Bonsoir à toute l’équipe de ce formidable rendez-vous quotidien avec le monde (à l’heure où on coupe les oignons et fait mijoter le diner ici à Cholet).
“Un jour dans le monde”, émission formidable donc, qui s’achève avec la chronique toujours très attendue de Jean-Marc Four. Aujourd’hui, « la guerre change de forme ». C’est parfait : pile, le programme des terminales en géopolitiques ! J’écoute avec attention, ça tombe nickel : demain je fais le point avec mes élèves sur le Haut Karabagh. Une fois encore, Jean-Marc Four, en plein dans le mille !
D’où mon idée : est-ce que vous seriez prêt à soutenir les milliers de pauvres profs d’histoire géo devenus (avec un plaisir immense, mais pas toujours la formation idoine), profs de géopolitique avec la réforme du bac. L’idée, ce serait de trier les chroniques en fonction des questions de programme.
Mes élèves sont des habitués des réécoutes, mais je ne suis pas toujours derrière la radio le matin ni même à 18h55… Voilà, c’était une idée comme ça.
En tout cas, sinon, ne changez rien, ce rendez-vous est une mise à jour quotidienne salutaire pour tout un corps professionnel. Bonne soirée, le diner est cuit, je file ! (France Inter)
Chère équipe de l’émission « Les Pieds sur terre », voilà des décennies que je vous écoute et il est temps que je vous le dise : je vous aime ! Ce qui m’a fait craquer, ce pourquoi je vous écris aujourd’hui, c’est votre épisode : « ce qui ne me tue pas… »où deux femmes après avoir été malades du Covid nous parle de leurs re-naissances. Je fais des grandes randonnées à vélo sur la journée en écoutant, avec des oreillettes, les podcasts de France Culture (réflexions, sensibilité, découvertes…tout y est !) car il importe de cultiver en même temps le corps et l’esprit. Ce jour-là, en écoutant sur mon vélo votre épisode, je pleurais comme une madeleine. Quelle poésie, quelle sensibilité, quelle beauté ces deux histoires de presque rien, très ordinaires et ces deux finals qui « montent au ciel », qui ouvrent sur des lendemains radieux ! Comme cela tranche avec cette période de ténèbres que nous traversons en se disant (moi, du moins) : « en sortirons-nous un jour ? » J’aime particulièrement votre souci de toujours chercher, dans les témoignages recueillis, un point d’équilibre, de ne pas céder à la tentation d’être à charge ou à décharge, de toujours souligner combien les choses sont complexes, inextricables. Aujourd’hui, le podcast est une Culture à part entière et c’est à vous qu’on le doit (entre autres) ! Il y aurait encore beaucoup à dire mais je serais bref pour vous laisser à votre travail qui m’enchante ! Et pour terminer, à titre personnel et en toute simplicité, permettez-moi de vous décerner le « Prix Nobel du Podcast » ! (France Culture)
Ce matin, dernière de « Good morning America » avec Gérard Araud. Merci à ceux qui en ont eu l’initiative et merci à lui de s’être coulé avec justesse et talent dans le format proposé. Un peu de souffle venu d’ailleurs, une vision large qui nous sortait de notre « gaulo-centrisme », une prudence et une modestie qui forçaient le respect. La dernière chronique de ce matin a été comme une synthèse de tout cela. Encore merci et bon vent à ce grand monsieur que l’on entendra toujours avec plaisir, intérêt et profit. (France Inter)
J’ai parcouru avec intérêt l’article « Livres, films et séries : de la SF et du fantastique pour tous les goûts ! » publié le 24/11/2020 sur le site de France Culture et j’ai vraiment trouvé dommage de lire sur France Culture la répétition d’une erreur commise un peu partout depuis 40 ans et concernant « Alien : le 8ème passager ». Ce film est un monument que j’ai littéralement pris dans la gueule à sa sortie (j’étais ado) et que depuis, je revois régulièrement avec une fascination intacte… Mais NON ! Il faut cesser de raconter que ce chef d’œuvre est (je cite Catherine Dufour) : « la création d’une esthétique. Jusqu’à là, tous les vaisseaux spatiaux étaient propres comme des sous neufs. » Car cinq ans plus tôt, en 1974 donc, un jeune cinéaste culotté avait pour son tout premier long-métrage choisi de montrer un véritable camion-poubelle de l’espace aux passagers passablement cradingues vivant dans des locaux tenant davantage de la cambuse de marins ou de la chambre d’étudiant que du conapt kubrickien. Ce jeunot se nommait John Carpenter, son film « Dark star » et son scénariste, acteur central (et quasi co-réalisateur) était un certain Dan O’Bannon. Oui, celui-là même qui sera celui du film de Ridley Scott. Alors certes, « Dark star » est un titre qui parle infiniment moins au grand public qu' »Alien » mais il est par contre connu comme le loup blanc de tout amateur de SF, petit ou grand, d’autant plus qu’il a été moult fois ré-édité en DVD puis Blu-ray et est depuis longtemps considéré comme l’un des grands classiques du genre (et aussi comme l’une des meilleures parodies de « 2001 : l’odyssée de l’espace »). J’ajouterai qu’il ne faudrait pas non plus exagérer l’aspect sale et dégoulinant du design du vaisseau Nostromo qui par moment peut effectivement évoquer la soute d’un submersible en plongée mais reste tout de même assez clean, surtout comparé au foutoir qui règne dans le « Dark star ». Je pense notamment à la sublime séquence d’ouverture avec la salle de survie ou à la chambre de l’ordinateur central « Mother » qui auraient fort bien pu figurer dans le film de Kubrick. Le côté poisseux du film tient davantage à la présence baveuse du passager extra-terrestre qu’à la structure du décor. Aspect renforcé par le choix (sans doute volontairement inverse à celui de Kubrick) de teintes de plus en plus sombres et d’éclairages de plus en plus ténus au fur et à mesure de la progression du suspens. Sur ce, bonnes lectures, bons films et surtout excellente fin d’année à toutes les équipes de France Culture ! (France Culture)
Je suis particulièrement heureux de voir récompenser cette année par deux des plus prestigieux prix littéraires les ouvrages de deux participants de l’émission « Des Papous dans la tête », MM. Joncour et Le Tellier. Je regrette cette émission qui agrémentait mes journées dominicales même si j’ai bien conscience que son ton et ses thématiques ne correspondent plus vraiment aux canons actuels de la culture et de la radio. Mais quel plaisir d’entendre ces esprits libres jouer avec les mots et disserter avec humour sans abreuver les auditeurs de préceptes moraux. Je viens d’acheter (en librairie, et malgré le confinement) et de lire coup sur coup les deux ouvrages récompensés («Nature humaine» et «L’anomalie») et me félicite de voir qu’il reste encore des écrivains qui nous entraînent dans des fictions empreintes d’une certaine légèreté, d’un parfum de nostalgie, de portraits de personnages qui ne se réduisent pas à des caractérisations ethno-sociales et qui, surtout, ne tombent pas dans le pathos et le nombrilisme de nombre d’ouvrages contemporains d’auto-fiction. (France Culture)
Sur France Inter on en fait des tonnes : dans le style : pourrons nous skier pour les vacances de Noël, et maintenant encore plus dramatique : pourrons nous aller skier en Suisse ? Il faut rappeler à France Inter que seulement 8 % de personnes partent aux sports d’hiver, pour qui il s’agit d’un sujet d’intérêt général qui mérite d’être traité en priorité sur une radio de service public. En faire un grand titre des journaux d’information est « léger ». Le problème est catastrophique pour les salariés de ce secteur qui doivent être assistés et indemnisés, c’est d’eux qu’il faut se préoccuper. Les « clients » de ce secteur sont une petite minorité, mais il est possible qu’à France Inter on considère que ce sont ses auditrices et ses auditeurs.(France Inter)
J’apprécie démarrer mes journées avec Guillaume Erner de 7 à 9. France Culture fait tout pour une compréhension juste de la complexité. Parfois, le journal me paraît pouvoir faire mieux encore. Deux exemples : Ethiopie : le premier ministre décide une attaque violente dans le Tigré. Le journal fait entendre témoins civils, bien sûr, et cite le comité du Prix Nobel qui se fait des soucis, car « leur » lauréat tourne mal. Dans l’esprit France Culture, j’aurais attendu une brève explication du pourquoi le PM arrive à cette décision dramatique. A approfondir à un autre moment… Arménie – Azerbaïdjan : les informations me paraissent une peu biaisées. A aucun moment, on rappelle que l’Arménie avait occupé des territoires et que des centaines de milliers d’Azéries avait été déplacés. L’Azerbaïdjan ne « s’empare » pas de territoires les mais récupère. (France Culture)
Nous avons été nombreux à regretter la priorité donnée à l’affaire Daval récemment. Et voilà que cela recommence ! Sur France Inter et Franceinfo, la première nouvelle dans les bulletins d’information ce matin est l’affaire de la petite Fiona, suivie de celle de cet homme de 300 kg enfermé chez lui. A croire qu’il ne se passe rien dans le monde ! Ce n’est pas manquer de respect à ces victimes que d’attendre qu’elles ne fassent pas la une; bien au contraire même ; mettre ces faits divers en avant témoigne d’un manque de pudeur voire d’une fascination pour le sordide, autant que d’une vacuité d’information. Sans parler du mépris des auditeurs qu’il sous-entend. (France Inter)
Je ne comprends pas cette nouvelle ligne éditoriale des matinales, qui consiste à mettre en avant un fait divers par semaine, de préférence impliquant un enfant. Pourquoi, et sur quel critère, choisir un fait divers bien glauque – un meurtre d’enfant par exemple – avec bien sûr, interview des proches, suivi du procès, étude de du caractère et de la « motivation » du coupable probable, etc, etc. Quelle est l’idée ? Mettre de l’émotionnel « proche » au milieu des innombrables problèmes du monde ? Rechercher un nouveau public « moins intello » ? En quoi connaitre le nom d’assassins de faits divers fait progresser l’information ? Il n’y en aurait qu’un par semaine en France ? Ça s’assimile franchement à du racolage de bas étage, et ça ne grandit pas un journal, par ailleurs généralement bien structuré. J’espère que cette nouvelle lubie va être bientôt abandonnée : il y a bien d’autres choses à traiter qui nous concernent tous, et le temps imparti est déjà très court. Laissez ce type de sujet aux médias spécialistes : ceux que ça intéresse sauront bien les trouver. (France Inter)
Quelle honte de couper la chanson d’Anne Sylvestre !!!! On nous annonce qu’on va écouter cette chanson pour l’avortement mais tchak !!!!! A peine commencée déjà coupée !! Un véritable avortement en direct si je puis, en plaisanter. Mais franchement c’est nul… Indélicat pour elle et frustrant pour nous. Il valait mieux ne pas nous en promettre pour agir de cette façon. (France Culture)
Appréciant beaucoup votre travail, je m’étonne néanmoins de n’entendre jamais parler que de la question de la police et jamais du problème de fond que le rapport Borloo avait mis en évidence et qui réclamait un plan Marshall pour “les banlieues”. Rapport évacué dès que rendu, jamais discuté par ses propres commanditaires. Pourrait-on l’exhumer et l’examiner ? Son coût était certes élevé mais dérisoire au regard des milliards débloqués « quand il le faut ». Je vous remercie pour votre attention. (France Culture)
En ce 1er décembre, journée mondiale de lutte contre le SIDA, je suis stupéfait et très déçu de l’absence de cette actualité dans les titres du 7/9 de ce matin. Il aurait pourtant été bienvenu de rapporter l’actualité de la pandémie à cette autre maladie qui n’a toujours pas trouvé son vaccin. J’écoute le 7/9 depuis 6h30 et il aura fallu attendre 7h36 pour entendre un court reportage sur ce sujet. C’est bien maigre au regard des millions de malades dans le monde. (France Inter)
Je trouve choquant ce matin, en écoutant France Inter, d’entendre une exhortation publicitaire à participer au Black Friday. France Inter est un service public, et, à l’heure de l’urgence climatique, de tant d’interrogations sur la consommation à outrance, à l’heure même où tant de journalistes de cette chaîne se démènent pour engager le combat pour la Terre (Mathieu Vidard, etc.) est-il vraiment indispensable de trouver des ressources financières de ce côté ? Bonne semaine tout de même ! (France Inter)
J’ai été profondément choqué qu’en cette période de profonde crise sociale, morale et politique en France (induite en partie par une situation sanitaire largement instrumentalisée par le gouvernement), France CULTURE affiche comme information première et principale la mort de Maradona ! On peut se poser des questions sur la déontologie journalistique de la chaîne. Le personnage n’est qu’un footbaleur comme on en connaît une dizaine tous les cinquante ans. Un personnage tout sauf exemplaire : ses relations constantes avec la sanguinaire camorra napolitaine, les trafics auxquels il s’est livré sous sa dépendance et ses addictions multiples à la cocaïne sont suffisamment connus. Dans un autre ordre d’idées, France Culture a passé dix jours à nous parler presque exclusivement des élections américaines, donnant l’impression et confirmant que nous étions bien sous le parapluie culturelle, idéologique, politique américain. Cela n’est pas nouveau, et cela s’explique de multiples façons (en particulier, une fascination enfantine pour les États-Unis vus comme une société libre et ouverte, pour paraphraser Popper, face à ses ennemis que seraient la Russie poutinienne et la Chine, forcément arriérés). (France Culture)
Professeure de français retraitée (depuis bientôt 15 ans, je m’insurge contre cette affirmation infondée selon laquelle le cinéma et l’image ne sont pas présents dans les programmes et les enseignements. Sans compter les études de tableaux, de BD, les décodages de pubs ou de JT, j’ai toujours associé l’étude d’une œuvre à son interprétation par un(e) ou plusieurs cinéastes. Le programme officiel du Bac comporte souvent une œuvre cinématographique, et j’ai toujours travaillé avec mes classes sur les programmes de « collège au cinéma » ou « lycée au cinéma » depuis qu’ils existent. (France Inter)
Plus que du traitement de l’actualité (choix obligé parmi les thèmes proposés), je souhaite parler ici de la différence de temps et d’espace consacrés à l’Arménie et à l’Azerbaïdjan suite à l’actualité récente, spécialement sur France Culture. En effet, si j’apprécie beaucoup les différentes émissions dédiées -toutes ou en partie- à l’Arménie, à son immense culture et son histoire millénaire, j’avoue aussi avoir la même envie de connaissance envers l’Azerbaïdjan, non pas par souci de « par condicio médiatique », mais plutôt afin de sortir des prises de position un peu faciles. Dans ce moment délicat de l’histoire des relations entre ces deux pays, pourquoi pas en profiter pour apprendre à connaître une autre culture et un autre savoir ? En un mot, pourquoi pas s’ouvrir à l’altérité ? A moins que ce ne soit déjà en préparation un cours de l’histoire Azéri, ou un voyage sonore à la découverte de sa musique, par exemple ? En vous remerciant pour le bonheur que je ressens chaque jour en vous écoutant, ainsi que pour l’attention que vous réserverez à ce message. (France Culture)
Alors que j’écoutais avec attention votre émission ce samedi 28 novembre, j’entends votre invité Nicolas BOUKHRIEF déclarer qu’à l’école, il n’y a à l’heure actuelle aucune formation sur la lecture d’image. C’est totalement faux et votre invité devrait se renseigner avant de d’affirmer de tels propos. En effet, les professeurs documentalistes en collèges et lycée assurent l’éducation aux médias et à l’information et une grande partie est consacrée à la lecture de l’image (sous format papier, au cinéma et sur internet). Personne dans le studio pour le reprendre bien sûr, les trois quarts du temps les médias pourtant étiquetés de référence oublient systématiquement le travail fait par les professeurs documentalistes qui font découvrir aux élèves le monde des médias. C’est fatiguant et ça interroge sur le travail d’investigation des journalistes. (France Inter)
J’adore votre émission mais le dernier sketch ne m’a pas fait rire car les remontées mécaniques sont fermées car les hôpitaux en Savoie et Haute Savoie sont saturés et les blessés liés à la pratique du ski ne pourront pas être soignés. Donc j’imagine l’ire des parisiens et autres vacanciers qui devront aller se faire opérer ou soigner à l’autre bout de la France on peut rire de tt mais il faut aussi rester sérieux et connaitre la situation actuelle des hôpitaux dans nos montagnes. Je travaille grâce aux sports d’hiver et je suis le premier impacté par cette non ouverture mais il faut prendre du recul et analyser les problèmes. Je reproche cela aux médias actuellement car vs n’abordez pas ce problème. Merci d’avance et bonne journée (France Inter)
Au journal de 7 heures aujourd’hui samedi 28 novembre a été évoquée l’opposition au projet d’ouverture d’un entrepôt d’Amazon près de Nantes. La parole a été donnée à une militante représentant une association locale d’opposition au projet. Les arguments évoqués par cette femme portaient sur l’impact environnemental du flux de marchandises devant alimenter l’entrepôt et sur les destructions d’emploi attribuées à Amazon. Aucun des arguments n’était étayé. Aucun journaliste n’a mis les propos en perspective ou n’a posé de question à la militante pour lui demander les sources de son argumentaire. Aucun droit de réponse n’a été donné à Amazon. Aucun autre point de vue n’a été donné. Je me désole du travail journalistique fait ici. Octroyer une tribune à un propos que je considère comme très marqué, sans mise en perspective, sans commentaire ou droit de réponse, ne répond pas selon moi aux standards journalistiques que l’on est en droit d’attendre de la rédaction de France Inter. Dans un souci de transparence je vous signale que je suis un ancien Directeur d’Amazon en France et un actionnaire d’Amazon. (France Inter)
Bonjour Guillaume Erner Je me réveille tous les jours avec votre chronique et « les matins » qui s’ensuivent et dois dire que , par les temps qui courent cela m’aide beaucoup. J’apprécie votre ironie impertinente et votre autodérision qui signalent les belles personnes. En revanche je suis déçue et étonnée du manque de parité homme-femme dans les billets d’humeur c’est à dire les moments de véritable expression. Je me souviens de l’époque de Claude Sarraute ; franchement cela fait du bien d’entendre une voix féminine disant des choses intelligentes. J’adore Julie Gacon et madame Dutu mais elles sont cantonnées au journal d’information comme si finalement le temps de parité imposé par la loi (ce me semble) était finalement respecté sans qu’il y ait de véritable prise de parole… (France Culture)
Comme un effet yoyo, notre radio nous parle de nos concitoyens d’Outremer pendant quelques jours et puis calme plat pendant des mois. Pourtant près de 3 millions de nos concitoyens y vivent ! Des situations alarmantes de pauvreté, de manque d’eau potable, de santé publique, sont leur lot. Pourtant des milliers d’initiatives créatrices y naissent. Alors pourquoi ce silence de notre radio publique qui avec le réseau Public La 1ere a tous les moyens de donner à entendre ce qu’il s’y vit ? (France Inter)
Des violences ont eu lieu des 2 côtés ce week-end lors des manifestations par des personnes violentes (certains policiers et certains citoyens) qui pourrissent notre vie démocratique. Nous ne voulons pas d’un débat orienté à charge contre l’un ou l’autre mais une condamnation ferme et unanime de toutes ces violences injustifiables. Oui les policiers doivent être punis de façon exemplaire et oui les casseurs qui envahissent toutes nos manifestations doivent également être dénoncés par tous ! Je ne comprends pas comment on peut être divisé sur ce sujet…. Les « spécialistes » invités sur votre plateau qui ignorent l’une ou l’autre de ces violences sont surtout spécialistes de leur communication de carrière. Il est regrettable que vous leur donniez tant de temps d’antenne.
Votre invité (Sébastien Roché ?) vient de citer les maris comme représentants de l’autorité dans le couple. En 2021 ! Je rappelle que la notion de « chef de famille » a été abolie en 1970, et que les époux sont égaux devant la loi depuis la loi du 23 décembre 1985…
Non mais je rêve ! Sébastien Roché vient de parler de refus de la violence par l’autorité, il prend comme exemple le mari dans un couple ! J’hallucine ! Le mari c’est l’autorité dans un couple ! Et personne ne réagit ! Il vit à quelle époque ce Monsieur ? ?!!!!!