu l’écoute insupportable ! La remarque vaut pour vous comme pour votre invitée. Qui peut intervenir ?
Ce serait vraiment très professionnel de porter attention à la formulation que vous utilisez.

Je ne peux pas accepter d’entendre le mot « frappes » au lieu de bombardements quand les journalistes les utilisent pour évoquer les actes de guerre ; ce sont bien des bombes qui tombent. Bombarder, ce n’est pas frapper.
Quelle est l’intention ? « mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde », Camus.
En mal nommant l’agression, qui édulcore la réalité ?

J’apprécie votre travail et la précision de vos reportages. Je ne peux toutefois plus me retenir de vous demander une prononciation correcte pour un mot qui est prononcé jusqu’à 10 fois par minute dans les fils info, le mot « aujourd’hui » systématiquement écorché en « aujOrdui ». Désolé si ça me fait passer pour un grincheux, mais en tant que radio, on vous perçoit avant tout par le son et j’ai chaque fois les oreilles qui saignent juste après quelques minutes d’écoute de votre antenne. « Aujourd’hui » est un joli mot, avec un vrai sens, l’un de vos compagnons quotidiens les plus présents, servons le bien !

Bravo, Madame, d’avoir aimablement repris « pallier » mal utilisé par votre invité.
Continuez à bien parler français contrairement à presque tous les animateurs et journalistes.

Je viens d’entendre « soixantenaire » (sexagénaire) à propos de la dame tuée par son mari lors d’une chasse. C’est une jeune personne qui a dit ça.

Je suis sidéré par la multitude de néologismes entendus hier dans une émission sur l’inceste. Voici quelques-uns : silencer, silenciation, incester, romantisation, exceptionnalité… Ce sont ceux que j’ai retenus, car j’étais en voiture.
J’avoue que je suis déçu par la paresse intellectuelle des invités. Le producteur que j’écoute d’habitude avec plaisir, m’a déçu aussi, car il répétait ces mots affreux.
Cette émission a été l’arbre qui cache la forêt. Cette fâcheuse paresse est de plus en plus fréquente sur cette chaîne que j’aime beaucoup par ailleurs. Je serais peiné qu’elle tombe dans la médiocrité. Il y a le même problème avec les termes anglais ?